"Je recommande absolument ce dossier très complet sur les vaccins animaux !"
Hélène Banoun
Hommes et animaux : même combat contre l'idéologie vaccinaliste ! Même normalisation biopolitique de la santé animale et de la santé humaine (tests, confinements, modélisation épidémiologique, interdiction de soin, autorisations d'urgence) ; mêmes risques par disparition de l'immunité naturelle. Aucune étude des risques des vaccins animaux pour la santé humaine (adjuvants « classiques » et résidus d'ADN ou ARNm pour les nouveaux vaccins géniques)
Le grand business de la vaccination animale
Pryska Ducœurjoly
@CoeurJoly
Nexus n°155 novembre-décembre 2024
https://nexus.fr/magazine/nexus-155/
Les animaux d’élevage n’ont jamais été aussi surveillés et, pourtant, notre alimentation n’a jamais été aussi médiocre… Ovins, porcins, bovins, poulets, canards, poissons, tous vaccinés ! Tous protégés ? Paradoxalement, malgré des décennies de vaccination, les animaux d’élevage semblent plus fragiles que jamais. Que valent réellement les vaccins administrés aux animaux quant à la prévention des épidémies ?
Quels sont les risques pour leur santé, mais aussi pour celle des consommateurs ?
Et surtout, à qui profite vraiment le business de la vaccination animale ?
Vous y apprendrez que la vaccination des animaux d'élevage ne remet pas en cause le label « bio ».
Le marché des vaccins pour animaux est, comme celui des vaccins humains, en pleine expansion et génère des milliards de chiffre d'affaire pour des entreprises très liées à celles des vaccins humains. On y observe le jeu des portes tournantes entre les dirigeants qui sont aussi très liés aux fonds de pension principaux. De même les « ONG caritatives » qui interviennent dans le financement de l'industrie sont les mêmes que pour les vaccins humains. Ces vaccins animaux permettent par exemple d'expérimenter les fameux ARNm « auto-amplifiés » encore moins maîtrisables que les ARNm type anti-Covid humains.
D'après un vétérinaire, les animaux de compagnie aussi présentent des désordres immunitaires inconnus auparavant. Des vétérinaires s'expriment anonymement pour critiquer la vaccination généralisée des animaux d'élevage. Depuis 2008, le bœuf et l’agneau que nous consommons contiennent de l’hydroxyde d’aluminium et des sels de mercure, adjuvants toxiques du vaccin contre la FCO (fièvre catarrhale ovine).
La colère monte chez les éleveurs qui voudraient des solutions plus naturelles : seuls DEUX médicaments à base de plantes sont autorisés dans le secteur de l'élevage en France ; le biopouvoir repousse vers l'illégalité les médecines alternatives pour les animaux. La pharmacovigilance chez les animaux est encore plus défaillante que chez les humains mais elle révèle quand même les dégâts des vaccins, comme les avortements chez les femelles gestantes et des taux de mortalité élevés.
Certains éleveurs ont remarqué une modification héréditaire de l'immunité naturelle chez les générations successives.
Les vaccins géniques à ARNm auto-amplifés et/ou auto-disséminants vont bientôt être généralisés sans étude préalable des risques pour la santé animale, humaine ni sur l'environnement
Via : https://x.com/BanounHelene/status/1857721990565495104
Hélène Banoun
Hommes et animaux : même combat contre l'idéologie vaccinaliste ! Même normalisation biopolitique de la santé animale et de la santé humaine (tests, confinements, modélisation épidémiologique, interdiction de soin, autorisations d'urgence) ; mêmes risques par disparition de l'immunité naturelle. Aucune étude des risques des vaccins animaux pour la santé humaine (adjuvants « classiques » et résidus d'ADN ou ARNm pour les nouveaux vaccins géniques)
Le grand business de la vaccination animale
Pryska Ducœurjoly
@CoeurJoly
Nexus n°155 novembre-décembre 2024
https://nexus.fr/magazine/nexus-155/
Les animaux d’élevage n’ont jamais été aussi surveillés et, pourtant, notre alimentation n’a jamais été aussi médiocre… Ovins, porcins, bovins, poulets, canards, poissons, tous vaccinés ! Tous protégés ? Paradoxalement, malgré des décennies de vaccination, les animaux d’élevage semblent plus fragiles que jamais. Que valent réellement les vaccins administrés aux animaux quant à la prévention des épidémies ?
Quels sont les risques pour leur santé, mais aussi pour celle des consommateurs ?
Et surtout, à qui profite vraiment le business de la vaccination animale ?
Vous y apprendrez que la vaccination des animaux d'élevage ne remet pas en cause le label « bio ».
Le marché des vaccins pour animaux est, comme celui des vaccins humains, en pleine expansion et génère des milliards de chiffre d'affaire pour des entreprises très liées à celles des vaccins humains. On y observe le jeu des portes tournantes entre les dirigeants qui sont aussi très liés aux fonds de pension principaux. De même les « ONG caritatives » qui interviennent dans le financement de l'industrie sont les mêmes que pour les vaccins humains. Ces vaccins animaux permettent par exemple d'expérimenter les fameux ARNm « auto-amplifiés » encore moins maîtrisables que les ARNm type anti-Covid humains.
D'après un vétérinaire, les animaux de compagnie aussi présentent des désordres immunitaires inconnus auparavant. Des vétérinaires s'expriment anonymement pour critiquer la vaccination généralisée des animaux d'élevage. Depuis 2008, le bœuf et l’agneau que nous consommons contiennent de l’hydroxyde d’aluminium et des sels de mercure, adjuvants toxiques du vaccin contre la FCO (fièvre catarrhale ovine).
La colère monte chez les éleveurs qui voudraient des solutions plus naturelles : seuls DEUX médicaments à base de plantes sont autorisés dans le secteur de l'élevage en France ; le biopouvoir repousse vers l'illégalité les médecines alternatives pour les animaux. La pharmacovigilance chez les animaux est encore plus défaillante que chez les humains mais elle révèle quand même les dégâts des vaccins, comme les avortements chez les femelles gestantes et des taux de mortalité élevés.
Certains éleveurs ont remarqué une modification héréditaire de l'immunité naturelle chez les générations successives.
Les vaccins géniques à ARNm auto-amplifés et/ou auto-disséminants vont bientôt être généralisés sans étude préalable des risques pour la santé animale, humaine ni sur l'environnement
Via : https://x.com/BanounHelene/status/1857721990565495104
"Je recommande absolument ce dossier très complet sur les vaccins animaux !"
Hélène Banoun
Hommes et animaux : même combat contre l'idéologie vaccinaliste ! Même normalisation biopolitique de la santé animale et de la santé humaine (tests, confinements, modélisation épidémiologique, interdiction de soin, autorisations d'urgence) ; mêmes risques par disparition de l'immunité naturelle. Aucune étude des risques des vaccins animaux pour la santé humaine (adjuvants « classiques » et résidus d'ADN ou ARNm pour les nouveaux vaccins géniques)
Le grand business de la vaccination animale
Pryska Ducœurjoly
@CoeurJoly
Nexus n°155 novembre-décembre 2024
https://nexus.fr/magazine/nexus-155/
Les animaux d’élevage n’ont jamais été aussi surveillés et, pourtant, notre alimentation n’a jamais été aussi médiocre… Ovins, porcins, bovins, poulets, canards, poissons, tous vaccinés ! Tous protégés ? Paradoxalement, malgré des décennies de vaccination, les animaux d’élevage semblent plus fragiles que jamais. Que valent réellement les vaccins administrés aux animaux quant à la prévention des épidémies ?
Quels sont les risques pour leur santé, mais aussi pour celle des consommateurs ?
Et surtout, à qui profite vraiment le business de la vaccination animale ?
Vous y apprendrez que la vaccination des animaux d'élevage ne remet pas en cause le label « bio ».
Le marché des vaccins pour animaux est, comme celui des vaccins humains, en pleine expansion et génère des milliards de chiffre d'affaire pour des entreprises très liées à celles des vaccins humains. On y observe le jeu des portes tournantes entre les dirigeants qui sont aussi très liés aux fonds de pension principaux. De même les « ONG caritatives » qui interviennent dans le financement de l'industrie sont les mêmes que pour les vaccins humains. Ces vaccins animaux permettent par exemple d'expérimenter les fameux ARNm « auto-amplifiés » encore moins maîtrisables que les ARNm type anti-Covid humains.
D'après un vétérinaire, les animaux de compagnie aussi présentent des désordres immunitaires inconnus auparavant. Des vétérinaires s'expriment anonymement pour critiquer la vaccination généralisée des animaux d'élevage. Depuis 2008, le bœuf et l’agneau que nous consommons contiennent de l’hydroxyde d’aluminium et des sels de mercure, adjuvants toxiques du vaccin contre la FCO (fièvre catarrhale ovine).
La colère monte chez les éleveurs qui voudraient des solutions plus naturelles : seuls DEUX médicaments à base de plantes sont autorisés dans le secteur de l'élevage en France ; le biopouvoir repousse vers l'illégalité les médecines alternatives pour les animaux. La pharmacovigilance chez les animaux est encore plus défaillante que chez les humains mais elle révèle quand même les dégâts des vaccins, comme les avortements chez les femelles gestantes et des taux de mortalité élevés.
Certains éleveurs ont remarqué une modification héréditaire de l'immunité naturelle chez les générations successives.
Les vaccins géniques à ARNm auto-amplifés et/ou auto-disséminants vont bientôt être généralisés sans étude préalable des risques pour la santé animale, humaine ni sur l'environnement
Via : https://x.com/BanounHelene/status/1857721990565495104
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