"Pour info, courrier envoyé à l'URSSAF qu'un entrepreneur ami m'a autorisé à vous reproduire ici.
On parle beaucoup des soignants sans salaire, ce qui est déjà le signe d'une très grave forfaiture commise par un Etat irresponsable. Ce même Etat tue des agriculteurs mais aussi des entrepreneurs et autres petits travailleurs indépendant qu'on avait poussés par "l'auto-entrepreneuriat" (manière de les précariser tout en les supprimant des chiffres du chômage, pour une partie d'entre eux).
Comme je l'ai maintes fois annoncé, je regroupe des témoignages d'entrepreneurs.
Il existe un PLAN consistant à détruire la France : je n'en ai plus aucun doute.
Nous réussirons ensemble le
#PIC pour envoyer en taule tous les traîtres.
En, attendant, ej vous laisse découvrir ce témoignage glaçant, ou plutôt ce courrier adressé à l'URSSAF dans le cadre d'une procédure de redressement s'appliquant à cet entrepreneur qui n'a d'autre choix que d'ironiser sur la possibilité prochaine de son propre suicide, et d'exulter son dépit.
"Bonjour l'URSSAF,
J'ai deux demandes à soumettre à vos plus hautes considération et bienveillance :
1) Je cherche, mais je ne trouve pas où et comment modifier mes adresses, car j'ai déménagé. Votre site est un cauchemar ergonomique - désolé de devoir le dire. Pourquoi n'êtes-vous pas en mesure de proposer un lien plus évident depuis la page de mes informations perso, vers une possibilité d'éditer lesdites infos perso ? Vous trouvez que ce n'est peut-être pas suffisamment anxiogène comme ça, je suppose. J'aimerais bien que mes impôts et taxes servent à financer des interfaces fonctionnelles, si ce n'est pas trop attendre de vous. et ne parle pas de cette merde absolue qu'est le guichet unique de l'INPI, où j'ai dû débourser plus de 400 euros pour simplement la démarche de dépôt de bilan de ma société. Vous vous rincez jusqu'à la dernière goutte - bande d'infects vampires - même pour m'aider à fermer ma boîte alors que je n'ai plus un centime.
2) Ce point porte sur les courriers comminatoires que je reçois de votre part, pour m'acquitter des charges URSSAF que je suis supposé régler. Or financièrement, je suis complètement foutu. Un contrôle fiscal grossièrement vexatoire et agressif m'a rincé. J'hésite entre le suicide et tout un tas d'autres options. En attendant, j'ai besoin de connaître la procédure pour savoir comment négocier avec vous, sachant que je suis SDF désormais, navigant entre plusieurs canapés familiaux, que je ne possède rien que vous puissiez saisir et que par souci éthique, je ne souhaite pas m'inscrire au RSA. Je n'ai donc actuellement aucune entrée de trésorerie. Votre gestion calamiteuse du Covid (je parle bien sûr de tout le cirque autour) a tué une initiative qui commençait à générer une activité honnête en 2021 (en atteste la chute de mon chiffre d'affaire), et comme ladite activité reposait sur l'ouverture d'un lieu public, je n'ai jamais reçu les aides auxquelles j'avais pourtant explicitement droit, courrier de l'administration à l'appui (et qui ne répond plus depuis, à mes relances : mais moi, je ne peu pas vous faire parvenir de relance avant passage en contentieux).
Bref, tout votre délire m'a détruit, et quand je commençais à sortir la tête de l'eau, un trou du cul a dû se dire : "tiens, on va l'achever celui-là".
Et ce même trou du cul s'est évidemment permis de contester la réalité pourtant parfaitement légaliste de mes frais, requalifiés grossièrement en salaires dissimulés.
ALORS QUE C'EST MON ENTREPRISE qui a a abusé de moi, techniquement, puisque je ne payais PAS, et moi qui me suis privé de tout salaire pour l'aider à décoller. Par ailleurs nous avons pourtant bien renvoyé les justificatifs au cordeau, et ce - décidément - méga trou du cul, s'est permis de ne jamais nous répondre et de nous balancer mes redressements d'office.
Alors, vu que je vis officiellement dans un pays de merde, avec des administrations de merde, et que je ne serais peut-être même plus de ce monde quand vous m'aurez répondu : MERCI à vous de bien vouloir m'expliquer la marche à suivre quand on n'a strictement plus AUCUNE ressource et que ledit pays de merde, agrémenté de quelques trous du cul retirant manifestement une jouissance de l'humiliation, de la DESTRUCTION de petits entrepreneurs, leur rende la vie impossible.
On fait quoi ? Hein ?
Aussi, veuillez souffrir que mes questions soient agrémentées de quelque colère, et veuillez agréer l'expression de ma rage non cordiale.
En espérant que l'Etat incompétent qui vient d'ajouter 1000 milliards de dettes au pays vous fasse, vous aussi (enfin, pas forcément "vous", mais les quelques trous du cul, collabos d'un système qui part en vrille), connaître les affres de ma situation quand vous ne recevrez plus vos propres salaires, le jour de sa faillite prochaine, et inévitable.
Rien que pour voir ça, je vais reporter mon suicide quelque temps."
Rejoignez-nous en privé si vous êtes dans une situation difficile. Nous allons continuer de dévoiler leurs exactions.
J'ai moi-même vécu un contrôle fiscal délirant et me suis reconnu (sur le fond) dans ce courrier, et par conviction militante, je souhaite défendre tous les artisans et entrepreneurs, autant que faire se peut à modeste échelle, contre tous ces prédateurs incompétents.
A bon entendeur. "
https://twitter.com/parrhesiaste_fr/status/1770478315276583265 "Pour info, courrier envoyé à l'URSSAF qu'un entrepreneur ami m'a autorisé à vous reproduire ici.
On parle beaucoup des soignants sans salaire, ce qui est déjà le signe d'une très grave forfaiture commise par un Etat irresponsable. Ce même Etat tue des agriculteurs mais aussi des entrepreneurs et autres petits travailleurs indépendant qu'on avait poussés par "l'auto-entrepreneuriat" (manière de les précariser tout en les supprimant des chiffres du chômage, pour une partie d'entre eux).
Comme je l'ai maintes fois annoncé, je regroupe des témoignages d'entrepreneurs.
Il existe un PLAN consistant à détruire la France : je n'en ai plus aucun doute.
Nous réussirons ensemble le #PIC pour envoyer en taule tous les traîtres.
En, attendant, ej vous laisse découvrir ce témoignage glaçant, ou plutôt ce courrier adressé à l'URSSAF dans le cadre d'une procédure de redressement s'appliquant à cet entrepreneur qui n'a d'autre choix que d'ironiser sur la possibilité prochaine de son propre suicide, et d'exulter son dépit.
"Bonjour l'URSSAF,
J'ai deux demandes à soumettre à vos plus hautes considération et bienveillance :
1) Je cherche, mais je ne trouve pas où et comment modifier mes adresses, car j'ai déménagé. Votre site est un cauchemar ergonomique - désolé de devoir le dire. Pourquoi n'êtes-vous pas en mesure de proposer un lien plus évident depuis la page de mes informations perso, vers une possibilité d'éditer lesdites infos perso ? Vous trouvez que ce n'est peut-être pas suffisamment anxiogène comme ça, je suppose. J'aimerais bien que mes impôts et taxes servent à financer des interfaces fonctionnelles, si ce n'est pas trop attendre de vous. et ne parle pas de cette merde absolue qu'est le guichet unique de l'INPI, où j'ai dû débourser plus de 400 euros pour simplement la démarche de dépôt de bilan de ma société. Vous vous rincez jusqu'à la dernière goutte - bande d'infects vampires - même pour m'aider à fermer ma boîte alors que je n'ai plus un centime.
2) Ce point porte sur les courriers comminatoires que je reçois de votre part, pour m'acquitter des charges URSSAF que je suis supposé régler. Or financièrement, je suis complètement foutu. Un contrôle fiscal grossièrement vexatoire et agressif m'a rincé. J'hésite entre le suicide et tout un tas d'autres options. En attendant, j'ai besoin de connaître la procédure pour savoir comment négocier avec vous, sachant que je suis SDF désormais, navigant entre plusieurs canapés familiaux, que je ne possède rien que vous puissiez saisir et que par souci éthique, je ne souhaite pas m'inscrire au RSA. Je n'ai donc actuellement aucune entrée de trésorerie. Votre gestion calamiteuse du Covid (je parle bien sûr de tout le cirque autour) a tué une initiative qui commençait à générer une activité honnête en 2021 (en atteste la chute de mon chiffre d'affaire), et comme ladite activité reposait sur l'ouverture d'un lieu public, je n'ai jamais reçu les aides auxquelles j'avais pourtant explicitement droit, courrier de l'administration à l'appui (et qui ne répond plus depuis, à mes relances : mais moi, je ne peu pas vous faire parvenir de relance avant passage en contentieux).
Bref, tout votre délire m'a détruit, et quand je commençais à sortir la tête de l'eau, un trou du cul a dû se dire : "tiens, on va l'achever celui-là".
Et ce même trou du cul s'est évidemment permis de contester la réalité pourtant parfaitement légaliste de mes frais, requalifiés grossièrement en salaires dissimulés.
ALORS QUE C'EST MON ENTREPRISE qui a a abusé de moi, techniquement, puisque je ne payais PAS, et moi qui me suis privé de tout salaire pour l'aider à décoller. Par ailleurs nous avons pourtant bien renvoyé les justificatifs au cordeau, et ce - décidément - méga trou du cul, s'est permis de ne jamais nous répondre et de nous balancer mes redressements d'office.
Alors, vu que je vis officiellement dans un pays de merde, avec des administrations de merde, et que je ne serais peut-être même plus de ce monde quand vous m'aurez répondu : MERCI à vous de bien vouloir m'expliquer la marche à suivre quand on n'a strictement plus AUCUNE ressource et que ledit pays de merde, agrémenté de quelques trous du cul retirant manifestement une jouissance de l'humiliation, de la DESTRUCTION de petits entrepreneurs, leur rende la vie impossible.
On fait quoi ? Hein ?
Aussi, veuillez souffrir que mes questions soient agrémentées de quelque colère, et veuillez agréer l'expression de ma rage non cordiale.
En espérant que l'Etat incompétent qui vient d'ajouter 1000 milliards de dettes au pays vous fasse, vous aussi (enfin, pas forcément "vous", mais les quelques trous du cul, collabos d'un système qui part en vrille), connaître les affres de ma situation quand vous ne recevrez plus vos propres salaires, le jour de sa faillite prochaine, et inévitable.
Rien que pour voir ça, je vais reporter mon suicide quelque temps."
Rejoignez-nous en privé si vous êtes dans une situation difficile. Nous allons continuer de dévoiler leurs exactions.
J'ai moi-même vécu un contrôle fiscal délirant et me suis reconnu (sur le fond) dans ce courrier, et par conviction militante, je souhaite défendre tous les artisans et entrepreneurs, autant que faire se peut à modeste échelle, contre tous ces prédateurs incompétents.
A bon entendeur. "
https://twitter.com/parrhesiaste_fr/status/1770478315276583265