Le retour de la plèbe.
Après la Seconde Guerre mondiale, l'Europe, à terre, fut entièrement à reconstruire et, durant des décennies, le peuple devint la clef de voûte de la croissance.
Malheureusement pour ceux qui les détiennent, les pièces, les billets et les lingots n'actionnent qu'indirectement un appareil productif.
Ainsi, sans le recours au peuple, l'Europe n'aurait jamais connu une période de reconstruction sans égale, une industrialisation massive et la société de consommation n'aurait jamais vu le jour.
Et, ce que Jean Fourastié appela "Trente Glorieuses" fut, pour le peuple particulièrement, une période positive en profonde rupture avec le passé.
Les classes populaires eurent accès à des privilèges inimaginables auparavant (mise en place de la sécurité sociale, congés payés accrus etc.)
Face à des besoins considérables dans tous les domaines, l'État décida d'investir massivement ses ressources dans l' Éducation nationale et le célèbre "ascenseur social" fut inauguré sans que, aujourd'hui encore, on puisse affirmer, avec certitude, qu'il fut une éclatante réalité, un très modeste monte-charges ou une totale invention.
Au-delà, durant toutes ces années cruciales de l'après-guerre, le peuple fut craint, respecté et honoré par ses dirigeants et dans les médias.
Nullement question pour les pouvoirs en place de braquer un élément essentiel de la productivité et de la croissance.p
Dans ce cycle, Mai 1968 fut un moment marquant, un zénith pour la force populaire et un point d'inflexion.
Manipulé ou non, de gauche ou de droite, le peuple montra qu'il avait le pouvoir de faire basculer le pouvoir, de bloquer le pays et son appareil productif.
Un risque inacceptable pour une bonne partie des détenteurs des pouvoirs économiques et financiers qui décidèrent, progressivement, de stopper cette inflexion de l'Histoire.
Ainsi, tous les grands changements sociétaux depuis le premier choc pétrolier de 1973 allèrent dans le sens d'un affaiblissement de ce peuple incontrôlable et dangereux.
Crises économiques, immigration massive, délocalisation, chômage de masse, mondialisation etc., tout fut fait par les dirigeants politiques, économiques et financiers pour faire douter le peuple, saper son honneur, sa légitimité, son pouvoir.
Communautarisé, déconstruit, le peuple est aujourd'hui perdu. Au point que le terme "populaire" est devenu, en 2023, une tare, un fardeau.
C'est le retour de la plèbe, cette lèpre que les nouveaux patriciens, souvent issus de ses rangs, honnissent, méprisent, ridiculisent et accablent de tous les maux (extrêmiste, inculte, complotiste...).
C'est ainsi que les Français sont devenus les "sans dents" de Hollande et "ceux qui ne sont rien" de Macron, ces indignes représentants de la nation.
Les Français abandonnés, trahis, doutent d'eux-mêmes et se voient "lâches", "débiles", "fainéants" etc.
Je refuse ces discours défaitistes qui nous accablent et nous condamnent.
Car, les Français sont toujours capables de produire de hauts faits pour peu qu'on les respecte et qu'on leur montre la voie de l'unité, du courage et de l'ambition.
Lorsqu'il est uni, dirigé avec respect et sincérité, le peuple de France peut déplacer toutes les montagnes !
Dans nos villes et nos campagnes, des millions de Français attendent avec impatience le moment où ils pourront redresser la France et prouver au monde qu'elle n'a jamais perdu son âme.
#France #Macron
#MacronDestitution
Stéphane Poli
https://twitter.com/Stephane_Poli/status/1692316650962358274 Le retour de la plèbe.
Après la Seconde Guerre mondiale, l'Europe, à terre, fut entièrement à reconstruire et, durant des décennies, le peuple devint la clef de voûte de la croissance.
Malheureusement pour ceux qui les détiennent, les pièces, les billets et les lingots n'actionnent qu'indirectement un appareil productif.
Ainsi, sans le recours au peuple, l'Europe n'aurait jamais connu une période de reconstruction sans égale, une industrialisation massive et la société de consommation n'aurait jamais vu le jour.
Et, ce que Jean Fourastié appela "Trente Glorieuses" fut, pour le peuple particulièrement, une période positive en profonde rupture avec le passé.
Les classes populaires eurent accès à des privilèges inimaginables auparavant (mise en place de la sécurité sociale, congés payés accrus etc.)
Face à des besoins considérables dans tous les domaines, l'État décida d'investir massivement ses ressources dans l' Éducation nationale et le célèbre "ascenseur social" fut inauguré sans que, aujourd'hui encore, on puisse affirmer, avec certitude, qu'il fut une éclatante réalité, un très modeste monte-charges ou une totale invention.
Au-delà, durant toutes ces années cruciales de l'après-guerre, le peuple fut craint, respecté et honoré par ses dirigeants et dans les médias.
Nullement question pour les pouvoirs en place de braquer un élément essentiel de la productivité et de la croissance.p
Dans ce cycle, Mai 1968 fut un moment marquant, un zénith pour la force populaire et un point d'inflexion.
Manipulé ou non, de gauche ou de droite, le peuple montra qu'il avait le pouvoir de faire basculer le pouvoir, de bloquer le pays et son appareil productif.
Un risque inacceptable pour une bonne partie des détenteurs des pouvoirs économiques et financiers qui décidèrent, progressivement, de stopper cette inflexion de l'Histoire.
Ainsi, tous les grands changements sociétaux depuis le premier choc pétrolier de 1973 allèrent dans le sens d'un affaiblissement de ce peuple incontrôlable et dangereux.
Crises économiques, immigration massive, délocalisation, chômage de masse, mondialisation etc., tout fut fait par les dirigeants politiques, économiques et financiers pour faire douter le peuple, saper son honneur, sa légitimité, son pouvoir.
Communautarisé, déconstruit, le peuple est aujourd'hui perdu. Au point que le terme "populaire" est devenu, en 2023, une tare, un fardeau.
C'est le retour de la plèbe, cette lèpre que les nouveaux patriciens, souvent issus de ses rangs, honnissent, méprisent, ridiculisent et accablent de tous les maux (extrêmiste, inculte, complotiste...).
C'est ainsi que les Français sont devenus les "sans dents" de Hollande et "ceux qui ne sont rien" de Macron, ces indignes représentants de la nation.
Les Français abandonnés, trahis, doutent d'eux-mêmes et se voient "lâches", "débiles", "fainéants" etc.
Je refuse ces discours défaitistes qui nous accablent et nous condamnent.
Car, les Français sont toujours capables de produire de hauts faits pour peu qu'on les respecte et qu'on leur montre la voie de l'unité, du courage et de l'ambition.
Lorsqu'il est uni, dirigé avec respect et sincérité, le peuple de France peut déplacer toutes les montagnes !
Dans nos villes et nos campagnes, des millions de Français attendent avec impatience le moment où ils pourront redresser la France et prouver au monde qu'elle n'a jamais perdu son âme.
#France
#Macron
#MacronDestitution
Stéphane Poli
https://twitter.com/Stephane_Poli/status/1692316650962358274