IMPORTANT et URGENT :
Le ministère de l'Intérieur vient de procéder à un internement psychiatrique sujet à caution, de nombreuses irrégularités dans la procédure.
(par Maria Poumier)
"Son internement a été décidé par cinq médecins qui successivement ont recopié les termes choisis par le procureur : irresponsabilité pénale pour cause de perte de ses facultés de discernement, assorti de délire paranoïaque persécutif et imaginatif, hypertrophie du moi.
Or aucun n’a encore demandé ni effectué d’expertise spécifique.
Les témoins sont unanimes : policiers ayant procédé à l’interpellation, puis effectué les transferts, ensuite infirmiers, et ce 19 août, proches, amis et avocat venus assister à l’audience publique pendant laquelle Mme Gossart, juge des libertés, a entendu Michel Dakar, parfaitement calme et précis dans chacune de ses réponses aux questions posées. Ont été entendus aussi son épouse, et son avocat, M° Danglehant. Le Dr Marie Bur avait fait état d’un refus de soin, ce qui est faux : Michel Dakar prend les médicaments qu’on lui donne.
Quand il est arrivé, à l’hôpital psychiatrique du Rouvray , à l’accueil, les infirmiers lui disaient : « ce n’est pas de notre faute, et vous n’y êtes pour rien.»
Le 8 octobre, Michel Dakar n’avait pas reçu de convocation, il a été attiré hors de chez lui à un moment où il était seul, par des agents d’EDF, plaqué au sol par 15 personnes, puis menotté (...)
Quelques heures après l’audience, Mme Émilie Gossard a décidé qu’il fallait le garder enfermé à l’Hôpital psychiatrique du Rouvray.
On est devant un internement arbitraire, sur des critères inexistants, ne s’appuyant sur aucune circonstance particulière.
Le site alimenté par Michel Dakar, qui s’appelle The Key and the Bridge («La clé et le pont» un organe -en français- de rencontre entre esprits d’horizons divers) déplaît à certaines autorités, apparemment, et c’est tout.
Aucun dessin publié par ce site n’est signalé au titre de l’accusation de pédo-criminalité, aucun texte publié n’est invoqué non plus, pour justifier du label incitation à la haine, à la violence, au terrorisme, à la haine raciale, à la discrimination, au crime, ni justifier de la variante «apologie» de ces mêmes infractions et/ou abominations : rien, nada de nada, nitchevo nie ponimaiou, comprenne qui pourra. Circulez, y a rien à voir ?
Maître Danglehant constate que le Préfet a pris sur ordre du ministre de l’intérieur un arrêté non motivé en faits : c’est une irrégularité grave. Pas de faits qui compromettent la sûreté des personnes, ou portent atteinte, de façon grave, à l’ordre public.
Architecte de formation, Syrien né en Syrie d’un père syrien, en 1995 (sic), porteur de la nationalité française par sa mère, Michel Dakar serait-il victime d’une énorme erreur judiciaire, aurait-il été confondu avec un jeune homme écervelé, alors qu’il ne boit pas, ne fume pas, ne se drogue pas, ne prend aucun médicament, est chrétien et marié légalement depuis 2007 ? Il a un casier judiciaire vierge, n’a jamais eu de suivi psychiatrique, et vit à la campagne, étant de fait un rentier âgé à ce jour de 69 ans. C’est kafkaïen, comme on dit, ça fait penser aux heures les plus sombres de notre histoire, ou d’autres régions du monde ? (...)
C’est un sinistre démissionnaire qui a pris l’oukase, Gérard Darmanin.
La juge des libertés et de la détention (JLD) a pu constater que l’enfermé ne présente aucun risque de violence sur ses proches ni sur lui-même (...)
Nous pensons que la tentative d’internement abusif à laquelle nous assistons, si elle aboutit, est le prélude à un déferlement de sanctions psychiatriques sur les «encore-vivants», les résistants au régime macronien aux abois.
(...) un test pour étendre ouvertement l’internement psychiatrique aux opposants politiques, afin d’interdire radicalement toute expression qui n’est pas la parole du régime.
Art. complet :
Le cas Michel Dakar, une énorme erreur judiciaire ?
https://reseauinternational.net/le-cas-michel-dakar-une-enorme-erreur-judiciaire-ils-ont-decide-de-casser-la-pointe-de-la-fleche/ via @Réseau International
Le ministère de l'Intérieur vient de procéder à un internement psychiatrique sujet à caution, de nombreuses irrégularités dans la procédure.
(par Maria Poumier)
"Son internement a été décidé par cinq médecins qui successivement ont recopié les termes choisis par le procureur : irresponsabilité pénale pour cause de perte de ses facultés de discernement, assorti de délire paranoïaque persécutif et imaginatif, hypertrophie du moi.
Or aucun n’a encore demandé ni effectué d’expertise spécifique.
Les témoins sont unanimes : policiers ayant procédé à l’interpellation, puis effectué les transferts, ensuite infirmiers, et ce 19 août, proches, amis et avocat venus assister à l’audience publique pendant laquelle Mme Gossart, juge des libertés, a entendu Michel Dakar, parfaitement calme et précis dans chacune de ses réponses aux questions posées. Ont été entendus aussi son épouse, et son avocat, M° Danglehant. Le Dr Marie Bur avait fait état d’un refus de soin, ce qui est faux : Michel Dakar prend les médicaments qu’on lui donne.
Quand il est arrivé, à l’hôpital psychiatrique du Rouvray , à l’accueil, les infirmiers lui disaient : « ce n’est pas de notre faute, et vous n’y êtes pour rien.»
Le 8 octobre, Michel Dakar n’avait pas reçu de convocation, il a été attiré hors de chez lui à un moment où il était seul, par des agents d’EDF, plaqué au sol par 15 personnes, puis menotté (...)
Quelques heures après l’audience, Mme Émilie Gossard a décidé qu’il fallait le garder enfermé à l’Hôpital psychiatrique du Rouvray.
On est devant un internement arbitraire, sur des critères inexistants, ne s’appuyant sur aucune circonstance particulière.
Le site alimenté par Michel Dakar, qui s’appelle The Key and the Bridge («La clé et le pont» un organe -en français- de rencontre entre esprits d’horizons divers) déplaît à certaines autorités, apparemment, et c’est tout.
Aucun dessin publié par ce site n’est signalé au titre de l’accusation de pédo-criminalité, aucun texte publié n’est invoqué non plus, pour justifier du label incitation à la haine, à la violence, au terrorisme, à la haine raciale, à la discrimination, au crime, ni justifier de la variante «apologie» de ces mêmes infractions et/ou abominations : rien, nada de nada, nitchevo nie ponimaiou, comprenne qui pourra. Circulez, y a rien à voir ?
Maître Danglehant constate que le Préfet a pris sur ordre du ministre de l’intérieur un arrêté non motivé en faits : c’est une irrégularité grave. Pas de faits qui compromettent la sûreté des personnes, ou portent atteinte, de façon grave, à l’ordre public.
Architecte de formation, Syrien né en Syrie d’un père syrien, en 1995 (sic), porteur de la nationalité française par sa mère, Michel Dakar serait-il victime d’une énorme erreur judiciaire, aurait-il été confondu avec un jeune homme écervelé, alors qu’il ne boit pas, ne fume pas, ne se drogue pas, ne prend aucun médicament, est chrétien et marié légalement depuis 2007 ? Il a un casier judiciaire vierge, n’a jamais eu de suivi psychiatrique, et vit à la campagne, étant de fait un rentier âgé à ce jour de 69 ans. C’est kafkaïen, comme on dit, ça fait penser aux heures les plus sombres de notre histoire, ou d’autres régions du monde ? (...)
C’est un sinistre démissionnaire qui a pris l’oukase, Gérard Darmanin.
La juge des libertés et de la détention (JLD) a pu constater que l’enfermé ne présente aucun risque de violence sur ses proches ni sur lui-même (...)
Nous pensons que la tentative d’internement abusif à laquelle nous assistons, si elle aboutit, est le prélude à un déferlement de sanctions psychiatriques sur les «encore-vivants», les résistants au régime macronien aux abois.
(...) un test pour étendre ouvertement l’internement psychiatrique aux opposants politiques, afin d’interdire radicalement toute expression qui n’est pas la parole du régime.
Art. complet :
Le cas Michel Dakar, une énorme erreur judiciaire ?
https://reseauinternational.net/le-cas-michel-dakar-une-enorme-erreur-judiciaire-ils-ont-decide-de-casser-la-pointe-de-la-fleche/ via @Réseau International
IMPORTANT et URGENT :
Le ministère de l'Intérieur vient de procéder à un internement psychiatrique sujet à caution, de nombreuses irrégularités dans la procédure.
(par Maria Poumier)
"Son internement a été décidé par cinq médecins qui successivement ont recopié les termes choisis par le procureur : irresponsabilité pénale pour cause de perte de ses facultés de discernement, assorti de délire paranoïaque persécutif et imaginatif, hypertrophie du moi.
Or aucun n’a encore demandé ni effectué d’expertise spécifique.
Les témoins sont unanimes : policiers ayant procédé à l’interpellation, puis effectué les transferts, ensuite infirmiers, et ce 19 août, proches, amis et avocat venus assister à l’audience publique pendant laquelle Mme Gossart, juge des libertés, a entendu Michel Dakar, parfaitement calme et précis dans chacune de ses réponses aux questions posées. Ont été entendus aussi son épouse, et son avocat, M° Danglehant. Le Dr Marie Bur avait fait état d’un refus de soin, ce qui est faux : Michel Dakar prend les médicaments qu’on lui donne.
Quand il est arrivé, à l’hôpital psychiatrique du Rouvray , à l’accueil, les infirmiers lui disaient : « ce n’est pas de notre faute, et vous n’y êtes pour rien.»
Le 8 octobre, Michel Dakar n’avait pas reçu de convocation, il a été attiré hors de chez lui à un moment où il était seul, par des agents d’EDF, plaqué au sol par 15 personnes, puis menotté (...)
Quelques heures après l’audience, Mme Émilie Gossard a décidé qu’il fallait le garder enfermé à l’Hôpital psychiatrique du Rouvray.
On est devant un internement arbitraire, sur des critères inexistants, ne s’appuyant sur aucune circonstance particulière.
Le site alimenté par Michel Dakar, qui s’appelle The Key and the Bridge («La clé et le pont» un organe -en français- de rencontre entre esprits d’horizons divers) déplaît à certaines autorités, apparemment, et c’est tout.
Aucun dessin publié par ce site n’est signalé au titre de l’accusation de pédo-criminalité, aucun texte publié n’est invoqué non plus, pour justifier du label incitation à la haine, à la violence, au terrorisme, à la haine raciale, à la discrimination, au crime, ni justifier de la variante «apologie» de ces mêmes infractions et/ou abominations : rien, nada de nada, nitchevo nie ponimaiou, comprenne qui pourra. Circulez, y a rien à voir ?
Maître Danglehant constate que le Préfet a pris sur ordre du ministre de l’intérieur un arrêté non motivé en faits : c’est une irrégularité grave. Pas de faits qui compromettent la sûreté des personnes, ou portent atteinte, de façon grave, à l’ordre public.
Architecte de formation, Syrien né en Syrie d’un père syrien, en 1995 (sic), porteur de la nationalité française par sa mère, Michel Dakar serait-il victime d’une énorme erreur judiciaire, aurait-il été confondu avec un jeune homme écervelé, alors qu’il ne boit pas, ne fume pas, ne se drogue pas, ne prend aucun médicament, est chrétien et marié légalement depuis 2007 ? Il a un casier judiciaire vierge, n’a jamais eu de suivi psychiatrique, et vit à la campagne, étant de fait un rentier âgé à ce jour de 69 ans. C’est kafkaïen, comme on dit, ça fait penser aux heures les plus sombres de notre histoire, ou d’autres régions du monde ? (...)
C’est un sinistre démissionnaire qui a pris l’oukase, Gérard Darmanin.
La juge des libertés et de la détention (JLD) a pu constater que l’enfermé ne présente aucun risque de violence sur ses proches ni sur lui-même (...)
Nous pensons que la tentative d’internement abusif à laquelle nous assistons, si elle aboutit, est le prélude à un déferlement de sanctions psychiatriques sur les «encore-vivants», les résistants au régime macronien aux abois.
(...) un test pour étendre ouvertement l’internement psychiatrique aux opposants politiques, afin d’interdire radicalement toute expression qui n’est pas la parole du régime.
Art. complet :
Le cas Michel Dakar, une énorme erreur judiciaire ?
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