• #TwitterFilesBrazil 2 – Répression sans précédent de la liberté d'expression au Brésil par Alexandre de Moraes : La pression augmente, Starlink, service internet d'Elon Musk menacé de ne pas être reconduite, les politiques répliquent. Enquête France-soir.
    https://francesoir.fr/politique-monde/twitterfilesbrazil-2-la-pression-augmente-starlink-service-internet-menace-les
    #TwitterFilesBrazil 2 – Répression sans précédent de la liberté d'expression au Brésil par Alexandre de Moraes : La pression augmente, Starlink, service internet d'Elon Musk menacé de ne pas être reconduite, les politiques répliquent. Enquête France-soir. https://francesoir.fr/politique-monde/twitterfilesbrazil-2-la-pression-augmente-starlink-service-internet-menace-les
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    #TwitterFilesBrazil 2 – La pression augmente, Starlink, service internet menacé, les répliques politiques | FranceSoir
    Le 6 avril 2024, Michael Shellenberger, journaliste déclarait dans une vidéo et un tweet « le Brésil est engagé dans une vaste répression de la liberté, au bord du précipice « de la dictature ».
    Beuark
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  • 🚨#TwitterFilesBrasil - Le Brésil engagé dans une vaste répression de la liberté d’expression ? "Au bord du précipice" déclare Michael Shellenberger. Enquête complète. Elon Musk explique vouloir tout dévoiler.
    https://edition.francesoir.fr/politique-monde/twitterfilesbrasil-le-bresil-repression-liberte-d-expression
    🚨#TwitterFilesBrasil - Le Brésil engagé dans une vaste répression de la liberté d’expression ? "Au bord du précipice" déclare Michael Shellenberger. Enquête complète. Elon Musk explique vouloir tout dévoiler. https://edition.francesoir.fr/politique-monde/twitterfilesbrasil-le-bresil-repression-liberte-d-expression
    EDITION.FRANCESOIR.FR
    #TwitterFilesBrasil - Le Brésil engagé dans une vaste répression de la liberté d’expression ? Au bord du précipice déclare Michael Shellenberger | FranceSoir
    Emmanuel Macron a tout juste conclu une visite au Brésil, qu’éclate ce qui se présente comme une des plus grandes atteintes à la liberté d’expression au Brésil : les Twitter files brésiliennes mises à jour par le journaliste Michael Shellenberger et David Agape. L’article suivant est basé sur leur enquête.
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  • Par Capitaine Pons

    "L’Ukraine n’a jamais été libre. Ukraine veut dire « frontière » ou « Passage » en ukrainien. Et franchement, même le train lui est passée dessus. Les Ottomans, les Polonais. Les Allemands.
    L’Ukraine moderne a été entièrement créée par la Russie, ou plus précisément, par la Russie bolchevique et communiste. Staline, en 1922, proposa de conférer aux républiques, futures unités administratives et territoriales, des pouvoirs étendus lorsqu’elles rejoindraient l’État unifié. Lénine établie une structure étatique essentiellement confédérative sur le droit des peuples à l’autodétermination jusqu’à la possibilité d’une sécession qui ont constitué la base de l’État soviétique : d’abord en 1922, elles ont été consacrées dans la Déclaration sur la création de l’Union des républiques socialistes soviétiques, et puis, après la mort de Lénine, dans la Constitution de l’URSS de 1924. Quand l’URSS se dissout, l’Ukraine était encore frémissante, c’est mécaniquement retrouvé en état de sécession, avec la population de l’ancienne Russie.
    Mais voilà. Le monde est ainsi fait que le pouvoir ne laisse pas une jolie proie sans défense. Et jolie, l’Ukraine l’est beaucoup.
    -Géo stratégiquement, le pays est l’antichambre de Moscou. Le commandement des forces armées ukrainiennes, même des unités et sous-unités détachées, peut être exercé directement depuis les QG de l’OTAN. L’espace aérien de l’Ukraine est ouvert aux vols d’avions stratégiques et de reconnaissance américains, des drones qui sont utilisés pour surveiller le territoire de la Russie. J’ajouterai à cela que le centre d’opérations navales, construit à Otchakov par les Américains, permet d’assurer les actions des navires de l’OTAN, et notamment l’utilisation d’armes de haute précision contre la flotte russe de la mer Noire et les infrastructures sur tout le littoral de la mer Noire. Il fut un temps où les États-Unis avaient l’intention de créer des installations similaires en Crimée.
    - l’Ukraine dispose des technologies nucléaires datant de l’époque soviétique et des porteurs de ces armes, y compris l’aviation, ainsi que des missiles opérationnels tactiques Totchka-U (SS-21), conçus à l’ère soviétique également, dont la portée dépasse 100 kilomètres. Mais ils feront plus, ce n’est qu’une question de temps. Ils ont l’héritage de l’époque soviétique. Le gouvernement Russe ne pout pas rester les bras croisés face à ce danger réel, d’autant plus, je le répète, que les mécènes occidentaux peuvent contribuer à l’apparition de telles armes en Ukraine dans le but de créer une menace de plus pour notre pays.
    -L’article 17 de la Constitution de l’Ukraine n’autorise pas le déploiement de bases militaires étrangères sur le territoire du pays. Or, il s’est avéré que ce n’est qu’une formalité qui peut être facilement contournée. Des missions de formation et d’entraînement des pays de l’OTAN sont organisées en Ukraine. Ce sont, de fait, déjà des bases militaires étrangères. Ils ont simplement appelé la base « mission » et l’affaire est dans le sac.
    -L’Ukraine a beaucoup de ressources ; terres agricoles de bonne qualité, le grenier de l’Europe, mais aussi des mines, et peut être surtout, un tissus industriel hérité de l’URSS, Des industries telles que la construction mécanique, la construction d’équipement, l’industrie électronique, les constructions navales et aéronautiques. Le chantier naval de la mer Noire de Nikolaïev a été liquidé en 2021, là où les premiers chantiers navals avaient été fondés sous Catherine II. Le célèbre consortium Antonov n’a produit aucun avion de série depuis 2016 et l’usine Youjmach, spécialisé dans la production de matériel spatial et de fusées, s’est trouvé au bord de la faillite, tout comme l’aciérie de Krementchoug. Cette triste liste n’est pas exhaustive. Avec une population instruite et pauvre, le jackpot.
    -L’Ukraine est aussi la frontière entre le bloc Europe et le Bloc de l’Est.
    -Passage des gazoduc contrôlant le potentiel industriel de l’Europe.
    Notre ami le président Poutine avait bien conscience de la fragilité de ce petit état, la stratégie du gouvernement Russe était de créer une zone économique autour de la Russie renaissante, cette zone aurait été un tampon de négociation entre blocs.
    Autant dire que l’OTAN aussi avait bien conscience de la fragilité de ce petit état, ceci a été théorisé par Brezinski dans le livre ;« le grand échiquier », ce livre est à quelques virgule prêt la doctrine US.
    La dame Ukraine était très courtisée, à celui qui lui offre la plus belle situation. A ce jeu la Russie a gagné, les échanges industriels avec la mère patrie était naturel abondant et lucratif, la Russie aidait ses partenaires de la CEI, les collègues ukrainiens compris, qui envoyaient de multiples demandes d’appui matériel depuis la déclaration de leur indépendance. Selon les experts, dont les appréciations sont confirmées par un simple calcul des prix sur nos hydrocarbures, des crédits préférentiels, des préférences économiques et commerciales octroyées par la Russie à l’Ukraine, sur la période de 1991 à 2003 le budget ukrainien a bénéficié d’à peu près 250 milliards de dollars. Et ce n’est pas tout. Vers la fin de 1991 la dette de l’URSS auprès des pays étrangers et des fonds internationaux était de presque 100 milliards de dollars. Au début il était prévu que ces prêts seraient remboursés par toutes les républiques de l’ex-URSS de manière solidaire, proportionnellement à leur potentiel économique. Cependant c’est la Russie qui s’est acquittée de l’ensemble de la dette soviétique. Ce processus a été définitivement clos en 2017. En 2011, le volume de nos échanges commerciaux bilatéraux dépassait 50 milliards de dollars. Je note qu’en 2019, c’est-à-dire avant la pandémie, le volume des échanges commerciaux de l’Ukraine avec les pays de l’Union européenne était inférieur à ce niveau.
    -pour conserver Dame Ukraine dans son lit. La doctrine Russe, la philosophie des brics consiste à croire que la coopération est plus forte que la compétition, coopérer et non asservir. Nous sommes dans les années 2000, dix ans après l’effondrement de l’Urss, l’Ukraine est une demoiselle toute jeune et toute fraiche, la vie lui appartient, les Blocs Eurasie/ Occident lui offrent des ponts d’or, il faut choisir ; -le président Leonid Koutchma coopère en bonne intelligence avec ses voisins, jusqu’en 2004, puis de 2004 à 2010 Viktor Iouchtchenko écoute les sirènes de l’Ouest, Kiev a essayé d’utiliser le dialogue avec la Russie comme prétexte pour marchander avec l’Occident, le faisant chanter par un rapprochement avec Moscou pour obtenir des avantages, disant que sinon l’influence russe sur l’Ukraine allait grandir. Apparait la participation des nationalistes et des néo-nazis ukrainiens aux bandes terroristes agissant dans le Caucase du Nord, de là les revendications territoriales de plus en plus fortes contre la Russie. Des forces extérieures ont également joué leur rôle, qui à l’aide d’un vaste réseau d’ONG et de services spéciaux ont cultivé leur clientèle ukrainienne et porté au pouvoir leurs représentants.
    De 2010 à 2014 ;Viktor Ianoukovytch reprends le pouvoir et arbitre pour le côté russe suis à des propositions irrefusables concernant l’alimentation de gaz. Il est renversé par la révolution de Maidan orchestré par les US qui ne peuvent accepter l’arbitrage de Ianoukovytch. Le soutien financier accordé au soi-disant camp de protestation sur la place de l’Indépendance à Kiev par l’Ambassade américaine s’est élevé à un million de dollars par jour. Des sommes supplémentaires assez importantes étaient insolemment versées directement sur les comptes bancaires des leaders de l’opposition. Et il s’agit de dizaines de millions de dollars. Et combien les personnes blessées, les familles des gens morts durant les affrontements provoqués dans les rues et sur les places de Kiev et d’autres villes ont-elles reçu ? Il vaut mieux ne pas le demander. Les extrémistes qui ont pris le pouvoir ont organisé la persécution, instauré une véritable terreur contre tous ceux qui s’opposaient aux actions anticonstitutionnelles. Leur but n’est pas de créer les meilleures conditions pour le bien-être du peuple, mais de préserver, grâce aux services rendus obséquieusement aux rivaux géopolitiques de la Russie, des milliards de dollars volés aux Ukrainiens et cachés par les oligarques dans des banques occidentales. Certains groupes financiers industriels ainsi que les représentants politiques et les partis qu’ils ont pris en charge financièrement dès le début s’appuyaient sur les nationalistes et les extrémistes.
    Petro Porochenko, le roi du chocolat, et sous-fifre de Victoria Neuland, reprend le pouvoir. L’Ukraine est alors complètement sous le contrôle US, il se trouve que le beau Yankee est un mac sans pitié ; le pillage flagrant est open bar, le pays est vendu, comme le faisait Eltsine, aux oligarques américains pour approvisionner le marché de la FED, les industries passent sous contrôle américain, les terres appartiennent à BlackRock , la finance se gave sur le marché des armes et de la corruption, il a été inventé une obligation basé sur la plus-value des aides de l’Europe, les mecs font des paris comme au PMU, quel crétin lèvera le plus grand racket contre rétrocommission et escalade de l’échelle de Ponzi de la pyramide FED. Le reste de la population est réduite à l’esclavage, les hommes pauvres servent de chair à canon, le pays se vide, il n’y a absolument aucun avenir.
    Une fois le loup dans la bergerie, le bordel peut commencer, le but des américains est de déstabiliser le gouvernement de la grande Russie pour replacer un Eltsine, ou un « gars à eux », il faut donc pousser poutine à la faute.
    Tout est fait - Il a été clairement indiqué dans le territoire Ukrainien aux personnes qui se considèrent comme Russes et souhaitent préserver leur identité, leur langue et leur culture qu’elles étaient étrangères en Ukraine. Conformément aux lois sur l’enseignement et sur le fonctionnement de la langue ukrainienne en tant que langue officielle, le russe a expulsé des écoles, de toutes les activités publiques, jusqu’aux magasins ordinaires. La loi dite de lustration, la « purification » du pouvoir a permis de se débarrasser des fonctionnaires indésirables. Il y a de plus en plus d’actes qui donnent aux forces de l’ordre ukrainiennes les raisons d’exercer une répression violente de la liberté d’expression,
    -Porochenko bombardera les populations russes du Donbass 8 ans durant.
    - les documents internationaux fixent expressément le principe de sécurité égale et indivisible qui, chacun sait, comprend l’obligation de ne pas renforcer sa sécurité au détriment de la sécurité des autres pays. Je peux également me référer ici à la Charte de la sécurité européenne de l’OSCE de 1999, adoptée à Istanbul, et à la Déclaration d’Astana de l’OSCE de 2010. En d’autres termes, le choix des moyens visant à assurer la sécurité ne doit pas constituer une menace pour les autres pays. Or, l’adhésion de l’Ukraine à l’OTAN représente une menace directe pour la sécurité de la Russie. Dans le cadre du projet américain visant à créer un système global de défense antimissile, des zones de positionnement pour le bouclier antimissile sont déployées. On sait bien que les systèmes de lancement installés ici peuvent être utilisés pour les missiles de croisière Tomahawk, qui sont des systèmes offensifs. En outre un missile universel de Standard 6, ou SM-6, est en cours de conception aux Etats-Unis, il peut servir à des missions de défense anti-aérienne et antimissile et, en même temps, peut frapper des cibles universelles, que ce soit à la surface de la mer ou sur terre. C’est-à-dire que le système antimissile américain, prétendument défensif, se développe et de nouvelles opportunités offensives apparaissent. Les informations dont nous disposons donnent de bonnes raisons de croire que l’adhésion de l’Ukraine à l’OTAN et le déploiement ultérieur des installations de l’Alliance nord-atlantique là-bas est une question déjà résolue, c’est une question de temps. Nous comprenons clairement qu’avec un tel scénario, le niveau de menaces militaires pour la Russie augmentera considérablement.
    Et j’attire particulièrement votre attention sur ce que le danger d’une frappe soudaine contre la Russie augmentera fortement. Je tiens à expliquer que dans les documents américains de planification stratégique (il s’agit bien de documents !) la possibilité d’une attaque dite préventive contre les complexes de missiles ennemis est prescrite.
    Et nous savons aussi qui est le principal adversaire pour les États-Unis et l’OTAN. C’est la Russie. Dans les documents de l’OTAN, la Russie est officiellement, explicitement, désigné comme la menace principale pour la sécurité euro-atlantique. Et l’Ukraine servira de champ de bataille pour cela. Si nos ancêtres avaient entendu ça, ils n’y auraient tout simplement pas cru. C’est une ligne rouge pour Poutine le rouge.
    De nombreuses bases aériennes ukrainiennes sont situées à proximité des frontières. Et l’aviation tactique de l’OTAN qui est sur place, y compris avec des vecteurs d’armes de précision, sont capables de frapper le territoire jusqu’aux villes de Volgograd, Kazan, Samara, Astrakhan. Le déploiement de radars de reconnaissance sur le territoire ukrainien permettra à l’OTAN de contrôler étroitement l’espace aérien de la Russie jusqu’à l’Oural. Le Pentagone a commencé à développer ouvertement toute une gamme de systèmes de frappe basés au sol, y compris des missiles balistiques capables d’atteindre des cibles situées à des distances allant jusqu’à 5 500 kilomètres. Une fois déployés en Ukraine, ces systèmes pourront frapper des objectifs sur l’ensemble de la partie européenne de la Russie, ainsi qu’au-delà de l’Oural. Le temps de vol jusqu’à Moscou pour les missiles de croisière Tomahawk serait inférieur à 35 minutes, pour les missiles balistiques depuis la région de Kharkov – de sept à huit minutes et pour les frappes hypersoniques – de quatre à cinq minutes. Cela s’appelle nous mettre le couteau sous la gorge. c'est clairement une ligne rouge.

    Malgré la gesticulation de Poutine, rien n’arrête les US de Obama, ce chien fou, et puis il faut dire que cela arrange bien les us ; -Enrichissement du militaro indus US
    -asservissement de l’Europe en leur coupant l’approvisionnement en gaz
    -enfin rentabiliser leur gaz de schiste très cher et très polluant.
    -séparation Europe/ Russie, qui pourrait constituer un bloc dangereux pour eux, séparer pour mieux régner
    - Tentative de sauvetage de la FED par une Déstabilisation du pouvoir russe
    -mise au pas mondial de l’hégémonie ricaine.
    Mais cela ne ce n’est pas tout à fait passé comme les américains le désiraient, la Russie a parfaitement le droit de prendre des contre-mesures pour assurer sa propre sécurité. Ce qui a été fait de façon à stopper les plans de la Fed en utilisant l’OTAN.
    Un nouveau front s’ouvre plus au sud, en Palestine, les combats font rage en Syrie, au Yémen, les américains ne peuvent supporter plusieurs fronts, ils se retirent de la belle Ukraine. La majorité des goals sont atteint, les gringos ont fini, ils se retirent.
    Et Nous, la France ? je dois ici encore rappeler que je suis pro-français, pas pro-russe ou pro-gringo, et nous, la France, quels sont nos intérêts dans cette histoire ? qu’allons-nous faire ? lécher les déchets yankee ?
    Pourquoi tous ces abrutis veulent aller faire faire la guerre à nos gamins ? car c’est nos fils qui iront, pas les leurs. Savent ils ce qu'ils font ? La guerre c’est la famine, c’est un corps blessé qui se tord en bas de chez toi que tu dois enjamber pour sortir, la guerre c’est la peau du visage arraché pour que on ne puisse reconnaitre l’individu, et enfin la guerre c’est la peur, la misère humaine, la fin des rapports de confiance, et sans confiance, point de vie.
    La Russie est-elle menaçante ?
    Est-ce que il est l’intérêt de la France de soutenir la FED ?
    la réponse est non."

    https://twitter.com/PonsCapitaine/status/1764390361831452931
    Par Capitaine Pons "L’Ukraine n’a jamais été libre. Ukraine veut dire « frontière » ou « Passage » en ukrainien. Et franchement, même le train lui est passée dessus. Les Ottomans, les Polonais. Les Allemands. L’Ukraine moderne a été entièrement créée par la Russie, ou plus précisément, par la Russie bolchevique et communiste. Staline, en 1922, proposa de conférer aux républiques, futures unités administratives et territoriales, des pouvoirs étendus lorsqu’elles rejoindraient l’État unifié. Lénine établie une structure étatique essentiellement confédérative sur le droit des peuples à l’autodétermination jusqu’à la possibilité d’une sécession qui ont constitué la base de l’État soviétique : d’abord en 1922, elles ont été consacrées dans la Déclaration sur la création de l’Union des républiques socialistes soviétiques, et puis, après la mort de Lénine, dans la Constitution de l’URSS de 1924. Quand l’URSS se dissout, l’Ukraine était encore frémissante, c’est mécaniquement retrouvé en état de sécession, avec la population de l’ancienne Russie. Mais voilà. Le monde est ainsi fait que le pouvoir ne laisse pas une jolie proie sans défense. Et jolie, l’Ukraine l’est beaucoup. -Géo stratégiquement, le pays est l’antichambre de Moscou. Le commandement des forces armées ukrainiennes, même des unités et sous-unités détachées, peut être exercé directement depuis les QG de l’OTAN. L’espace aérien de l’Ukraine est ouvert aux vols d’avions stratégiques et de reconnaissance américains, des drones qui sont utilisés pour surveiller le territoire de la Russie. J’ajouterai à cela que le centre d’opérations navales, construit à Otchakov par les Américains, permet d’assurer les actions des navires de l’OTAN, et notamment l’utilisation d’armes de haute précision contre la flotte russe de la mer Noire et les infrastructures sur tout le littoral de la mer Noire. Il fut un temps où les États-Unis avaient l’intention de créer des installations similaires en Crimée. - l’Ukraine dispose des technologies nucléaires datant de l’époque soviétique et des porteurs de ces armes, y compris l’aviation, ainsi que des missiles opérationnels tactiques Totchka-U (SS-21), conçus à l’ère soviétique également, dont la portée dépasse 100 kilomètres. Mais ils feront plus, ce n’est qu’une question de temps. Ils ont l’héritage de l’époque soviétique. Le gouvernement Russe ne pout pas rester les bras croisés face à ce danger réel, d’autant plus, je le répète, que les mécènes occidentaux peuvent contribuer à l’apparition de telles armes en Ukraine dans le but de créer une menace de plus pour notre pays. -L’article 17 de la Constitution de l’Ukraine n’autorise pas le déploiement de bases militaires étrangères sur le territoire du pays. Or, il s’est avéré que ce n’est qu’une formalité qui peut être facilement contournée. Des missions de formation et d’entraînement des pays de l’OTAN sont organisées en Ukraine. Ce sont, de fait, déjà des bases militaires étrangères. Ils ont simplement appelé la base « mission » et l’affaire est dans le sac. -L’Ukraine a beaucoup de ressources ; terres agricoles de bonne qualité, le grenier de l’Europe, mais aussi des mines, et peut être surtout, un tissus industriel hérité de l’URSS, Des industries telles que la construction mécanique, la construction d’équipement, l’industrie électronique, les constructions navales et aéronautiques. Le chantier naval de la mer Noire de Nikolaïev a été liquidé en 2021, là où les premiers chantiers navals avaient été fondés sous Catherine II. Le célèbre consortium Antonov n’a produit aucun avion de série depuis 2016 et l’usine Youjmach, spécialisé dans la production de matériel spatial et de fusées, s’est trouvé au bord de la faillite, tout comme l’aciérie de Krementchoug. Cette triste liste n’est pas exhaustive. Avec une population instruite et pauvre, le jackpot. -L’Ukraine est aussi la frontière entre le bloc Europe et le Bloc de l’Est. -Passage des gazoduc contrôlant le potentiel industriel de l’Europe. Notre ami le président Poutine avait bien conscience de la fragilité de ce petit état, la stratégie du gouvernement Russe était de créer une zone économique autour de la Russie renaissante, cette zone aurait été un tampon de négociation entre blocs. Autant dire que l’OTAN aussi avait bien conscience de la fragilité de ce petit état, ceci a été théorisé par Brezinski dans le livre ;« le grand échiquier », ce livre est à quelques virgule prêt la doctrine US. La dame Ukraine était très courtisée, à celui qui lui offre la plus belle situation. A ce jeu la Russie a gagné, les échanges industriels avec la mère patrie était naturel abondant et lucratif, la Russie aidait ses partenaires de la CEI, les collègues ukrainiens compris, qui envoyaient de multiples demandes d’appui matériel depuis la déclaration de leur indépendance. Selon les experts, dont les appréciations sont confirmées par un simple calcul des prix sur nos hydrocarbures, des crédits préférentiels, des préférences économiques et commerciales octroyées par la Russie à l’Ukraine, sur la période de 1991 à 2003 le budget ukrainien a bénéficié d’à peu près 250 milliards de dollars. Et ce n’est pas tout. Vers la fin de 1991 la dette de l’URSS auprès des pays étrangers et des fonds internationaux était de presque 100 milliards de dollars. Au début il était prévu que ces prêts seraient remboursés par toutes les républiques de l’ex-URSS de manière solidaire, proportionnellement à leur potentiel économique. Cependant c’est la Russie qui s’est acquittée de l’ensemble de la dette soviétique. Ce processus a été définitivement clos en 2017. En 2011, le volume de nos échanges commerciaux bilatéraux dépassait 50 milliards de dollars. Je note qu’en 2019, c’est-à-dire avant la pandémie, le volume des échanges commerciaux de l’Ukraine avec les pays de l’Union européenne était inférieur à ce niveau. -pour conserver Dame Ukraine dans son lit. La doctrine Russe, la philosophie des brics consiste à croire que la coopération est plus forte que la compétition, coopérer et non asservir. Nous sommes dans les années 2000, dix ans après l’effondrement de l’Urss, l’Ukraine est une demoiselle toute jeune et toute fraiche, la vie lui appartient, les Blocs Eurasie/ Occident lui offrent des ponts d’or, il faut choisir ; -le président Leonid Koutchma coopère en bonne intelligence avec ses voisins, jusqu’en 2004, puis de 2004 à 2010 Viktor Iouchtchenko écoute les sirènes de l’Ouest, Kiev a essayé d’utiliser le dialogue avec la Russie comme prétexte pour marchander avec l’Occident, le faisant chanter par un rapprochement avec Moscou pour obtenir des avantages, disant que sinon l’influence russe sur l’Ukraine allait grandir. Apparait la participation des nationalistes et des néo-nazis ukrainiens aux bandes terroristes agissant dans le Caucase du Nord, de là les revendications territoriales de plus en plus fortes contre la Russie. Des forces extérieures ont également joué leur rôle, qui à l’aide d’un vaste réseau d’ONG et de services spéciaux ont cultivé leur clientèle ukrainienne et porté au pouvoir leurs représentants. De 2010 à 2014 ;Viktor Ianoukovytch reprends le pouvoir et arbitre pour le côté russe suis à des propositions irrefusables concernant l’alimentation de gaz. Il est renversé par la révolution de Maidan orchestré par les US qui ne peuvent accepter l’arbitrage de Ianoukovytch. Le soutien financier accordé au soi-disant camp de protestation sur la place de l’Indépendance à Kiev par l’Ambassade américaine s’est élevé à un million de dollars par jour. Des sommes supplémentaires assez importantes étaient insolemment versées directement sur les comptes bancaires des leaders de l’opposition. Et il s’agit de dizaines de millions de dollars. Et combien les personnes blessées, les familles des gens morts durant les affrontements provoqués dans les rues et sur les places de Kiev et d’autres villes ont-elles reçu ? Il vaut mieux ne pas le demander. Les extrémistes qui ont pris le pouvoir ont organisé la persécution, instauré une véritable terreur contre tous ceux qui s’opposaient aux actions anticonstitutionnelles. Leur but n’est pas de créer les meilleures conditions pour le bien-être du peuple, mais de préserver, grâce aux services rendus obséquieusement aux rivaux géopolitiques de la Russie, des milliards de dollars volés aux Ukrainiens et cachés par les oligarques dans des banques occidentales. Certains groupes financiers industriels ainsi que les représentants politiques et les partis qu’ils ont pris en charge financièrement dès le début s’appuyaient sur les nationalistes et les extrémistes. Petro Porochenko, le roi du chocolat, et sous-fifre de Victoria Neuland, reprend le pouvoir. L’Ukraine est alors complètement sous le contrôle US, il se trouve que le beau Yankee est un mac sans pitié ; le pillage flagrant est open bar, le pays est vendu, comme le faisait Eltsine, aux oligarques américains pour approvisionner le marché de la FED, les industries passent sous contrôle américain, les terres appartiennent à BlackRock , la finance se gave sur le marché des armes et de la corruption, il a été inventé une obligation basé sur la plus-value des aides de l’Europe, les mecs font des paris comme au PMU, quel crétin lèvera le plus grand racket contre rétrocommission et escalade de l’échelle de Ponzi de la pyramide FED. Le reste de la population est réduite à l’esclavage, les hommes pauvres servent de chair à canon, le pays se vide, il n’y a absolument aucun avenir. Une fois le loup dans la bergerie, le bordel peut commencer, le but des américains est de déstabiliser le gouvernement de la grande Russie pour replacer un Eltsine, ou un « gars à eux », il faut donc pousser poutine à la faute. Tout est fait - Il a été clairement indiqué dans le territoire Ukrainien aux personnes qui se considèrent comme Russes et souhaitent préserver leur identité, leur langue et leur culture qu’elles étaient étrangères en Ukraine. Conformément aux lois sur l’enseignement et sur le fonctionnement de la langue ukrainienne en tant que langue officielle, le russe a expulsé des écoles, de toutes les activités publiques, jusqu’aux magasins ordinaires. La loi dite de lustration, la « purification » du pouvoir a permis de se débarrasser des fonctionnaires indésirables. Il y a de plus en plus d’actes qui donnent aux forces de l’ordre ukrainiennes les raisons d’exercer une répression violente de la liberté d’expression, -Porochenko bombardera les populations russes du Donbass 8 ans durant. - les documents internationaux fixent expressément le principe de sécurité égale et indivisible qui, chacun sait, comprend l’obligation de ne pas renforcer sa sécurité au détriment de la sécurité des autres pays. Je peux également me référer ici à la Charte de la sécurité européenne de l’OSCE de 1999, adoptée à Istanbul, et à la Déclaration d’Astana de l’OSCE de 2010. En d’autres termes, le choix des moyens visant à assurer la sécurité ne doit pas constituer une menace pour les autres pays. Or, l’adhésion de l’Ukraine à l’OTAN représente une menace directe pour la sécurité de la Russie. Dans le cadre du projet américain visant à créer un système global de défense antimissile, des zones de positionnement pour le bouclier antimissile sont déployées. On sait bien que les systèmes de lancement installés ici peuvent être utilisés pour les missiles de croisière Tomahawk, qui sont des systèmes offensifs. En outre un missile universel de Standard 6, ou SM-6, est en cours de conception aux Etats-Unis, il peut servir à des missions de défense anti-aérienne et antimissile et, en même temps, peut frapper des cibles universelles, que ce soit à la surface de la mer ou sur terre. C’est-à-dire que le système antimissile américain, prétendument défensif, se développe et de nouvelles opportunités offensives apparaissent. Les informations dont nous disposons donnent de bonnes raisons de croire que l’adhésion de l’Ukraine à l’OTAN et le déploiement ultérieur des installations de l’Alliance nord-atlantique là-bas est une question déjà résolue, c’est une question de temps. Nous comprenons clairement qu’avec un tel scénario, le niveau de menaces militaires pour la Russie augmentera considérablement. Et j’attire particulièrement votre attention sur ce que le danger d’une frappe soudaine contre la Russie augmentera fortement. Je tiens à expliquer que dans les documents américains de planification stratégique (il s’agit bien de documents !) la possibilité d’une attaque dite préventive contre les complexes de missiles ennemis est prescrite. Et nous savons aussi qui est le principal adversaire pour les États-Unis et l’OTAN. C’est la Russie. Dans les documents de l’OTAN, la Russie est officiellement, explicitement, désigné comme la menace principale pour la sécurité euro-atlantique. Et l’Ukraine servira de champ de bataille pour cela. Si nos ancêtres avaient entendu ça, ils n’y auraient tout simplement pas cru. C’est une ligne rouge pour Poutine le rouge. De nombreuses bases aériennes ukrainiennes sont situées à proximité des frontières. Et l’aviation tactique de l’OTAN qui est sur place, y compris avec des vecteurs d’armes de précision, sont capables de frapper le territoire jusqu’aux villes de Volgograd, Kazan, Samara, Astrakhan. Le déploiement de radars de reconnaissance sur le territoire ukrainien permettra à l’OTAN de contrôler étroitement l’espace aérien de la Russie jusqu’à l’Oural. Le Pentagone a commencé à développer ouvertement toute une gamme de systèmes de frappe basés au sol, y compris des missiles balistiques capables d’atteindre des cibles situées à des distances allant jusqu’à 5 500 kilomètres. Une fois déployés en Ukraine, ces systèmes pourront frapper des objectifs sur l’ensemble de la partie européenne de la Russie, ainsi qu’au-delà de l’Oural. Le temps de vol jusqu’à Moscou pour les missiles de croisière Tomahawk serait inférieur à 35 minutes, pour les missiles balistiques depuis la région de Kharkov – de sept à huit minutes et pour les frappes hypersoniques – de quatre à cinq minutes. Cela s’appelle nous mettre le couteau sous la gorge. c'est clairement une ligne rouge. Malgré la gesticulation de Poutine, rien n’arrête les US de Obama, ce chien fou, et puis il faut dire que cela arrange bien les us ; -Enrichissement du militaro indus US -asservissement de l’Europe en leur coupant l’approvisionnement en gaz -enfin rentabiliser leur gaz de schiste très cher et très polluant. -séparation Europe/ Russie, qui pourrait constituer un bloc dangereux pour eux, séparer pour mieux régner - Tentative de sauvetage de la FED par une Déstabilisation du pouvoir russe -mise au pas mondial de l’hégémonie ricaine. Mais cela ne ce n’est pas tout à fait passé comme les américains le désiraient, la Russie a parfaitement le droit de prendre des contre-mesures pour assurer sa propre sécurité. Ce qui a été fait de façon à stopper les plans de la Fed en utilisant l’OTAN. Un nouveau front s’ouvre plus au sud, en Palestine, les combats font rage en Syrie, au Yémen, les américains ne peuvent supporter plusieurs fronts, ils se retirent de la belle Ukraine. La majorité des goals sont atteint, les gringos ont fini, ils se retirent. Et Nous, la France ? je dois ici encore rappeler que je suis pro-français, pas pro-russe ou pro-gringo, et nous, la France, quels sont nos intérêts dans cette histoire ? qu’allons-nous faire ? lécher les déchets yankee ? Pourquoi tous ces abrutis veulent aller faire faire la guerre à nos gamins ? car c’est nos fils qui iront, pas les leurs. Savent ils ce qu'ils font ? La guerre c’est la famine, c’est un corps blessé qui se tord en bas de chez toi que tu dois enjamber pour sortir, la guerre c’est la peau du visage arraché pour que on ne puisse reconnaitre l’individu, et enfin la guerre c’est la peur, la misère humaine, la fin des rapports de confiance, et sans confiance, point de vie. La Russie est-elle menaçante ? Est-ce que il est l’intérêt de la France de soutenir la FED ? la réponse est non." https://twitter.com/PonsCapitaine/status/1764390361831452931
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  • La disparition des libertés s'accélèrent de plus en plus... C'est flippant !
    Et la répression des innocents vs l'impunité totale des criminels est de plus en plus flagrante !

    Ici un monsieur qui a été mis en garde à vue pour avoir fumé une clope à moins de 200 m d'une forêt (mais il était dans son jardin) !

    https://www.tiktok.com/@alban_detouche/video/7306792234123267361?_r=1&_t=8hlVPhrBxWS
    La disparition des libertés s'accélèrent de plus en plus... C'est flippant ! Et la répression des innocents vs l'impunité totale des criminels est de plus en plus flagrante ! Ici un monsieur qui a été mis en garde à vue pour avoir fumé une clope à moins de 200 m d'une forêt (mais il était dans son jardin) ! https://www.tiktok.com/@alban_detouche/video/7306792234123267361?_r=1&_t=8hlVPhrBxWS
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  • 🔴 Covid, Changement climatique, Ukraine, Israël… – L’étau du Grand Reset se resserre

    Lien du thread de Peonia :
    https://twitter.com/CalliFanciulla/status/1717084644259025352

    📍Depuis trois ans et demi, l’agenda mondialiste est promu avec une fureur sans précédent. Et chaque événement majeur – pandémie, guerre, crise – a pour but de créer des failles dans la résistance.

    Un éditorial de Kit Knightly du Off-Guardian

    📍Il y a quelques jours, j’ai publié un article expliquant comment le Grand Reset continue d’avancer en coulisses, alors que la Une des médias est occupée par Israël et la Palestine.
    Il est également vrai qu’en plus de deux semaines d’existence, la guerre elle-même a fait avancer la Grande Réinitialisation.

    La censure
    Normaliser la répression de la dissidence et créer une culture de peur autour de la liberté d’expression est un élément majeur de la Grande Réinitialisation. Lorsque vous interdisez les manifestations gênantes, toutes les autres étapes deviennent plus faciles.
    Et évidemment, depuis le début de la guerre, les appels à la suppression de la liberté d’expression ont été partout.

    Nous en avons parlé dans notre article « La guerre entre Israël et le Hamas – un autre prétexte pour interdire la liberté d'expression » .

    📍Source : https://off-guardian.org/2023/10/11/israel-hamas-war-another-excuse-to-shut-down-free-speech/

    Depuis la parution de cet article, la campagne de censure s’est intensifiée.
    Le commissaire européen Thierry Bretton a envoyé des lettres d'avertissement à toutes les principales plateformes de médias sociaux , affirmant qu'elles devaient « lutter contre la désinformation » sur Israël et les menaçant d'amendes.

    📍Source : https://npr.org/2023/10/12/1205375878/walk-the-talk-or-face-fines-eu-boss-tells-musk-zuckerberg-and-tik-tok-chief

    Portant un nouveau coup au récit selon lequel « la Chine est de notre côté » , l'application vidéo TikTok a accepté avec enthousiasme de « lutter contre la désinformation » .

    📍Source : https://dailyprogress.com/life-entertainment/nation-world/technology/tiktok-takes-action-to-control-israel-conflict-misinformation/video_7b9607de-f3c7-5ac6-b209-7448d20ee065.html

    Les étudiants de Harvard et de Berkeley ont été menacés de « mise sur liste noire » pour avoir exprimé leur soutien à la Palestine.

    📍Source : https://x.com/ussamamakdisi/status/1714258950680715714?s=46

    En Allemagne et en France, la police réprime les manifestations pro-palestiniennes, tandis qu'en Grande-Bretagne et aux États-Unis, des appels ont été lancés pour arrêter les personnes brandissant des drapeaux palestiniens ou pour expulser ceux qui « soutiennent le Hamas » .

    📍Source : https://thehill.com/homenews/senate/4259079-cotton-calls-for-deportation-of-foreign-nationals-who-support-hamas/

    Créer une culture de la peur, faire en sorte que les gens aient peur de s’exprimer ou d’exprimer leurs opinions politiques n’est qu’une des nombreuses choses que le Covid, l’Ukraine, le changement climatique et maintenant Israël ont en commun.

    Programme de reconnaissance faciale
    C'est toujours bizarre quand surgit une histoire soi-disant « de gauche » et qui s'inscrit parfaitement dans un sujet déjà d'actualité.
    Le développement de la technologie de reconnaissance faciale (FRT), qui constitue une menace pour le droit de chacun à la vie privée, en est un exemple.
    Avant « l’attaque surprise », l’utilisation par Israël de la technologie de reconnaissance faciale était qualifiée par Amnesty International d’ « apartheid automatisé » .

    📍Source : https://amnesty.org.uk/press-releases/israel-using-previously-unreported-facial-recognition-system-automate-apartheid

    Aux États-Unis, les États s’opposent depuis longtemps au TRF, certains d’entre eux adoptant des lois spéciales d’interdiction .

    📍Source : https://nextgov.com/digital-government/2023/03/lawmakers-intro-bill-ban-government-use-facial-recognition/383691/

    Mais il semble désormais qu’Israël ait utilisé la technologie de reconnaissance faciale pour identifier les morts et les blessés .

    📍Source : https://forbes.com/sites/thomasbrewster/2023/10/11/hospital-uses-facial-recognition-to-identify-israel-hamas-war-dead/

    Le Jerusalem Post a qualifié le TRF d' « outil pour aider Israël à se remettre de la guerre du Hamas » .

    📍Source : https://m.jpost.com/opinion/article-768957

    Et, par une étrange coïncidence, trois jours avant la prétendue « attaque surprise », le gouvernement suédois aurait été contraint d' étendre l'utilisation du TRF en raison de la « violence des gangs » locaux.

    📍Source : https://euractiv.com/section/politics/news/sweden-promises-more-drones-facial-recognition-in-gang-violence-fight/

    Au Royaume-Uni, le nouvel élan de TRF a coïncidé parfaitement avec le projet du gouvernement de télécharger chaque photo d'identité de sa base de données dans un programme de reconnaissance faciale .

    📍Source : https://off-guardian.org/2023/10/14/while-you-were-watching-israel/
    🔽

    2.
    Ces projets ont suscité peu de protestations, principalement parce que très peu de gens en ont entendu parler.
    Puis samedi, lors de la manifestation pro-palestinienne à Londres, la Metropolitan Police a utilisé les pouvoirs conférés par l'article 60AA de la loi et a demandé aux manifestants de ne pas se couvrir le visage afin de pouvoir utiliser TRF en direct .

    📍Source : https://met.police.uk/advice/advice-and-information/fr/facial-recognition-technology/

    Cette méthode est également utilisée en Suède, un autre pays « gentil ».
    Personne n’a dit un mot d’objection. Ce qui était considéré comme « orwellien » en avril est soudain devenu – « grâce » à la nouvelle guerre – acceptable.

    📍Source : https://theguardian.com/technology/2023/apr/05/live-facial-recognition-criticised-metropolitan-police

    📍Source : https://x.com/skynews/status/1713236394347270597?s=46

    Le fait que ces mêmes personnes qui exigent désormais que personne ne se couvre le visage crient depuis trois ans « portez un masque ! » c'est l'une des grandes ironies de l'histoire.
    Tout aussi ironique, mais bien plus tragique, les mêmes personnes qui se sont opposées à l’utilisation de cette technologie lors des manifestations anti-confinement et anti-vaccination approuvent son utilisation sur des « sympathisants terroristes ». Ce qui nous amène au point trois…
    Diviser la presse alternative
    La presse indépendante est la principale raison pour laquelle le « récit de la pandémie » a raté ses cibles.
    L’histoire a perdu de son élan face à une résistance acharnée de tous les bords politiques, de la gauche anarchiste à la droite libertaire.
    Depuis lors, un élément majeur de la stratégie mondialiste a été de saper cette solidarité et la force des médias alternatifs, en attaquant leurs sources de financement, en limitant leur influence et – surtout – en semant la discorde avec des sujets de diversion qui divisent.
    Ce n’est pas un hasard si l’invasion de l’Ukraine par la Russie a déchiré le mouvement de résistance anti-Covid en plein milieu, le divisant selon d’anciennes lignes de fracture idéologiques.
    Le déclenchement de la « guerre » entre Israël et le Hamas a divisé les deux camps en deux nouveaux camps.
    L’action collective et la pensée indépendante ont été anéanties au profit du tribalisme.
    Les gens ont été manipulés pour abandonner leurs positions anti-mondialistes afin de défendre les « bons mondialistes » contre les « mauvais mondialistes ».
    Cela a non seulement détruit l’alliance des dissidents anti-confinement/anti-vaccin, mais a également écrasé leurs principes et discrédité leurs opinions.
    Beaucoup – principalement dans le camp conservateur de droite – ont oublié qu’Israël était à l’avant-garde du mensonge du Covid , que les Israéliens ont été les premiers à vacciner et à utiliser des « passeports verts », et ont pris sa défense (ou plutôt ont profité de l’occasion pour le défendre). promouvoir un agenda anti-islamique).
    Ils réclament désormais des sanctions collectives et – comme je l’ai montré plus haut – applaudissent à la suppression de la liberté d’expression des « sympathisants terroristes ».
    Prenons l'exemple de Douglas Murray, considéré comme un « absolutiste de la liberté d'expression ». Mais qui, suite à "l'attaque surprise", écrit des chroniques avec des titres comme celui-ci ...

    📍Source : https://spectator.co.uk/article/why-do-we-allow-protests-that-glorify-slaughter/

    "Pourquoi permettons-nous des manifestations qui glorifient le massacre ?"
    Que ces personnes aient été sincères ou non dans leur protestation pour la liberté, leur crédibilité sur ce front est définitivement compromise.
    Je pense que ce tweet le dit le mieux : 🔽

    "Those who once stood united, due to their experiences of a manipulated Covid-19 Pandemic & subsequent roll out of experimental vaccines, are now all divided over a manipulated situation involving Palestine & Israel.

    Please give yourselves a pat on the back. You all deserve a medal."

    https://twitter.com/TheOriginalSai/status/1712399859733483844

    3.
    « Ceux qui étaient autrefois unis, suite à leurs expériences dans la pandémie manipulée du Covid-19 puis dans la vaccination, sont désormais tous divisés dans une situation manipulée impliquant Israël et la Palestine.
    "Vous pouvez vous féliciter. Vous méritez une médaille.

    "Monde multipolaire"
    L’autre facette de la fracture qui continue de déchirer le mouvement sceptique face au Covid est la promotion continue du soi-disant « monde multipolaire ».
    Le fait que la force dirigeante du monde soit une élite mondialiste qui n’a de domicile dans aucun État a été clairement démontré par la fausse « pandémie ».
    Depuis lors, l’un des objectifs majeurs de l’élite mondialiste a été d’effacer ce souvenir de notre mémoire.
    Un faux « récit » a été présenté au public selon lequel l’empire américain en ruine est le « mondialisme » et qu’il existe un axe d’opposition incarné par la Russie, la Chine, l’Iran et d’autres.
    Cette histoire a été vendue au public par les médias « grand public » et alternatifs depuis le début de « l’opération militaire spéciale » en Russie.
    Il s’agit d’une histoire binaire simpliste « bons/méchants » conçue pour passer sous silence les deux années de coopération mondiale à grande échelle entre ces supposés « ennemis » pendant la Covid.
    La guerre entre Israël et le Hamas contribue déjà à alimenter ce récit trompeur. Il crée l’impression d’un monde divisé selon des lignes anciennes mais de moins en moins importantes.
    La pandémie a clairement démontré que les élites mondiales suivent toutes le même scénario.

    La guerre est censée nous faire oublier cette réalité.
    Et si cela signifie que quelques milliers de personnes doivent mourir, qu’importe ? L’Occident et l’Est ont tous deux été heureux de tuer leurs propres peuples avec des mesures de confinement et des vaccins toxiques – alors pourquoi pas avec des missiles ?
    Ils nous vendent des slogans dépassés de la guerre froide pour nous convaincre qu’ils ne sont pas nos ennemis – mais les « autres » – les musulmans, les juifs, les Russes…
    ...vous pouvez remplir comme bon vous semble.
    La Corée du Nord a été accusée de fournir des armes au Hamas.

    📍Source : https://apnews.com/article/israel-palestinians-hamas-north-korea-weapons-703e33663ea299f920d0d14039adfbb8

    L’Iran aurait financé – voire planifié – l’attaque.

    📍Source : https://wsj.com/world/middle-east/iran-israel-hamas-strike-planning-bbe07b25

    Même la Russie, traditionnellement fermement opposée à tous les « terroristes » islamiques, montre des signes d’abandon de sa « neutralité » habituelle envers la Palestine. Il envoie des tonnes d'aide à Gaza et promeut des résolutions de cessez-le-feu au Conseil de sécurité de l'ONU (auxquelles, bien sûr, les États-Unis ont immédiatement opposé leur veto).

    📍Source : https://new.thecradle.co/articles/russias-neutrality-ballet-on-israel-palestine

    C'est pour cette raison que les députés israéliens menacent la Russie de guerre en direct sur Russia Today .

    📍Source : https://thedailybeast.com/netanyahu-party-member-furiously-threatens-russiaon-russian-state-tv

    Dans son discours à la nation du 20 octobre, Joe Biden a délibérément assimilé la Russie de Poutine au Hamas .

    📍Source : https://news.sky.com/video/joe-biden-brands-hamas-and-vladimir-putin-sick-in-oval-office-address-12988035

    Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a fait presque la même chose, immédiatement après l'attaque surprise.

    📍Source : https://aljazeera.com/news/2023/10/9/essence-is-the-same-ukraines-zelenskyy-likens-hamas-to-russia

    Les camps pour une prétendue « Troisième Guerre mondiale » furent formés.
    Tout cela alimente l’illusion que d’énormes différences idéologiques séparent ces États – alors qu’en réalité ils partagent la grande majorité des objectifs de la Nouvelle Normalité.
    Rappelez - vous qu’Israël et le Hamas ont sacrifié leurs peuples sur l’autel de Pfizer.
    Toute affirmation – d’un côté ou de l’autre – d’inquiétudes pour la vie des civils doit être traitée avec un scepticisme absolu.

    📍Source : https://en.m.wikipedia.org/wiki/COVID-19_vaccination_in_Israel

    📍Source : https://apnews.com/article/world-news-israel-health-coronavirus-pandemic-west-bank-dedb09a673ccd2e72ceac1ef2c89c632

    Comme vous pouvez le constater, « l’attaque surprise » du Hamas a donné un nouvel élan à certains des objectifs de la nouvelle normalité qui figuraient sur la liste des priorités du système depuis un certain temps.
    D’autres qui ne se sont pas encore concrétisés , mais qui pourraient facilement devenir réalité. 🔽

    4/4
    On parle d’une crise des réfugiés – qui augmenterait l’immigration illégale et raviverait encore davantage la rhétorique de division souhaitée. Et de fournir aux gouvernements occidentaux une éponge pour essuyer le désastre financier qu’ils ont délibérément provoqué.

    📍Source : https://en.globes.co.il/en/article-egypt-proposes-europe-takes-in-gaza-refugees-1001460547aa

    Le prix du pétrole est déjà en hausse et peut déclencher à tout moment la prochaine « crise énergétique » .

    📍Source : https://theguardian.com/business/2023/oct/20/oil-prices-israel-hamas-war

    Peut-être que les pays du Golfe mettront Israël sous embargo, ou que les pays occidentaux sanctionneront quelqu’un, mais le terrain est en train d’être préparé.
    Le Wall Street Journal met en garde contre une répétition de la crise énergétique de 1973 , et les États-Unis ont vendu la moitié de leurs réserves de pétrole et ne sont peut-être pas « préparés à une crise » .

    📍Source : https://wsj.com/articles/echoes-of-the-1973-oil-crisis-gaza-israel-pipeline-fossil-fuel-4c5fd928

    📍Source : https://politico.com/news/2023/10/16/biden-oil-reserve-fuels-00121298

    Deux articles publiés ce matin (20 octobre) mettent en garde contre une "crise potentielle" .

    📍Source : https://al-monitor.com/originals/2023/10/could-israel-hamas-war-lead-another-winter-energy-crisis-europe

    📍Source : https://telegraph.co.uk/business/2023/10/19/war-middle-east-gaza-israel-oil-prices-eu/

    Si (quand ?) cette crise survient, elle peut (et sera presque certainement) utilisée au profit du programme de « changement climatique ».
    On nous dira que tout mal est pour le bien, car nous allons « compter davantage sur les énergies renouvelables » .
    Nous assistons à une colossale avalanche de mensonges, mais ils vont tous dans la même direction.
    Il y a déjà beaucoup de discussions dans les médias alternatifs sur la nature du Hamas.
    Dans quelle mesure a-t-il été créé par Israël, ou du moins autorisé à apparaître ?
    Et quel est le rapport avec « l’attaque surprise » ?
    Certains ont qualifié cela d’« affaire interne » depuis l’annonce de la nouvelle, et cela présente toutes les caractéristiques habituelles d’une attaque « sous fausse bannière ».
    Des « échecs du renseignement » inexplicables, des avertissements ignorés et des réactions tardives…
    Peut-être s'agissait-il d'un cas de "laisser faire exprès" - LIHOP ou d'un cas de "faire en sorte que cela se produise exprès" - MIHOP.
    Qui sait jusqu’où iront les élites pour fabriquer la réalité dont elles ont besoin pour faire avancer leurs projets planétaires ?
    Quelle que soit la vérité, on ne peut nier qu’ils font de grands efforts pour promouvoir un programme que nous connaissons déjà très bien."

    Péonia

    https://twitter.com/CalliFanciulla/status/1717084644259025352
    🔴 Covid, Changement climatique, Ukraine, Israël… – L’étau du Grand Reset se resserre Lien du thread de Peonia : https://twitter.com/CalliFanciulla/status/1717084644259025352 📍Depuis trois ans et demi, l’agenda mondialiste est promu avec une fureur sans précédent. Et chaque événement majeur – pandémie, guerre, crise – a pour but de créer des failles dans la résistance. Un éditorial de Kit Knightly du Off-Guardian 📍Il y a quelques jours, j’ai publié un article expliquant comment le Grand Reset continue d’avancer en coulisses, alors que la Une des médias est occupée par Israël et la Palestine. Il est également vrai qu’en plus de deux semaines d’existence, la guerre elle-même a fait avancer la Grande Réinitialisation. La censure Normaliser la répression de la dissidence et créer une culture de peur autour de la liberté d’expression est un élément majeur de la Grande Réinitialisation. Lorsque vous interdisez les manifestations gênantes, toutes les autres étapes deviennent plus faciles. Et évidemment, depuis le début de la guerre, les appels à la suppression de la liberté d’expression ont été partout. Nous en avons parlé dans notre article « La guerre entre Israël et le Hamas – un autre prétexte pour interdire la liberté d'expression » . 📍Source : https://off-guardian.org/2023/10/11/israel-hamas-war-another-excuse-to-shut-down-free-speech/ Depuis la parution de cet article, la campagne de censure s’est intensifiée. Le commissaire européen Thierry Bretton a envoyé des lettres d'avertissement à toutes les principales plateformes de médias sociaux , affirmant qu'elles devaient « lutter contre la désinformation » sur Israël et les menaçant d'amendes. 📍Source : https://npr.org/2023/10/12/1205375878/walk-the-talk-or-face-fines-eu-boss-tells-musk-zuckerberg-and-tik-tok-chief Portant un nouveau coup au récit selon lequel « la Chine est de notre côté » , l'application vidéo TikTok a accepté avec enthousiasme de « lutter contre la désinformation » . 📍Source : https://dailyprogress.com/life-entertainment/nation-world/technology/tiktok-takes-action-to-control-israel-conflict-misinformation/video_7b9607de-f3c7-5ac6-b209-7448d20ee065.html Les étudiants de Harvard et de Berkeley ont été menacés de « mise sur liste noire » pour avoir exprimé leur soutien à la Palestine. 📍Source : https://x.com/ussamamakdisi/status/1714258950680715714?s=46 En Allemagne et en France, la police réprime les manifestations pro-palestiniennes, tandis qu'en Grande-Bretagne et aux États-Unis, des appels ont été lancés pour arrêter les personnes brandissant des drapeaux palestiniens ou pour expulser ceux qui « soutiennent le Hamas » . 📍Source : https://thehill.com/homenews/senate/4259079-cotton-calls-for-deportation-of-foreign-nationals-who-support-hamas/ Créer une culture de la peur, faire en sorte que les gens aient peur de s’exprimer ou d’exprimer leurs opinions politiques n’est qu’une des nombreuses choses que le Covid, l’Ukraine, le changement climatique et maintenant Israël ont en commun. Programme de reconnaissance faciale C'est toujours bizarre quand surgit une histoire soi-disant « de gauche » et qui s'inscrit parfaitement dans un sujet déjà d'actualité. Le développement de la technologie de reconnaissance faciale (FRT), qui constitue une menace pour le droit de chacun à la vie privée, en est un exemple. Avant « l’attaque surprise », l’utilisation par Israël de la technologie de reconnaissance faciale était qualifiée par Amnesty International d’ « apartheid automatisé » . 📍Source : https://amnesty.org.uk/press-releases/israel-using-previously-unreported-facial-recognition-system-automate-apartheid Aux États-Unis, les États s’opposent depuis longtemps au TRF, certains d’entre eux adoptant des lois spéciales d’interdiction . 📍Source : https://nextgov.com/digital-government/2023/03/lawmakers-intro-bill-ban-government-use-facial-recognition/383691/ Mais il semble désormais qu’Israël ait utilisé la technologie de reconnaissance faciale pour identifier les morts et les blessés . 📍Source : https://forbes.com/sites/thomasbrewster/2023/10/11/hospital-uses-facial-recognition-to-identify-israel-hamas-war-dead/ Le Jerusalem Post a qualifié le TRF d' « outil pour aider Israël à se remettre de la guerre du Hamas » . 📍Source : https://m.jpost.com/opinion/article-768957 Et, par une étrange coïncidence, trois jours avant la prétendue « attaque surprise », le gouvernement suédois aurait été contraint d' étendre l'utilisation du TRF en raison de la « violence des gangs » locaux. 📍Source : https://euractiv.com/section/politics/news/sweden-promises-more-drones-facial-recognition-in-gang-violence-fight/ Au Royaume-Uni, le nouvel élan de TRF a coïncidé parfaitement avec le projet du gouvernement de télécharger chaque photo d'identité de sa base de données dans un programme de reconnaissance faciale . 📍Source : https://off-guardian.org/2023/10/14/while-you-were-watching-israel/ 🔽 2. Ces projets ont suscité peu de protestations, principalement parce que très peu de gens en ont entendu parler. Puis samedi, lors de la manifestation pro-palestinienne à Londres, la Metropolitan Police a utilisé les pouvoirs conférés par l'article 60AA de la loi et a demandé aux manifestants de ne pas se couvrir le visage afin de pouvoir utiliser TRF en direct . 📍Source : https://met.police.uk/advice/advice-and-information/fr/facial-recognition-technology/ Cette méthode est également utilisée en Suède, un autre pays « gentil ». Personne n’a dit un mot d’objection. Ce qui était considéré comme « orwellien » en avril est soudain devenu – « grâce » à la nouvelle guerre – acceptable. 📍Source : https://theguardian.com/technology/2023/apr/05/live-facial-recognition-criticised-metropolitan-police 📍Source : https://x.com/skynews/status/1713236394347270597?s=46 Le fait que ces mêmes personnes qui exigent désormais que personne ne se couvre le visage crient depuis trois ans « portez un masque ! » c'est l'une des grandes ironies de l'histoire. Tout aussi ironique, mais bien plus tragique, les mêmes personnes qui se sont opposées à l’utilisation de cette technologie lors des manifestations anti-confinement et anti-vaccination approuvent son utilisation sur des « sympathisants terroristes ». Ce qui nous amène au point trois… Diviser la presse alternative La presse indépendante est la principale raison pour laquelle le « récit de la pandémie » a raté ses cibles. L’histoire a perdu de son élan face à une résistance acharnée de tous les bords politiques, de la gauche anarchiste à la droite libertaire. Depuis lors, un élément majeur de la stratégie mondialiste a été de saper cette solidarité et la force des médias alternatifs, en attaquant leurs sources de financement, en limitant leur influence et – surtout – en semant la discorde avec des sujets de diversion qui divisent. Ce n’est pas un hasard si l’invasion de l’Ukraine par la Russie a déchiré le mouvement de résistance anti-Covid en plein milieu, le divisant selon d’anciennes lignes de fracture idéologiques. Le déclenchement de la « guerre » entre Israël et le Hamas a divisé les deux camps en deux nouveaux camps. L’action collective et la pensée indépendante ont été anéanties au profit du tribalisme. Les gens ont été manipulés pour abandonner leurs positions anti-mondialistes afin de défendre les « bons mondialistes » contre les « mauvais mondialistes ». Cela a non seulement détruit l’alliance des dissidents anti-confinement/anti-vaccin, mais a également écrasé leurs principes et discrédité leurs opinions. Beaucoup – principalement dans le camp conservateur de droite – ont oublié qu’Israël était à l’avant-garde du mensonge du Covid , que les Israéliens ont été les premiers à vacciner et à utiliser des « passeports verts », et ont pris sa défense (ou plutôt ont profité de l’occasion pour le défendre). promouvoir un agenda anti-islamique). Ils réclament désormais des sanctions collectives et – comme je l’ai montré plus haut – applaudissent à la suppression de la liberté d’expression des « sympathisants terroristes ». Prenons l'exemple de Douglas Murray, considéré comme un « absolutiste de la liberté d'expression ». Mais qui, suite à "l'attaque surprise", écrit des chroniques avec des titres comme celui-ci ... 📍Source : https://spectator.co.uk/article/why-do-we-allow-protests-that-glorify-slaughter/ "Pourquoi permettons-nous des manifestations qui glorifient le massacre ?" Que ces personnes aient été sincères ou non dans leur protestation pour la liberté, leur crédibilité sur ce front est définitivement compromise. Je pense que ce tweet le dit le mieux : 🔽 "Those who once stood united, due to their experiences of a manipulated Covid-19 Pandemic & subsequent roll out of experimental vaccines, are now all divided over a manipulated situation involving Palestine & Israel. Please give yourselves a pat on the back. You all deserve a medal." https://twitter.com/TheOriginalSai/status/1712399859733483844 3. « Ceux qui étaient autrefois unis, suite à leurs expériences dans la pandémie manipulée du Covid-19 puis dans la vaccination, sont désormais tous divisés dans une situation manipulée impliquant Israël et la Palestine. "Vous pouvez vous féliciter. Vous méritez une médaille. "Monde multipolaire" L’autre facette de la fracture qui continue de déchirer le mouvement sceptique face au Covid est la promotion continue du soi-disant « monde multipolaire ». Le fait que la force dirigeante du monde soit une élite mondialiste qui n’a de domicile dans aucun État a été clairement démontré par la fausse « pandémie ». Depuis lors, l’un des objectifs majeurs de l’élite mondialiste a été d’effacer ce souvenir de notre mémoire. Un faux « récit » a été présenté au public selon lequel l’empire américain en ruine est le « mondialisme » et qu’il existe un axe d’opposition incarné par la Russie, la Chine, l’Iran et d’autres. Cette histoire a été vendue au public par les médias « grand public » et alternatifs depuis le début de « l’opération militaire spéciale » en Russie. Il s’agit d’une histoire binaire simpliste « bons/méchants » conçue pour passer sous silence les deux années de coopération mondiale à grande échelle entre ces supposés « ennemis » pendant la Covid. La guerre entre Israël et le Hamas contribue déjà à alimenter ce récit trompeur. Il crée l’impression d’un monde divisé selon des lignes anciennes mais de moins en moins importantes. La pandémie a clairement démontré que les élites mondiales suivent toutes le même scénario. La guerre est censée nous faire oublier cette réalité. Et si cela signifie que quelques milliers de personnes doivent mourir, qu’importe ? L’Occident et l’Est ont tous deux été heureux de tuer leurs propres peuples avec des mesures de confinement et des vaccins toxiques – alors pourquoi pas avec des missiles ? Ils nous vendent des slogans dépassés de la guerre froide pour nous convaincre qu’ils ne sont pas nos ennemis – mais les « autres » – les musulmans, les juifs, les Russes… ...vous pouvez remplir comme bon vous semble. La Corée du Nord a été accusée de fournir des armes au Hamas. 📍Source : https://apnews.com/article/israel-palestinians-hamas-north-korea-weapons-703e33663ea299f920d0d14039adfbb8 L’Iran aurait financé – voire planifié – l’attaque. 📍Source : https://wsj.com/world/middle-east/iran-israel-hamas-strike-planning-bbe07b25 Même la Russie, traditionnellement fermement opposée à tous les « terroristes » islamiques, montre des signes d’abandon de sa « neutralité » habituelle envers la Palestine. Il envoie des tonnes d'aide à Gaza et promeut des résolutions de cessez-le-feu au Conseil de sécurité de l'ONU (auxquelles, bien sûr, les États-Unis ont immédiatement opposé leur veto). 📍Source : https://new.thecradle.co/articles/russias-neutrality-ballet-on-israel-palestine C'est pour cette raison que les députés israéliens menacent la Russie de guerre en direct sur Russia Today . 📍Source : https://thedailybeast.com/netanyahu-party-member-furiously-threatens-russiaon-russian-state-tv Dans son discours à la nation du 20 octobre, Joe Biden a délibérément assimilé la Russie de Poutine au Hamas . 📍Source : https://news.sky.com/video/joe-biden-brands-hamas-and-vladimir-putin-sick-in-oval-office-address-12988035 Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a fait presque la même chose, immédiatement après l'attaque surprise. 📍Source : https://aljazeera.com/news/2023/10/9/essence-is-the-same-ukraines-zelenskyy-likens-hamas-to-russia Les camps pour une prétendue « Troisième Guerre mondiale » furent formés. Tout cela alimente l’illusion que d’énormes différences idéologiques séparent ces États – alors qu’en réalité ils partagent la grande majorité des objectifs de la Nouvelle Normalité. Rappelez - vous qu’Israël et le Hamas ont sacrifié leurs peuples sur l’autel de Pfizer. Toute affirmation – d’un côté ou de l’autre – d’inquiétudes pour la vie des civils doit être traitée avec un scepticisme absolu. 📍Source : https://en.m.wikipedia.org/wiki/COVID-19_vaccination_in_Israel 📍Source : https://apnews.com/article/world-news-israel-health-coronavirus-pandemic-west-bank-dedb09a673ccd2e72ceac1ef2c89c632 Comme vous pouvez le constater, « l’attaque surprise » du Hamas a donné un nouvel élan à certains des objectifs de la nouvelle normalité qui figuraient sur la liste des priorités du système depuis un certain temps. D’autres qui ne se sont pas encore concrétisés , mais qui pourraient facilement devenir réalité. 🔽 4/4 On parle d’une crise des réfugiés – qui augmenterait l’immigration illégale et raviverait encore davantage la rhétorique de division souhaitée. Et de fournir aux gouvernements occidentaux une éponge pour essuyer le désastre financier qu’ils ont délibérément provoqué. 📍Source : https://en.globes.co.il/en/article-egypt-proposes-europe-takes-in-gaza-refugees-1001460547aa Le prix du pétrole est déjà en hausse et peut déclencher à tout moment la prochaine « crise énergétique » . 📍Source : https://theguardian.com/business/2023/oct/20/oil-prices-israel-hamas-war Peut-être que les pays du Golfe mettront Israël sous embargo, ou que les pays occidentaux sanctionneront quelqu’un, mais le terrain est en train d’être préparé. Le Wall Street Journal met en garde contre une répétition de la crise énergétique de 1973 , et les États-Unis ont vendu la moitié de leurs réserves de pétrole et ne sont peut-être pas « préparés à une crise » . 📍Source : https://wsj.com/articles/echoes-of-the-1973-oil-crisis-gaza-israel-pipeline-fossil-fuel-4c5fd928 📍Source : https://politico.com/news/2023/10/16/biden-oil-reserve-fuels-00121298 Deux articles publiés ce matin (20 octobre) mettent en garde contre une "crise potentielle" . 📍Source : https://al-monitor.com/originals/2023/10/could-israel-hamas-war-lead-another-winter-energy-crisis-europe 📍Source : https://telegraph.co.uk/business/2023/10/19/war-middle-east-gaza-israel-oil-prices-eu/ Si (quand ?) cette crise survient, elle peut (et sera presque certainement) utilisée au profit du programme de « changement climatique ». On nous dira que tout mal est pour le bien, car nous allons « compter davantage sur les énergies renouvelables » . Nous assistons à une colossale avalanche de mensonges, mais ils vont tous dans la même direction. Il y a déjà beaucoup de discussions dans les médias alternatifs sur la nature du Hamas. Dans quelle mesure a-t-il été créé par Israël, ou du moins autorisé à apparaître ? Et quel est le rapport avec « l’attaque surprise » ? Certains ont qualifié cela d’« affaire interne » depuis l’annonce de la nouvelle, et cela présente toutes les caractéristiques habituelles d’une attaque « sous fausse bannière ». Des « échecs du renseignement » inexplicables, des avertissements ignorés et des réactions tardives… Peut-être s'agissait-il d'un cas de "laisser faire exprès" - LIHOP ou d'un cas de "faire en sorte que cela se produise exprès" - MIHOP. Qui sait jusqu’où iront les élites pour fabriquer la réalité dont elles ont besoin pour faire avancer leurs projets planétaires ? Quelle que soit la vérité, on ne peut nier qu’ils font de grands efforts pour promouvoir un programme que nous connaissons déjà très bien." Péonia https://twitter.com/CalliFanciulla/status/1717084644259025352
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  • 📍Poutine : "Si je suis un criminel de guerre, que sont les présidents américains depuis Nixon jusqu'à aujourd'hui ?
    🔴 #RUSSIA Vs #USA

    📍Poutine : "Si je suis un criminel de guerre, que sont les présidents américains depuis Nixon jusqu'à aujourd'hui ?

    Selon le président de la Fédération de Russie, s'il doit être jugé en tant que criminel de guerre, il devrait être rejoint par tous les présidents américains qui ont provoqué des dizaines de guerres dans le monde sans même avoir le droit de le faire.

    Poutine énumère également les guerres dans lesquelles les États-Unis ont été impliqués depuis 1890 :

    Fin du 19e siècle

    1890 - Dakota du Sud, les troupes du gouvernement américain tuent et abattent 300 Indiens Dakota capturés.

    1890 - Argentine, intervention militaire américaine à Buenos Aires.

    1891 - Les marines chiliens répriment un soulèvement local.

    1891 - Haïti : l'armée américaine réprime une émeute de Noirs à Navas.

    1892 - Idaho, l'armée américaine réprime une émeute dans une mine d'argent.

    1893 (- ?) - Hawaï, la marine américaine renverse le gouvernement du Royaume indépendant et annexe l'État.

    1894 - Chicago : l'armée américaine réprime brutalement une grève des chemins de fer, tuant 34 personnes au total.

    1894 - Le Nicaragua est occupé par l'armée américaine pendant un mois.

    1894-1895 - Chine : la marine et les marines américains participent à la guerre sino-japonaise.

    1894-1896 - Corée, occupation de Séoul.

    1895 - Panama, les marines américains attaquent la province colombienne.

    1896 - Nicaragua, les marines américains débarquent à Corinth.

    1898-1900 - Chine, participation de l'armée américaine à la répression de la rébellion des boxeurs.

    1898-1910 (- ?) - Philippines, la marine américaine renverse le gouvernement et tue 600 000 Philippins.

    1898-1902 (- ?) - Cuba, la marine américaine combat pendant la guerre hispano-américaine.

    1898 (- ?) - Porto Rico, occupation pendant la guerre hispano-américaine.

    1898 - Guam, la marine américaine occupe l'île et y construit une base militaire.

    1898 (- ?) - Minnesota, l'armée américaine détruit la tribu Chippewa (Ojibwe) près du lac Leach.

    1898 - Nicaragua, les marines américains débarquent dans le port de San Juan del Sur.

    1899 (- ?) - Samoa, l'armée américaine participe à la guerre du trône.

    1899 - Nicaragua, la marine américaine débarque au port de Bluefield.

    1899-1901 - Idaho, l'armée américaine réprime brutalement la révolte des mineurs de Coeur d'Alene.

    Premier quart du XXe siècle

    1901 - Oklahoma, l'armée américaine réprime la rébellion des Indian Creek.

    1901-1914 - Panama, la marine américaine occupe et annexe la zone du canal.

    1903 - Honduras, les marines américains répriment la révolution.

    1903-1904 - République dominicaine, les marines américains répriment la révolution.

    1904-1905 - Corée, les marines américains participent à la guerre russo-japonaise.

    1906-1909 - Cuba : les marines américains interviennent et suppriment les élections démocratiques.

    1907 - Le Nicaragua, à la suite de l'occupation, crée un protectorat dans le cadre de la "diplomatie du dollar".

    1907 - Honduras, occupé par les marines américains pendant la guerre avec le Nicaragua.

    1908 - Panama : les marines américains interviennent dans le processus électoral.

    1910 - Nicaragua, les marines américains occupent Bluefield et Corinth.

    1911 - Honduras, l'armée américaine participe à la guerre civile.

    1911-1941 - Chine : la marine et l'armée américaines occupent le pays et participent à la répression de nombreuses émeutes.

    1912 - Cuba, l'armée américaine participe à la guerre civile.

    1912 - Panama, l'armée américaine et les marines répriment une émeute électorale.

    1912 - Honduras : le corps des marines défend les intérêts économiques des États-Unis.

    1912-1933 - Nicaragua : l'armée américaine occupe le pays pendant dix ans et participe à la guérilla.

    1913 - Mexique, pendant la révolution, l'armée américaine fuit et évacue.

    1914 - République dominicaine, la marine américaine combat les rebelles autour de Saint-Domingue.

    1914 - Colorado, l'armée américaine réprime brutalement une grève de mineurs.

    1914-1918 - Mexique : la marine et l'armée américaines participent à des opérations militaires contre les nationalistes.

    1914-1934 - Haïti : l'armée américaine occupe le pays pendant 19 ans après la répression du soulèvement.

    1915 - Texas : les troupes fédérales répriment brutalement le soulèvement mexico-américain, plan San Diego.

    1916-1924 - République dominicaine : l'armée américaine occupe le pays pendant huit ans.

    1917-1933 - Cuba : l'armée américaine occupe le pays et y établit un protectorat économique.

    1917-18 - Première Guerre mondiale : la marine américaine combat l'Allemagne pendant un an et demi.

    1918-1922 - Russie : la marine américaine effectue cinq débarquements de troupes pour lutter contre les bolcheviks.

    1918-1920 - Panama, l'armée américaine réprime les émeutes postélectorales dans le cadre de l'opération "Duty Police".

    1919 - Honduras, l'armée et les marines américains répriment des émeutes pendant la campagne électorale.

    1919 - Yougoslavie : l'armée et les marines américains combattent les Serbes en Dalmatie.

    1920 - Guatemala, intervention de deux semaines contre des militants syndicaux.

    1920-1921 - Virginie orientale, l'armée américaine réprime une émeute de mineurs.

    1922 - Turquie, l'armée américaine combat les nationalistes à Smyrne.

    1922-1927 - Chine : l'armée et la marine américaines répriment un soulèvement nationaliste.

    1923 - Mexique : bombardement par des avions militaires américains.

    1924-1925 - Honduras : intervention militaire américaine, à deux reprises, lors de la campagne électorale.

    1925 - Panama : l'armée et les marines américaines mettent fin à une grève générale.

    Milieu du XXe siècle

    1927-1934 - Chine : l'armée et la marine américaines occupent le pays.

    1932 - Salvador : la marine américaine réprime la rébellion des Marty.

    1932 - Washington DC, l'armée américaine réprime la manifestation des anciens combattants de la Première Guerre mondiale en faveur du versement d'une prime.

    1941-1945 - Seconde Guerre mondiale : la marine et l'armée américaines combattent le Japon, l'Italie et l'Allemagne pendant trois ans et procèdent au premier bombardement atomique de deux villes japonaises.

    1943 - Détroit, l'armée américaine réprime la rébellion noire.

    1946 - L'Iran quitte le nord du pays face à la menace nucléaire américaine.

    1946 - Yougoslavie, menace nucléaire des États-Unis en réponse à l'abattage d'un avion américain.

    1947 - Uruguay, déploiement d'une menace de bombardier nucléaire.

    1947-1949 - Grèce : opération militaire américaine pour soutenir l'extrême droite dans la guerre civile.

    1948 - Allemagne : menace nucléaire américaine avec des bombardiers nucléaires stratégiques à Berlin contre l'URSS.

    1948-1949 - Chine, l'armée et la marine américaines évacuent les Américains avant la victoire des communistes.

    1948-1954 - Philippines, la CIA mène une opération militaire.

    pendant la rébellion de Hook.

    1950 - Porto Rico, opération visant à réprimer la rébellion de Ponce.

    1951-1953 (- ?) - Corée, l'armée et la marine américaines menacent de bombardements nucléaires la Corée du Nord et la Chine.

    1953 - Iran : à la suite d'une opération, la CIA renverse la démocratie et instaure un régime de contrôle.

    1954 - Les États-Unis et le Viêt Nam coopèrent en brandissant la menace nucléaire contre les rebelles.

    1954 - Guatemala, opération de la CIA, bombardement des aéroports nicaraguayens, menace nucléaire américaine suite à la nationalisation d'entreprises américaines.

    1956 - Égypte, menace nucléaire américaine contre l'Union soviétique avec demande de non-intervention dans la crise de Suez, évacuation des étrangers par les Marines.

    1958 - Liban, l'armée et la marine américaines occupent le pays et répriment les insurgés.

    1958 - Irak : menace nucléaire américaine contre l'Irak et avertissement d'invasion du Koweït.

    1958 - Chine : menace nucléaire des États-Unis contre la Chine en cas de réunification avec Taïwan.

    1958 - Panama : l'armée américaine réprime réprime les manifestations.

    1960-1975 - Vietnam : l'armée, la marine et l'aviation participent à la guerre du Vietnam. Un million de morts dans la plus longue guerre américaine, les États-Unis menacent de bombardements atomiques en 1968 et 1969.

    1961 - Cuba : une opération d'invasion de la CIA échoue.

    1961 - Allemagne : menace nucléaire des États-Unis contre l'Union soviétique pendant la crise du mur de Berlin.

    1962 - Laos : opération militaire pendant la guerre de guérilla.

    1962 - Cuba, menace nucléaire américaine contre l'Union soviétique et Cuba, blocus naval pendant la crise des Caraïbes.

    1963 - Irak : la CIA organise un coup d'État au cours duquel le président est assassiné et le parti Baas prend le pouvoir. Saddam Hussein revient d'exil et dirige les services secrets.

    1964 - Panama : l'armée américaine réprime les émeutes liées à la restitution du canal.

    1965 - Indonésie : coup d'État organisé par la CIA, plus d'un million de personnes tuées.

    1965-1966 - République dominicaine : l'armée et la marine américaines répriment les manifestations pendant la campagne électorale.

    1966-1967 - Guatemala : les Bérets verts américains combattent les rebelles.

    1967 - Détroit, l'armée américaine réprime des émeutes afro-américaines, faisant 43 morts.

    1968 - Armée américaine, l'armée américaine parvient à mettre fin aux émeutes après l'assassinat de Martin Luther King. Plus de 21 000 soldats sont déployés dans les villes.

    1969-1975 - Cambodge : l'armée et la marine américaines bombardent le pays. En dix ans, jusqu'à 2 millions de personnes sont tuées par les bombardements, la famine et le chaos politique.

    1970 - Oman, occupé par l'armée américaine pour empêcher une invasion de l'Iran.

    1971-1973 - Laos : les États-Unis bombardent le Sud-Vietnam.

    1973 - Dakota du Sud : l'armée américaine réprime les Indiens Undide Nee.

    1973 - Moyen-Orient : menace nucléaire et menace de guerre mondiale de la part des États-Unis pendant la guerre du Moyen-Orient.

    1973 - Chili : un coup d'État militaire renverse et assassine le président Salvador Allende.

    1975 - Cambodge : l'armée américaine bombarde le Mayaguez, un navire capturé, tuant 28 soldats.

    À la fin du XXe siècle

    1976-1992 - Angola, opération de la CIA visant à apporter un soutien militaire aux gangs armés d'Afrique du Sud pendant la guerre civile.

    1980 - Iran, soldats, menace nucléaire des États-Unis, l'armée tente en vain de sauver les otages de l'ambassade, 8 soldats meurent dans cette tentative.

    1981 - Libye : la marine américaine abat deux avions libyens.

    1981-1992 - Salvador - opération contre les rebelles.

    1981-1990 - Opération Nicaragua, l'US Navy et la CIA répriment la révolution.

    1982-1984 - Liban, la marine et l'armée de l'air américaines s'engagent dans une guerre contre les rebelles chiites. 241 marines sont tués.

    1983-1984 - Grenade, invasion militaire américaine quatre ans après la révolution.

    1983-1989 - Honduras : invasion américaine, manœuvres, construction d'une base.

    1984 - Iran : deux avions civils iraniens sont abattus au-dessus du golfe Persique.

    1986 - Libye, bombardement naval américain.

    1986 - Bolivie, l'armée américaine participe à la guerre de la cocaïne.

    1987-1988 - Iran : la marine et l'armée de l'air américaines interviennent dans la guerre d'Irak, bombardent et abattent un avion iranien.

    1989 - Libye : la marine américaine abat deux avions libyens.

    1989 - Îles Vierges, l'armée américaine réprime une émeute de Noirs à St. Croix.

    1989 - Les États-Unis bombardent les Philippines.

    1989 (- ?) - Panama, l'armée américaine renverse le gouvernement national, plus de 2 000 morts.

    1990 - Liberia, l'armée américaine évacue les étrangers pendant la guerre civile.

    1990-1991 - Arabie Saoudite, invasion américaine après l'invasion irakienne du Koweït, 540 000 soldats américains à Oman, au Qatar, au Bahreïn, aux Émirats arabes unis et en Israël.

    1990-1991 - Irak : bombardements, invasion militaire américaine blocus naval des ports irakiens et jordaniens, frappes aériennes ; 200 000 personnes tuées lors des invasions de l'Irak et du Koweït ; destruction à grande échelle de l'armée irakienne.

    1991 - Le Koweït

    1991-2003 - Irak : bombardements, zones d'exclusion aérienne au-dessus du nord kurde et du sud chiite ; attaques aériennes et blocus naval constants.

    1992 - Los Angeles : l'armée américaine et le corps des Marines sont déployés contre les manifestants et les émeutiers.

    1992-1994 - Somalie, occupation par l'armée et la marine américaines, participation à la guerre civile.

    1992-94 - Yougoslavie, blocus naval de la Serbie et du Monténégro par l'OTAN.

    1993 - Bosnie, bombardements, patrouilles aériennes, zone d'exclusion aérienne, guerre civile, assassinats de Serbes, frappes contre la Serbie et abattage d'avions serbes.

    1994 - Haïti, invasion américaine, blocus naval et occupation, renversement du gouvernement militaire.

    1996-1997 - Zaïre (Congo) : les troupes américaines envahissent les camps de réfugiés hutus au Rwanda et les régions où la révolution congolaise a commencé.

    1997 - Le Liberia

    1997 - L'Albanie

    1998 - Le Soudan attaqué car selon la CIA, produit des armes chimiques pour les terroristes.

    1998 - Afghanistan : attaque au missile contre d'anciens camps d'entraînement de la CIA utilisés par des groupes fondamentalistes islamiques qui auraient attaqué l'ambassade.

    1998 - Irak : bombardement, quatre jours d'attaques aériennes et de roquettes intenses après des allégations selon lesquelles les autorités auraient entravé le travail des inspecteurs en désarmement.

    1999 - Yougoslavie : nombreux bombardements, tirs intensifs de roquettes et frappes aériennes de l'OTAN après le refus de la Serbie de quitter le Kosovo. Occupation du Kosovo par l'OTAN.

    Début du 21e siècle

    2000 - Yémen

    2001 - Macédoine, déploiement de troupes de l'OTAN.

    2001 - États-Unis, réponse de l'US Air Force et de l'US Navy.

    2001-2022 - Afghanistan, invasion par les troupes américaines, bombardements et attaques au missile, mobilisation massive aux États-Unis pour renverser le régime des talibans, chasse aux combattants d'Al-Qaïda, mise en place du régime Karzaï et lutte contre les talibans. Plus de 30 000 soldats américains et de nombreuses sociétés militaires privées occupent le pays.

    2002 - Yémen

    2002 - Philippines : déploiement de troupes américaines et mission navale contre Abu Sayyaf dans l'archipel de Sulu, à l'ouest de Mindanao.

    2003 - Colombie, l'armée américaine et les forces spéciales sont déployées dans la zone rebelle pour soutenir l'armée colombienne dans la défense de l'oléoduc.

    2003-2011 - Irak, guerre, bombardements, occupation, renversement de Saddam Hussein. L'invasion a mobilisé plus de 250 000 soldats américains. Les forces américaines et britanniques occupent le pays et combattent les rebelles sunnites et chiites. Plus de 160 000 soldats et de nombreux entrepreneurs privés se chargent de l'occupation et construisent de grandes bases permanentes.

    2003 - Liberia, participation aux forces de maintien de la paix, opération visant à renverser le dirigeant du pays.

    2004-2005 - Haïti, l'armée américaine, la marine et l'armée américaine occupent le pays.

    2005 - Pakistan, attaques à la roquette et à la bombe, opérations secrètes et frappes de drones.

    2006 - Somalie : des missiles, des forces navales et l'armée américaine participent à l'opération. Les forces spéciales du SWAT participent à l'invasion de l'Éthiopie, qui est renversée par le gouvernement islamiste ; bombardements AC-130, attaques au missile de croisière et frappes aériennes contre les insurgés islamistes ; blocus militaire contre les "pirates" et les rebelles.

    2008 - Syrie : les forces spéciales sont impliquées dans une attaque d'hélicoptère à 5 miles de l'Irak ; 8 civils syriens sont tués.

    2009 - Yémen : des frappes de missiles tuent 49 civils.

    2011 - Libye : bombardements, attaques à la roquette, invasions menées par l'OTAN, frappes aériennes coordonnées et attaques à la roquette contre le gouvernement de Kadhafi pendant le soulèvement des rebelles. Les forces spéciales américaines mènent des opérations secrètes.

    2014 - Irak : bombardements, tirs de missiles.

    2014 - Syrie, bombardements, frappes de missiles, opérations d'invasion américaines. Participation à la guerre civile du côté des terroristes.

    Poutine : "Cette liste n'a pas été préparée par mon administration :

    - Cette liste n'a pas été préparée par mon administration, tout le monde connait ces opérations, ces guerres menées par les États-Unis.

    Zoltan Grossman décrit 150 opérations militaires menées par l'armée américaine, à la fois contre des pays étrangers et sur le territoire national, même à Washington.

    Les conclusions sont claires : qui sont les criminels de guerre, qui provoquent les guerres dans le monde, qui alimentent les conflits, qui veulent soumettre tout le monde à leur volonté ?

    La Russie n'a pas participé à 150 guerres au cours desquelles des millions de civils ont été tués et pour lesquelles vous avez voté au Sénat américain".

    https://twitter.com/CalliFanciulla/status/1700408260019310801


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    📍Poutine : "Si je suis un criminel de guerre, que sont les présidents américains depuis Nixon jusqu'à aujourd'hui ? 🔴 #RUSSIA Vs #USA 📍Poutine : "Si je suis un criminel de guerre, que sont les présidents américains depuis Nixon jusqu'à aujourd'hui ? Selon le président de la Fédération de Russie, s'il doit être jugé en tant que criminel de guerre, il devrait être rejoint par tous les présidents américains qui ont provoqué des dizaines de guerres dans le monde sans même avoir le droit de le faire. Poutine énumère également les guerres dans lesquelles les États-Unis ont été impliqués depuis 1890 : Fin du 19e siècle 1890 - Dakota du Sud, les troupes du gouvernement américain tuent et abattent 300 Indiens Dakota capturés. 1890 - Argentine, intervention militaire américaine à Buenos Aires. 1891 - Les marines chiliens répriment un soulèvement local. 1891 - Haïti : l'armée américaine réprime une émeute de Noirs à Navas. 1892 - Idaho, l'armée américaine réprime une émeute dans une mine d'argent. 1893 (- ?) - Hawaï, la marine américaine renverse le gouvernement du Royaume indépendant et annexe l'État. 1894 - Chicago : l'armée américaine réprime brutalement une grève des chemins de fer, tuant 34 personnes au total. 1894 - Le Nicaragua est occupé par l'armée américaine pendant un mois. 1894-1895 - Chine : la marine et les marines américains participent à la guerre sino-japonaise. 1894-1896 - Corée, occupation de Séoul. 1895 - Panama, les marines américains attaquent la province colombienne. 1896 - Nicaragua, les marines américains débarquent à Corinth. 1898-1900 - Chine, participation de l'armée américaine à la répression de la rébellion des boxeurs. 1898-1910 (- ?) - Philippines, la marine américaine renverse le gouvernement et tue 600 000 Philippins. 1898-1902 (- ?) - Cuba, la marine américaine combat pendant la guerre hispano-américaine. 1898 (- ?) - Porto Rico, occupation pendant la guerre hispano-américaine. 1898 - Guam, la marine américaine occupe l'île et y construit une base militaire. 1898 (- ?) - Minnesota, l'armée américaine détruit la tribu Chippewa (Ojibwe) près du lac Leach. 1898 - Nicaragua, les marines américains débarquent dans le port de San Juan del Sur. 1899 (- ?) - Samoa, l'armée américaine participe à la guerre du trône. 1899 - Nicaragua, la marine américaine débarque au port de Bluefield. 1899-1901 - Idaho, l'armée américaine réprime brutalement la révolte des mineurs de Coeur d'Alene. Premier quart du XXe siècle 1901 - Oklahoma, l'armée américaine réprime la rébellion des Indian Creek. 1901-1914 - Panama, la marine américaine occupe et annexe la zone du canal. 1903 - Honduras, les marines américains répriment la révolution. 1903-1904 - République dominicaine, les marines américains répriment la révolution. 1904-1905 - Corée, les marines américains participent à la guerre russo-japonaise. 1906-1909 - Cuba : les marines américains interviennent et suppriment les élections démocratiques. 1907 - Le Nicaragua, à la suite de l'occupation, crée un protectorat dans le cadre de la "diplomatie du dollar". 1907 - Honduras, occupé par les marines américains pendant la guerre avec le Nicaragua. 1908 - Panama : les marines américains interviennent dans le processus électoral. 1910 - Nicaragua, les marines américains occupent Bluefield et Corinth. 1911 - Honduras, l'armée américaine participe à la guerre civile. 1911-1941 - Chine : la marine et l'armée américaines occupent le pays et participent à la répression de nombreuses émeutes. 1912 - Cuba, l'armée américaine participe à la guerre civile. 1912 - Panama, l'armée américaine et les marines répriment une émeute électorale. 1912 - Honduras : le corps des marines défend les intérêts économiques des États-Unis. 1912-1933 - Nicaragua : l'armée américaine occupe le pays pendant dix ans et participe à la guérilla. 1913 - Mexique, pendant la révolution, l'armée américaine fuit et évacue. 1914 - République dominicaine, la marine américaine combat les rebelles autour de Saint-Domingue. 1914 - Colorado, l'armée américaine réprime brutalement une grève de mineurs. 1914-1918 - Mexique : la marine et l'armée américaines participent à des opérations militaires contre les nationalistes. 1914-1934 - Haïti : l'armée américaine occupe le pays pendant 19 ans après la répression du soulèvement. 1915 - Texas : les troupes fédérales répriment brutalement le soulèvement mexico-américain, plan San Diego. 1916-1924 - République dominicaine : l'armée américaine occupe le pays pendant huit ans. 1917-1933 - Cuba : l'armée américaine occupe le pays et y établit un protectorat économique. 1917-18 - Première Guerre mondiale : la marine américaine combat l'Allemagne pendant un an et demi. 1918-1922 - Russie : la marine américaine effectue cinq débarquements de troupes pour lutter contre les bolcheviks. 1918-1920 - Panama, l'armée américaine réprime les émeutes postélectorales dans le cadre de l'opération "Duty Police". 1919 - Honduras, l'armée et les marines américains répriment des émeutes pendant la campagne électorale. 1919 - Yougoslavie : l'armée et les marines américains combattent les Serbes en Dalmatie. 1920 - Guatemala, intervention de deux semaines contre des militants syndicaux. 1920-1921 - Virginie orientale, l'armée américaine réprime une émeute de mineurs. 1922 - Turquie, l'armée américaine combat les nationalistes à Smyrne. 1922-1927 - Chine : l'armée et la marine américaines répriment un soulèvement nationaliste. 1923 - Mexique : bombardement par des avions militaires américains. 1924-1925 - Honduras : intervention militaire américaine, à deux reprises, lors de la campagne électorale. 1925 - Panama : l'armée et les marines américaines mettent fin à une grève générale. Milieu du XXe siècle 1927-1934 - Chine : l'armée et la marine américaines occupent le pays. 1932 - Salvador : la marine américaine réprime la rébellion des Marty. 1932 - Washington DC, l'armée américaine réprime la manifestation des anciens combattants de la Première Guerre mondiale en faveur du versement d'une prime. 1941-1945 - Seconde Guerre mondiale : la marine et l'armée américaines combattent le Japon, l'Italie et l'Allemagne pendant trois ans et procèdent au premier bombardement atomique de deux villes japonaises. 1943 - Détroit, l'armée américaine réprime la rébellion noire. 1946 - L'Iran quitte le nord du pays face à la menace nucléaire américaine. 1946 - Yougoslavie, menace nucléaire des États-Unis en réponse à l'abattage d'un avion américain. 1947 - Uruguay, déploiement d'une menace de bombardier nucléaire. 1947-1949 - Grèce : opération militaire américaine pour soutenir l'extrême droite dans la guerre civile. 1948 - Allemagne : menace nucléaire américaine avec des bombardiers nucléaires stratégiques à Berlin contre l'URSS. 1948-1949 - Chine, l'armée et la marine américaines évacuent les Américains avant la victoire des communistes. 1948-1954 - Philippines, la CIA mène une opération militaire. pendant la rébellion de Hook. 1950 - Porto Rico, opération visant à réprimer la rébellion de Ponce. 1951-1953 (- ?) - Corée, l'armée et la marine américaines menacent de bombardements nucléaires la Corée du Nord et la Chine. 1953 - Iran : à la suite d'une opération, la CIA renverse la démocratie et instaure un régime de contrôle. 1954 - Les États-Unis et le Viêt Nam coopèrent en brandissant la menace nucléaire contre les rebelles. 1954 - Guatemala, opération de la CIA, bombardement des aéroports nicaraguayens, menace nucléaire américaine suite à la nationalisation d'entreprises américaines. 1956 - Égypte, menace nucléaire américaine contre l'Union soviétique avec demande de non-intervention dans la crise de Suez, évacuation des étrangers par les Marines. 1958 - Liban, l'armée et la marine américaines occupent le pays et répriment les insurgés. 1958 - Irak : menace nucléaire américaine contre l'Irak et avertissement d'invasion du Koweït. 1958 - Chine : menace nucléaire des États-Unis contre la Chine en cas de réunification avec Taïwan. 1958 - Panama : l'armée américaine réprime réprime les manifestations. 1960-1975 - Vietnam : l'armée, la marine et l'aviation participent à la guerre du Vietnam. Un million de morts dans la plus longue guerre américaine, les États-Unis menacent de bombardements atomiques en 1968 et 1969. 1961 - Cuba : une opération d'invasion de la CIA échoue. 1961 - Allemagne : menace nucléaire des États-Unis contre l'Union soviétique pendant la crise du mur de Berlin. 1962 - Laos : opération militaire pendant la guerre de guérilla. 1962 - Cuba, menace nucléaire américaine contre l'Union soviétique et Cuba, blocus naval pendant la crise des Caraïbes. 1963 - Irak : la CIA organise un coup d'État au cours duquel le président est assassiné et le parti Baas prend le pouvoir. Saddam Hussein revient d'exil et dirige les services secrets. 1964 - Panama : l'armée américaine réprime les émeutes liées à la restitution du canal. 1965 - Indonésie : coup d'État organisé par la CIA, plus d'un million de personnes tuées. 1965-1966 - République dominicaine : l'armée et la marine américaines répriment les manifestations pendant la campagne électorale. 1966-1967 - Guatemala : les Bérets verts américains combattent les rebelles. 1967 - Détroit, l'armée américaine réprime des émeutes afro-américaines, faisant 43 morts. 1968 - Armée américaine, l'armée américaine parvient à mettre fin aux émeutes après l'assassinat de Martin Luther King. Plus de 21 000 soldats sont déployés dans les villes. 1969-1975 - Cambodge : l'armée et la marine américaines bombardent le pays. En dix ans, jusqu'à 2 millions de personnes sont tuées par les bombardements, la famine et le chaos politique. 1970 - Oman, occupé par l'armée américaine pour empêcher une invasion de l'Iran. 1971-1973 - Laos : les États-Unis bombardent le Sud-Vietnam. 1973 - Dakota du Sud : l'armée américaine réprime les Indiens Undide Nee. 1973 - Moyen-Orient : menace nucléaire et menace de guerre mondiale de la part des États-Unis pendant la guerre du Moyen-Orient. 1973 - Chili : un coup d'État militaire renverse et assassine le président Salvador Allende. 1975 - Cambodge : l'armée américaine bombarde le Mayaguez, un navire capturé, tuant 28 soldats. À la fin du XXe siècle 1976-1992 - Angola, opération de la CIA visant à apporter un soutien militaire aux gangs armés d'Afrique du Sud pendant la guerre civile. 1980 - Iran, soldats, menace nucléaire des États-Unis, l'armée tente en vain de sauver les otages de l'ambassade, 8 soldats meurent dans cette tentative. 1981 - Libye : la marine américaine abat deux avions libyens. 1981-1992 - Salvador - opération contre les rebelles. 1981-1990 - Opération Nicaragua, l'US Navy et la CIA répriment la révolution. 1982-1984 - Liban, la marine et l'armée de l'air américaines s'engagent dans une guerre contre les rebelles chiites. 241 marines sont tués. 1983-1984 - Grenade, invasion militaire américaine quatre ans après la révolution. 1983-1989 - Honduras : invasion américaine, manœuvres, construction d'une base. 1984 - Iran : deux avions civils iraniens sont abattus au-dessus du golfe Persique. 1986 - Libye, bombardement naval américain. 1986 - Bolivie, l'armée américaine participe à la guerre de la cocaïne. 1987-1988 - Iran : la marine et l'armée de l'air américaines interviennent dans la guerre d'Irak, bombardent et abattent un avion iranien. 1989 - Libye : la marine américaine abat deux avions libyens. 1989 - Îles Vierges, l'armée américaine réprime une émeute de Noirs à St. Croix. 1989 - Les États-Unis bombardent les Philippines. 1989 (- ?) - Panama, l'armée américaine renverse le gouvernement national, plus de 2 000 morts. 1990 - Liberia, l'armée américaine évacue les étrangers pendant la guerre civile. 1990-1991 - Arabie Saoudite, invasion américaine après l'invasion irakienne du Koweït, 540 000 soldats américains à Oman, au Qatar, au Bahreïn, aux Émirats arabes unis et en Israël. 1990-1991 - Irak : bombardements, invasion militaire américaine blocus naval des ports irakiens et jordaniens, frappes aériennes ; 200 000 personnes tuées lors des invasions de l'Irak et du Koweït ; destruction à grande échelle de l'armée irakienne. 1991 - Le Koweït 1991-2003 - Irak : bombardements, zones d'exclusion aérienne au-dessus du nord kurde et du sud chiite ; attaques aériennes et blocus naval constants. 1992 - Los Angeles : l'armée américaine et le corps des Marines sont déployés contre les manifestants et les émeutiers. 1992-1994 - Somalie, occupation par l'armée et la marine américaines, participation à la guerre civile. 1992-94 - Yougoslavie, blocus naval de la Serbie et du Monténégro par l'OTAN. 1993 - Bosnie, bombardements, patrouilles aériennes, zone d'exclusion aérienne, guerre civile, assassinats de Serbes, frappes contre la Serbie et abattage d'avions serbes. 1994 - Haïti, invasion américaine, blocus naval et occupation, renversement du gouvernement militaire. 1996-1997 - Zaïre (Congo) : les troupes américaines envahissent les camps de réfugiés hutus au Rwanda et les régions où la révolution congolaise a commencé. 1997 - Le Liberia 1997 - L'Albanie 1998 - Le Soudan attaqué car selon la CIA, produit des armes chimiques pour les terroristes. 1998 - Afghanistan : attaque au missile contre d'anciens camps d'entraînement de la CIA utilisés par des groupes fondamentalistes islamiques qui auraient attaqué l'ambassade. 1998 - Irak : bombardement, quatre jours d'attaques aériennes et de roquettes intenses après des allégations selon lesquelles les autorités auraient entravé le travail des inspecteurs en désarmement. 1999 - Yougoslavie : nombreux bombardements, tirs intensifs de roquettes et frappes aériennes de l'OTAN après le refus de la Serbie de quitter le Kosovo. Occupation du Kosovo par l'OTAN. Début du 21e siècle 2000 - Yémen 2001 - Macédoine, déploiement de troupes de l'OTAN. 2001 - États-Unis, réponse de l'US Air Force et de l'US Navy. 2001-2022 - Afghanistan, invasion par les troupes américaines, bombardements et attaques au missile, mobilisation massive aux États-Unis pour renverser le régime des talibans, chasse aux combattants d'Al-Qaïda, mise en place du régime Karzaï et lutte contre les talibans. Plus de 30 000 soldats américains et de nombreuses sociétés militaires privées occupent le pays. 2002 - Yémen 2002 - Philippines : déploiement de troupes américaines et mission navale contre Abu Sayyaf dans l'archipel de Sulu, à l'ouest de Mindanao. 2003 - Colombie, l'armée américaine et les forces spéciales sont déployées dans la zone rebelle pour soutenir l'armée colombienne dans la défense de l'oléoduc. 2003-2011 - Irak, guerre, bombardements, occupation, renversement de Saddam Hussein. L'invasion a mobilisé plus de 250 000 soldats américains. Les forces américaines et britanniques occupent le pays et combattent les rebelles sunnites et chiites. Plus de 160 000 soldats et de nombreux entrepreneurs privés se chargent de l'occupation et construisent de grandes bases permanentes. 2003 - Liberia, participation aux forces de maintien de la paix, opération visant à renverser le dirigeant du pays. 2004-2005 - Haïti, l'armée américaine, la marine et l'armée américaine occupent le pays. 2005 - Pakistan, attaques à la roquette et à la bombe, opérations secrètes et frappes de drones. 2006 - Somalie : des missiles, des forces navales et l'armée américaine participent à l'opération. Les forces spéciales du SWAT participent à l'invasion de l'Éthiopie, qui est renversée par le gouvernement islamiste ; bombardements AC-130, attaques au missile de croisière et frappes aériennes contre les insurgés islamistes ; blocus militaire contre les "pirates" et les rebelles. 2008 - Syrie : les forces spéciales sont impliquées dans une attaque d'hélicoptère à 5 miles de l'Irak ; 8 civils syriens sont tués. 2009 - Yémen : des frappes de missiles tuent 49 civils. 2011 - Libye : bombardements, attaques à la roquette, invasions menées par l'OTAN, frappes aériennes coordonnées et attaques à la roquette contre le gouvernement de Kadhafi pendant le soulèvement des rebelles. Les forces spéciales américaines mènent des opérations secrètes. 2014 - Irak : bombardements, tirs de missiles. 2014 - Syrie, bombardements, frappes de missiles, opérations d'invasion américaines. Participation à la guerre civile du côté des terroristes. Poutine : "Cette liste n'a pas été préparée par mon administration : - Cette liste n'a pas été préparée par mon administration, tout le monde connait ces opérations, ces guerres menées par les États-Unis. Zoltan Grossman décrit 150 opérations militaires menées par l'armée américaine, à la fois contre des pays étrangers et sur le territoire national, même à Washington. Les conclusions sont claires : qui sont les criminels de guerre, qui provoquent les guerres dans le monde, qui alimentent les conflits, qui veulent soumettre tout le monde à leur volonté ? La Russie n'a pas participé à 150 guerres au cours desquelles des millions de civils ont été tués et pour lesquelles vous avez voté au Sénat américain". https://twitter.com/CalliFanciulla/status/1700408260019310801 Créer un carrousel
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  • Les politiciens et les ONG financées par George Soros affirment que les « incidents haineux » sont en augmentation, mais ce n’est pas le cas. Les données montrent le contraire : des niveaux de tolérance plus élevés que jamais et en hausse à l’égard des minorités. La raison pour laquelle ils diffusent de la désinformation haineuse est de justifier une répression draconienne de la liberté d’expression.
    Les politiciens et les ONG financées par George Soros affirment que les « incidents haineux » sont en augmentation, mais ce n’est pas le cas. Les données montrent le contraire : des niveaux de tolérance plus élevés que jamais et en hausse à l’égard des minorités. La raison pour laquelle ils diffusent de la désinformation haineuse est de justifier une répression draconienne de la liberté d’expression.
    GRRR
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  • Thread : Pourquoi les défenseurs de la vérité et des droits de l'homme doivent soutenir Juan Branco, inculpé pour attentat et complot au Sénégal.
    6 août 2023

    "Retour en 6 points sur ce qu'a fait Juan Branco en faveur de la vérité et des droits humains dans sa vie. ⤵️


    1- Juan Branco commence véritablement sa carrière en janvier 2014 lorsqu'il rencontre Julian Assange dans l'ambassade d'équateur à Londres. Il sera son conseiller juridique pendant quelques temps jusqu'à rejoindre son équipe juridique en 2015.

    Juan Branco à été le conseiller Juridique de l'un des si ce n'est le plus grand combattant pour la vérité vivant sur cette terre. Mais surtout sûrement l'ennemi public n°1 des États-Unis.

    Mais il a aussi représenté publiquement l'organisation lors des révélations d'espionnage de la National Security Agency (NSA) en 2015, relatives aux présidents de la République française ainsi qu'à ses grandes entreprises. https://wikileaks.org/nsa-france/

    Il a participé aux négociations diplomatiques pour obtenir le droit d'asile à Julian Assange.
    Dans cette affaire il a mis sa vie en danger en ayant a peine 25 ans pour que la vérité éclate.


    2- Juan Branco à perdu un contrat avec les Nations Unis et la cour pénale spéciale en 2018 car il a défendu encore une fois la vérité, il a accusé les forces Onusienne de Massacre de 30 civils et de 100 blessés par les forces de l'ONU.
    L'ONU a considéré que dénoncer un crime allait contre l'intérêt de l'institution internationale, Juan Branco s'est encore mouillé pour la vérité.

    3- Pendant les gilets jaunes il défendra gratuitement les plus démunis contre la folle répression de ceux qui disait aux manifestants "nous ne sommes pas du même camp madame".

    Mais ce n'est pas tout il s'opposera frontalement plusieurs fois au régime macroniste en défendant ses Opposants : par exemple Damien Tarel qui avait infligé une gifle à notre président ou encore lorsqu'il défend la dame qui, àa bout, avait insulté macron "d'ordure".

    Face à la répression Branco à toujours été vent debout contre la macronie.

    4- En 2019 il a accusé avec un autre avocat, Omer Shatz, dans une plainte à la CPI contre l’Union européenne et ses Etats membres de crimes contre l’humanité pour meurtre, torture, traitements inhumains et déplacements forcés, commis à l’encontre de migrants tentant de fuir la Libye.

    5- Et enfin dernièrement Juan Branco à décidé de défendre
    @SonkoOfficiel car il voit derrière l'espoir qu'incarne cet homme une correspondance avec la lutte des gilets jaunes.

    Une lutte pour un retour du pouvoir au peuple, une lutte contre la corruption mise en avant dans son bouquin Crépuscule pour que les découvertes récente de gaz et de pétrole apporte véritablement aux populations du Sénégal.

    Une lutte finalement pour que la population ne cesse d'être "victime beaucoup plus que gagnant de systèmes politiques ces derniers siècles qui ont profité aux élites."

    Branco à décidé de défendre celui que le pouvoir Sénégalais persécute avec complaisance de l'Elysée (qui veut clairement sa peau) qui a intérêt à ce que Sonko ne soit pas élu car l'élection de Sonko signifierait la perte de contrôle du Sénégal pour l'Elysée.

    6- Mais ce n'est pas tout, soucieux du respect des droits de l'homme Juan Branco à saisi dernièrement la cour pénale internationale pour dénoncer des crimes contre l'humanité qui auraient été commis par le pouvoir Sénégalais mais également il affirme également que deux fonctionnaires français seraient impliqués. Il se lève donc encore une fois contre l'oppresseur pour le respect des droits de l'homme.

    Évidemment Juan Branco n'est pas parfait mais je suis persuadé que nous devons le défendre pour tout ce qu'il a apporté dans sa jeune carrière à la vérité et aux droits de l'homme.

    Cette liste n'est évidemment pas exhaustive et je vous laisse le soin de continuer cette liste."

    Ilan Gabet

    https://twitter.com/Ilangabet/status/1688254587793289217
    ou
    https://threadreaderapp.com/thread/1688254587793289217.html
    Thread : Pourquoi les défenseurs de la vérité et des droits de l'homme doivent soutenir Juan Branco, inculpé pour attentat et complot au Sénégal. 6 août 2023 "Retour en 6 points sur ce qu'a fait Juan Branco en faveur de la vérité et des droits humains dans sa vie. ⤵️ 1- Juan Branco commence véritablement sa carrière en janvier 2014 lorsqu'il rencontre Julian Assange dans l'ambassade d'équateur à Londres. Il sera son conseiller juridique pendant quelques temps jusqu'à rejoindre son équipe juridique en 2015. Juan Branco à été le conseiller Juridique de l'un des si ce n'est le plus grand combattant pour la vérité vivant sur cette terre. Mais surtout sûrement l'ennemi public n°1 des États-Unis. Mais il a aussi représenté publiquement l'organisation lors des révélations d'espionnage de la National Security Agency (NSA) en 2015, relatives aux présidents de la République française ainsi qu'à ses grandes entreprises. https://wikileaks.org/nsa-france/ Il a participé aux négociations diplomatiques pour obtenir le droit d'asile à Julian Assange. Dans cette affaire il a mis sa vie en danger en ayant a peine 25 ans pour que la vérité éclate. 2- Juan Branco à perdu un contrat avec les Nations Unis et la cour pénale spéciale en 2018 car il a défendu encore une fois la vérité, il a accusé les forces Onusienne de Massacre de 30 civils et de 100 blessés par les forces de l'ONU. L'ONU a considéré que dénoncer un crime allait contre l'intérêt de l'institution internationale, Juan Branco s'est encore mouillé pour la vérité. 3- Pendant les gilets jaunes il défendra gratuitement les plus démunis contre la folle répression de ceux qui disait aux manifestants "nous ne sommes pas du même camp madame". Mais ce n'est pas tout il s'opposera frontalement plusieurs fois au régime macroniste en défendant ses Opposants : par exemple Damien Tarel qui avait infligé une gifle à notre président ou encore lorsqu'il défend la dame qui, àa bout, avait insulté macron "d'ordure". Face à la répression Branco à toujours été vent debout contre la macronie. 4- En 2019 il a accusé avec un autre avocat, Omer Shatz, dans une plainte à la CPI contre l’Union européenne et ses Etats membres de crimes contre l’humanité pour meurtre, torture, traitements inhumains et déplacements forcés, commis à l’encontre de migrants tentant de fuir la Libye. 5- Et enfin dernièrement Juan Branco à décidé de défendre @SonkoOfficiel car il voit derrière l'espoir qu'incarne cet homme une correspondance avec la lutte des gilets jaunes. Une lutte pour un retour du pouvoir au peuple, une lutte contre la corruption mise en avant dans son bouquin Crépuscule pour que les découvertes récente de gaz et de pétrole apporte véritablement aux populations du Sénégal. Une lutte finalement pour que la population ne cesse d'être "victime beaucoup plus que gagnant de systèmes politiques ces derniers siècles qui ont profité aux élites." Branco à décidé de défendre celui que le pouvoir Sénégalais persécute avec complaisance de l'Elysée (qui veut clairement sa peau) qui a intérêt à ce que Sonko ne soit pas élu car l'élection de Sonko signifierait la perte de contrôle du Sénégal pour l'Elysée. 6- Mais ce n'est pas tout, soucieux du respect des droits de l'homme Juan Branco à saisi dernièrement la cour pénale internationale pour dénoncer des crimes contre l'humanité qui auraient été commis par le pouvoir Sénégalais mais également il affirme également que deux fonctionnaires français seraient impliqués. Il se lève donc encore une fois contre l'oppresseur pour le respect des droits de l'homme. Évidemment Juan Branco n'est pas parfait mais je suis persuadé que nous devons le défendre pour tout ce qu'il a apporté dans sa jeune carrière à la vérité et aux droits de l'homme. Cette liste n'est évidemment pas exhaustive et je vous laisse le soin de continuer cette liste." Ilan Gabet https://twitter.com/Ilangabet/status/1688254587793289217 ou https://threadreaderapp.com/thread/1688254587793289217.html
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  • Du fascisme en France
    Par Alexis Poulin
    28 07 2023

    Depuis l’élection d’Emmanuel Macron, les institutions ont été mises au service des lobbies et le président de la République a fait usage de tous les rouages de la Ve pour asseoir un pouvoir unipersonnel, dont la marque de fabrique est le mépris de classe et la violence, et qui ne rencontre quasiment aucun contre-pouvoir, ces derniers s’amenuisant de jour en jour.

    Aidé par un paysage médiatique, propriété des grands industriels et des champions du CAC40, Emmanuel Macron a pu assumer une dérive continue dans l’illibéralisme et l’autoritarisme contraires aux valeurs démocratiques qu’il prétend défendre. En 2017, l’illusion était parfaite, avec un parti fantoche créé pour l’occasion de la présidentielle, un programme sur-mesure pour attirer les investisseurs et condamner la République sociale, et une image de golden boy du nouveau monde.

    Evidemment, à partir de l’affaire Benalla, qui révélait la création d’une milice présidentielle et les premières dérives autocratiques, la violence déversée sur le premier mouvement social d’ampleur, les Gilets Jaunes, est restée impunie et validée par la classe bourgeoise qui soutient le maintien de l’ordre injuste dans la défense de ses intérêts.

    Oubliés, les éborgnés, les mutilés, les morts, les victimes de bavures, ces derniers ayant été bien vite catalogués comme des intouchables, séditieux et factieux, ennemis de la République.

    Depuis 2018, nous sommes témoins de la dégradation permanente du niveau de vie de millions de compatriotes, de la caricature grossière macroniste qui se défend de toute dérive fascisante et de la radicalité d’un Young Leader qui a pour feuille de route la dissolution de la région France dans la région EMEA (Europe Middle East & Africa), région marketing des multinationales US.

    Mais au-delà de la sympathie pour Pétain et pour les valeurs réactionnaires, mâtinées de wokisme bon marché, Emmanuel Macron a installé un système de conflits d’intérêts au coeur de la République, sans jamais être réellement inquiété par le pouvoir judiciaire mis au pas par un casting ministériel de choix.

    Aujourd’hui, il est obligé de céder aux pressions du lobby policier afin de préserver son pouvoir chancelant et antidémocratique. Dernière étape avant l’Etat policier, et un changement de régime assumé.

    Le mirage médiatique
    Rien sur l’ingérence des cadres d’un cabinet américain de conseil comme McKinsey dans la création du parti En Marche, rien sur l’affaire Alstom, démantèlement d’un fleuron industriel national au profit de GE, groupe américain, dont les nombreux dirigeants français ont été décorés, ou sont passés par le cabinet d’Emmanuel Macron à Bercy, rien sur les multiples conflits d’intérêts de plusieurs ministres et élus de la majorité, rien sur l’usage systématique de la violence d’Etat contre les mouvements sociaux. Rien. Comme si Macron avait tous les droits et pouvait tout se permettre.

    Et pourtant, la communauté internationale s’inquiète de l’état de la France dans les mains du Mozart de la lacrymo : L’ONU, la Ligue des Droits de l’Homme, Amnesty, Human Right Watch, le Conseil de L’Europe, la presse internationale et même la maison Blanche se sont émus des violences policières en France.

    Et en France? Il suffit d’allumer télé et radio pour ne rien voir, ne rien entendre et constater que beaucoup de « journalistes » sont payés pour ne rien dire, ou assurer à minima un service après-vente de propagande molle.

    Nous vivons au coeur d’une dystopie totalitaire où des BRAV-M harnachés comme des pacificateurs du film Hunger Games sèment la terreur au coeur des manifestations à coup de bastonnades et de tirs de LBD ou de grenades explosives.

    À Sainte-Soline, un palier a été franchi avec l’utilisation d’un arsenal pour faire la guerre aux militants écologistes venus dénoncer les bassines : quads, affrontements dignes d’une guérilla, et de trop nombreux blessés chez les manifestants et les policiers, avec un jeune manifestant entre la vie et la mort. Tout ça parce qu’il ne doit plus y avoir aucune ZAD (Zone à Défendre) selon le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin.

    Et c’est bien Gérald Darmanin qui a mandat du président pour ouvrir tout grand la fenêtre d’Overton vers une logique fasciste de l’ennemi de l’intérieur, n’hésitant pas à qualifier les manifestants d’ « éco-terroristes », les opposants de terroristes intellectuels et globalement, l’ensemble des Français opposés à la politique antisociale de Macron, de dangereux radicaux.
    Or une ZAD, c’est d’abord un refus de l’ordre injuste actuel, c’est la preuve qu’il existe des alternatives à l’univers impitoyable de la prédation financière et de la violence antihumaniste des fous d’argent.

    Une ZAD, c’est défendre l’humain, le droit à la créativité, le droit à la vie fors du profit et de la performance économique, le droit à la solidarité, le droit à l’autogestion, le droit à la protection de la violence de l’Etat en voie de devenir Big Brother.

    « There is no Alternative » était le slogan de Mme Thatcher dans les années 80 pour imposer la dérégulation financière et la violence contre les syndicats. De manière tardive et anachronique, le golden Boy Macron est resté coincé dans ces années de la mondialisation forcée et de l’argent roi, il veut nous imposer à notre tour, la fin du modèle Français, jugé obscène par les fonds vautours comme BlackRock et Vanguard qui ne tolèrent aucun secteur hors de leur pouvoir absolu.

    Ce « there is no alternative » est le neo-fascisme qui nous violente dorénavant. Sans limites politiques, par peur d’utiliser concrètement des concepts politiques, dans un monde du marketing politique.

    Du fascisme et pas autre chose
    Prenons la définition politique du fascisme par le Larousse :

    « 1. Régime établi en Italie de 1922 à 1945, fondé sur la dictature d’un parti unique, l’exaltation nationaliste et le corporatisme.

    2. Doctrine ou tendance visant à installer un régime autoritaire rappelant le fascisme italien ; ce régime lui-même.

    3. Attitude autoritaire, arbitraire, violente et dictatoriale imposée par quelqu’un à un groupe quelconque, à son entourage. »

    Nous voyons bien la création du parti unique du centre absolu, le ni de droite ni de gauche de Macron qui a permis de rassembler tous les traits des familles politiques en une entité centrale, autonome et autoproclamée « camp de la raison ».

    L’exaltation européiste a remplacé l’exaltation nationaliste, mais on peut voir dans le fanatisme guerrier et l’affirmation d’une pensée unique sans contradiction, portée par Mme Von der Leyen, une filiation fasciste évidente, mantra de pensée, unité de valeurs communes, niant les particularismes et les opinions personnelles.

    Et enfin, le corporatisme a été remplacé par le lobbying, Macron étant la créature de McKinsey adossé au pouvoir oligarchique de l’argent.

    Jusqu’où Macron peut-il se radicaliser ?
    La tendance visant à installer un régime autoritaire est plus qu’évidente, avec les nombreuses censures des opposants, la violence de la répression contre les mouvements sociaux, et le pouvoir d’un seul sur un parti fantôme de figurants soumis à son autorité.

    Concernant l’attitude violente, les mauvaises pratiques de management et les nombreuses démissions pour harcèlement, sont légion au sein de la macronie. Dernier drame en date, un employé de l’Elysée remercié à 50 ans après 23 ans de bons et loyaux services, s’est jeté sous un RER et est aujourd’hui dans un état critique. J’avais d’ailleurs alerté dès 2019 sur ce président de la violence qui n’a pas sa place en République.

    Il suffit donc de se référer à la définition officielle du fascisme pour se rendre compte que le macronisme est bien un fascisme au sens de sa définition politique.

    Il n’est plus nécessaire de se cacher derrière des pudeurs de gazelles pour nommer le mal qui défigure et torture la société française, toute négation serait simplement une condamnation de notre pays à la nuit.

    « L’ordre, l’ordre, l’ordre », a donc remplacé « liberté, égalité, fraternité ». Macron est un autocrate, qui a trahi son rôle de garant des institutions, pour en devenir le fossoyeur et assume sans vergogne ce rôle, en revendiquant l’autorité comme seule forme de ciment de la société française, violenté par ses politiques de fracturation.

    La faillite des Institutions
    Le conseil d’Etat, institution Potemkine, se révèle incapable de réclamer au ministère de l’Intérieur l’affichage du RIO des policiers, pourtant obligatoire depuis 2014. Conseil d’Etat qui ne vaut pas mieux que le Conseil Constitutionnel, organe moribond capable de valider un dispositif totalitaire anti-constitutionnel comme le pass vaccinal, et ne jamais revenir sur ses erreurs.

    Le parlement est devenu un lieu de spectacle vide de tout pouvoir, où les ministres comme Gérald Darmanin, ou encore Marlène Schiappa, peuvent commettre parjures et mensonges devant des commissions d’enquêtes parlementaires sans jamais être inquiétés.

    Les dérives ne sont plus des dérives, mais un mode de gouvernance, par la violence, pour imposer la vision radicalisée d’un seul à tout un peuple réfractaire.

    Désolé, mais je n’appelle pas ça une démocratie. Libre aux Français de continuer de croire à ce cirque débile où tous les cinq ans, un pantin de la finance est mis en scène face à une héritière de Jean-Marie Le Pen, c’est ridicule mais malheureusement, l’artifice fonctionne encore à merveille.

    Chaque campagne devient une campagne de mensonge et de dissimulation, tout en cherchant à rendre illégitime toute opposition concrète. Extrême droite, complotisme, terrorisme, tout ce qui n’est pas la doxa du parti unique doit disparaître. Et pourtant, les alternatives et les oppositions sont déjà largement invisibilisées par les médias subventionnés et pousser toujours plus loin du jeu politique, qui est un jeu anti-populaire de quelques nantis qui s’amusent à s’opposer. Des bourgeois bourgeonnant entre eux comme le disait si bien Jaurès.

    Ce jeu est truqué, et ce sont toujours les mêmes Français qui sont perdants. Toujours plus nombreux poussés dans la précarité, toujours plus nombreux sous le seuil de pauvreté, toujours plus nombreux broyés par la politique du choix de la pauvreté.

    La reprise en main
    Nous devrions réécrire la constitution, maintenant, par des comités populaires constituants et assurer enfin que les maltraitants ne se sentent plus intouchables et hors de contrôle.

    Il est urgent de recouvrir nos institutions, et d’en chasser les coucous de McKinsey et autres carriéristes sans valeurs qui y ont fait leur nid.

    Serons-nous assez nombreux? La réponse est non. Mais l’espoir est déjà plus qu’un espoir, car les médias indépendants se constituent alors en corps nécessaires du sursaut démocratique face à la menace fasciste.

    Il s’agit maintenant de rassurer les peureux, de libérer la parole contrainte et de montrer que la démocratie, c’est le peuple et donc le nombre, contre les mirages et les mises en scène des propriétaires des médias mainstream et des sponsors des futurs grands maltraitants.

    Les mots ont un sens et le macronisme est le sommet de l’art de vider le langage de tout sens. Et comme le disait Malcolm X « La presse a un pouvoir de l’image si puissant qu’elle peut faire passer un criminel pour une victime et montrer la victime comme un criminel ».

    Cet épisode tragique de ce parti comique, où les ministres posent dans Playboy pour cacher leurs turpitudes réelles, où le président de la République se comporte en chef de clan pour diviser et violenter, aura une fin.

    Oui, le marcionisme ne survivra pas à Macron. Il faudra du temps pour soigner le pays et apporter enfin le peu de justice que réclament les dépossédés, mais ce temps, nous l’avons, et eux se savent déjà condamnés, d’où leur frénésie à tout massacrer avant l’issue fatale de leur éjection de tout poste de pouvoir.

    La revanche de « ceux qui ne sont rien » arrive et elle sera une libération nécessaire et surtout le sauvetage du naufrage fasciste auquel nous pensons assister en spectateur.

    https://www.lemondemoderne.media/du-fascisme-en-france/
    Du fascisme en France Par Alexis Poulin 28 07 2023 Depuis l’élection d’Emmanuel Macron, les institutions ont été mises au service des lobbies et le président de la République a fait usage de tous les rouages de la Ve pour asseoir un pouvoir unipersonnel, dont la marque de fabrique est le mépris de classe et la violence, et qui ne rencontre quasiment aucun contre-pouvoir, ces derniers s’amenuisant de jour en jour. Aidé par un paysage médiatique, propriété des grands industriels et des champions du CAC40, Emmanuel Macron a pu assumer une dérive continue dans l’illibéralisme et l’autoritarisme contraires aux valeurs démocratiques qu’il prétend défendre. En 2017, l’illusion était parfaite, avec un parti fantoche créé pour l’occasion de la présidentielle, un programme sur-mesure pour attirer les investisseurs et condamner la République sociale, et une image de golden boy du nouveau monde. Evidemment, à partir de l’affaire Benalla, qui révélait la création d’une milice présidentielle et les premières dérives autocratiques, la violence déversée sur le premier mouvement social d’ampleur, les Gilets Jaunes, est restée impunie et validée par la classe bourgeoise qui soutient le maintien de l’ordre injuste dans la défense de ses intérêts. Oubliés, les éborgnés, les mutilés, les morts, les victimes de bavures, ces derniers ayant été bien vite catalogués comme des intouchables, séditieux et factieux, ennemis de la République. Depuis 2018, nous sommes témoins de la dégradation permanente du niveau de vie de millions de compatriotes, de la caricature grossière macroniste qui se défend de toute dérive fascisante et de la radicalité d’un Young Leader qui a pour feuille de route la dissolution de la région France dans la région EMEA (Europe Middle East & Africa), région marketing des multinationales US. Mais au-delà de la sympathie pour Pétain et pour les valeurs réactionnaires, mâtinées de wokisme bon marché, Emmanuel Macron a installé un système de conflits d’intérêts au coeur de la République, sans jamais être réellement inquiété par le pouvoir judiciaire mis au pas par un casting ministériel de choix. Aujourd’hui, il est obligé de céder aux pressions du lobby policier afin de préserver son pouvoir chancelant et antidémocratique. Dernière étape avant l’Etat policier, et un changement de régime assumé. Le mirage médiatique Rien sur l’ingérence des cadres d’un cabinet américain de conseil comme McKinsey dans la création du parti En Marche, rien sur l’affaire Alstom, démantèlement d’un fleuron industriel national au profit de GE, groupe américain, dont les nombreux dirigeants français ont été décorés, ou sont passés par le cabinet d’Emmanuel Macron à Bercy, rien sur les multiples conflits d’intérêts de plusieurs ministres et élus de la majorité, rien sur l’usage systématique de la violence d’Etat contre les mouvements sociaux. Rien. Comme si Macron avait tous les droits et pouvait tout se permettre. Et pourtant, la communauté internationale s’inquiète de l’état de la France dans les mains du Mozart de la lacrymo : L’ONU, la Ligue des Droits de l’Homme, Amnesty, Human Right Watch, le Conseil de L’Europe, la presse internationale et même la maison Blanche se sont émus des violences policières en France. Et en France? Il suffit d’allumer télé et radio pour ne rien voir, ne rien entendre et constater que beaucoup de « journalistes » sont payés pour ne rien dire, ou assurer à minima un service après-vente de propagande molle. Nous vivons au coeur d’une dystopie totalitaire où des BRAV-M harnachés comme des pacificateurs du film Hunger Games sèment la terreur au coeur des manifestations à coup de bastonnades et de tirs de LBD ou de grenades explosives. À Sainte-Soline, un palier a été franchi avec l’utilisation d’un arsenal pour faire la guerre aux militants écologistes venus dénoncer les bassines : quads, affrontements dignes d’une guérilla, et de trop nombreux blessés chez les manifestants et les policiers, avec un jeune manifestant entre la vie et la mort. Tout ça parce qu’il ne doit plus y avoir aucune ZAD (Zone à Défendre) selon le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin. Et c’est bien Gérald Darmanin qui a mandat du président pour ouvrir tout grand la fenêtre d’Overton vers une logique fasciste de l’ennemi de l’intérieur, n’hésitant pas à qualifier les manifestants d’ « éco-terroristes », les opposants de terroristes intellectuels et globalement, l’ensemble des Français opposés à la politique antisociale de Macron, de dangereux radicaux. Or une ZAD, c’est d’abord un refus de l’ordre injuste actuel, c’est la preuve qu’il existe des alternatives à l’univers impitoyable de la prédation financière et de la violence antihumaniste des fous d’argent. Une ZAD, c’est défendre l’humain, le droit à la créativité, le droit à la vie fors du profit et de la performance économique, le droit à la solidarité, le droit à l’autogestion, le droit à la protection de la violence de l’Etat en voie de devenir Big Brother. « There is no Alternative » était le slogan de Mme Thatcher dans les années 80 pour imposer la dérégulation financière et la violence contre les syndicats. De manière tardive et anachronique, le golden Boy Macron est resté coincé dans ces années de la mondialisation forcée et de l’argent roi, il veut nous imposer à notre tour, la fin du modèle Français, jugé obscène par les fonds vautours comme BlackRock et Vanguard qui ne tolèrent aucun secteur hors de leur pouvoir absolu. Ce « there is no alternative » est le neo-fascisme qui nous violente dorénavant. Sans limites politiques, par peur d’utiliser concrètement des concepts politiques, dans un monde du marketing politique. Du fascisme et pas autre chose Prenons la définition politique du fascisme par le Larousse : « 1. Régime établi en Italie de 1922 à 1945, fondé sur la dictature d’un parti unique, l’exaltation nationaliste et le corporatisme. 2. Doctrine ou tendance visant à installer un régime autoritaire rappelant le fascisme italien ; ce régime lui-même. 3. Attitude autoritaire, arbitraire, violente et dictatoriale imposée par quelqu’un à un groupe quelconque, à son entourage. » Nous voyons bien la création du parti unique du centre absolu, le ni de droite ni de gauche de Macron qui a permis de rassembler tous les traits des familles politiques en une entité centrale, autonome et autoproclamée « camp de la raison ». L’exaltation européiste a remplacé l’exaltation nationaliste, mais on peut voir dans le fanatisme guerrier et l’affirmation d’une pensée unique sans contradiction, portée par Mme Von der Leyen, une filiation fasciste évidente, mantra de pensée, unité de valeurs communes, niant les particularismes et les opinions personnelles. Et enfin, le corporatisme a été remplacé par le lobbying, Macron étant la créature de McKinsey adossé au pouvoir oligarchique de l’argent. Jusqu’où Macron peut-il se radicaliser ? La tendance visant à installer un régime autoritaire est plus qu’évidente, avec les nombreuses censures des opposants, la violence de la répression contre les mouvements sociaux, et le pouvoir d’un seul sur un parti fantôme de figurants soumis à son autorité. Concernant l’attitude violente, les mauvaises pratiques de management et les nombreuses démissions pour harcèlement, sont légion au sein de la macronie. Dernier drame en date, un employé de l’Elysée remercié à 50 ans après 23 ans de bons et loyaux services, s’est jeté sous un RER et est aujourd’hui dans un état critique. J’avais d’ailleurs alerté dès 2019 sur ce président de la violence qui n’a pas sa place en République. Il suffit donc de se référer à la définition officielle du fascisme pour se rendre compte que le macronisme est bien un fascisme au sens de sa définition politique. Il n’est plus nécessaire de se cacher derrière des pudeurs de gazelles pour nommer le mal qui défigure et torture la société française, toute négation serait simplement une condamnation de notre pays à la nuit. « L’ordre, l’ordre, l’ordre », a donc remplacé « liberté, égalité, fraternité ». Macron est un autocrate, qui a trahi son rôle de garant des institutions, pour en devenir le fossoyeur et assume sans vergogne ce rôle, en revendiquant l’autorité comme seule forme de ciment de la société française, violenté par ses politiques de fracturation. La faillite des Institutions Le conseil d’Etat, institution Potemkine, se révèle incapable de réclamer au ministère de l’Intérieur l’affichage du RIO des policiers, pourtant obligatoire depuis 2014. Conseil d’Etat qui ne vaut pas mieux que le Conseil Constitutionnel, organe moribond capable de valider un dispositif totalitaire anti-constitutionnel comme le pass vaccinal, et ne jamais revenir sur ses erreurs. Le parlement est devenu un lieu de spectacle vide de tout pouvoir, où les ministres comme Gérald Darmanin, ou encore Marlène Schiappa, peuvent commettre parjures et mensonges devant des commissions d’enquêtes parlementaires sans jamais être inquiétés. Les dérives ne sont plus des dérives, mais un mode de gouvernance, par la violence, pour imposer la vision radicalisée d’un seul à tout un peuple réfractaire. Désolé, mais je n’appelle pas ça une démocratie. Libre aux Français de continuer de croire à ce cirque débile où tous les cinq ans, un pantin de la finance est mis en scène face à une héritière de Jean-Marie Le Pen, c’est ridicule mais malheureusement, l’artifice fonctionne encore à merveille. Chaque campagne devient une campagne de mensonge et de dissimulation, tout en cherchant à rendre illégitime toute opposition concrète. Extrême droite, complotisme, terrorisme, tout ce qui n’est pas la doxa du parti unique doit disparaître. Et pourtant, les alternatives et les oppositions sont déjà largement invisibilisées par les médias subventionnés et pousser toujours plus loin du jeu politique, qui est un jeu anti-populaire de quelques nantis qui s’amusent à s’opposer. Des bourgeois bourgeonnant entre eux comme le disait si bien Jaurès. Ce jeu est truqué, et ce sont toujours les mêmes Français qui sont perdants. Toujours plus nombreux poussés dans la précarité, toujours plus nombreux sous le seuil de pauvreté, toujours plus nombreux broyés par la politique du choix de la pauvreté. La reprise en main Nous devrions réécrire la constitution, maintenant, par des comités populaires constituants et assurer enfin que les maltraitants ne se sentent plus intouchables et hors de contrôle. Il est urgent de recouvrir nos institutions, et d’en chasser les coucous de McKinsey et autres carriéristes sans valeurs qui y ont fait leur nid. Serons-nous assez nombreux? La réponse est non. Mais l’espoir est déjà plus qu’un espoir, car les médias indépendants se constituent alors en corps nécessaires du sursaut démocratique face à la menace fasciste. Il s’agit maintenant de rassurer les peureux, de libérer la parole contrainte et de montrer que la démocratie, c’est le peuple et donc le nombre, contre les mirages et les mises en scène des propriétaires des médias mainstream et des sponsors des futurs grands maltraitants. Les mots ont un sens et le macronisme est le sommet de l’art de vider le langage de tout sens. Et comme le disait Malcolm X « La presse a un pouvoir de l’image si puissant qu’elle peut faire passer un criminel pour une victime et montrer la victime comme un criminel ». Cet épisode tragique de ce parti comique, où les ministres posent dans Playboy pour cacher leurs turpitudes réelles, où le président de la République se comporte en chef de clan pour diviser et violenter, aura une fin. Oui, le marcionisme ne survivra pas à Macron. Il faudra du temps pour soigner le pays et apporter enfin le peu de justice que réclament les dépossédés, mais ce temps, nous l’avons, et eux se savent déjà condamnés, d’où leur frénésie à tout massacrer avant l’issue fatale de leur éjection de tout poste de pouvoir. La revanche de « ceux qui ne sont rien » arrive et elle sera une libération nécessaire et surtout le sauvetage du naufrage fasciste auquel nous pensons assister en spectateur. https://www.lemondemoderne.media/du-fascisme-en-france/
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    Du fascisme en France
    Le président de la République a fait usage de tous les rouages de la Ve pour asseoir un pouvoir unipersonnel
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  • Emmanuel Macron c'est ...
    ✅La hausse de la taxe foncière c'est lui (indirectement)
    ✅L'inflation c'est lui.
    ✅La retraite c'est lui.
    ✅L'insécurité c'est lui.
    ✅La dette c'est lui.
    ✅Le prix de l'essence c'est lui.
    ✅La forte hausse de l'électricité c'est lui.
    ✅La faiblesse de la France en Europe et à l'international c'est lui.
    ✅La casse des services publics, c'est lui.
    ✅L'enrichissement des plus riches , c'est lui.
    ✅La baisse des ressources des collectivités territoriales c'est lui.
    ✅La violence policière c'est lui.
    ✅Les millions en cabinet de conseil c'est lui.
    ✅Le maintien du glyphosate c'est lui.
    ✅Le nucléaire , le tissus nucléaire en France est dans un tel état de délabrement qu'il en faudrait peu pour ce retrouver à Fukushima.
    ✅L’emploi , il a détruit le code du travail en favorisant les emplois Uber c'est lui.
    ✅La réindustrialisation , il y a jamais eu si peu d'industrie en France c'est lui.
    ✅La baisse massive des impôts oui pour les riches ( les grande fortunes n'ont jamais autant prospéré )
    ✅L’armée , une armée de métier qui n'a plus les moyens d'assumer son rôle c'est lui.
    ✅La retraite , parlons en de la retraite , les ouvriers fatigués , la voir s’éloigner de plus en plus sans pouvoir en profiter malgré leurs années de cotisation.
    ✅L’emploi des jeunes , les Uber emplois des jeunes , facile à consommer à jeter à écraser et ne parlons pas des études de plus en plus couteuses qui ne permettent plus à beaucoup d'avoir de vraies perspectives d'avenir
    ✅Uberisation massive et précarité.
    ✅Record de faillites d'entreprises.
    ✅A voulu fermer 14 centrales pour une écologie de bobos.
    ✅A fait les vases communicants sur l'impôt.
    ✅A imposé 2 ans de travail en plus pour rien.
    ✅Le régalien est un échec complet.
    ✅La sécurité , pour qui ?
    ✅3 mille milliards de dette , c'est lui
    ☝️Il réussi là où les autres ont lamentablement échoué
    ✅Le chaos.
    ✅La corruption.
    ✅La privatisation.
    ✅L'endettement.
    ✅L’augmentation des forces de répression.
    ✅Le 49.3.
    ✅La retraite .
    ✅La totalitarisme sanitaire.
    ✅Les contrats avec Pfizer.
    ✅McKinsey.
    ☝️Il réussi là où les autres ont lamentablement échoué
    ✅Destruction de la classe moyenne.
    ✅Ce qui fait de lui le président le plus détesté de la Vème République.
    ✅Radiations massives de pôle emploi.
    ✅Pollution extrême.
    ✅Perte de l'indépendance énergétique.
    ✅Fin des services publics.
    ✅Répression , violences policières.
    ✅Militarisation fascisante.
    ✅Esclavagisme.
    ✅Oppression.
    ✅Carbonisation.
    ☝️La macronie c'est 6 ans de crises et de grands n'importe quoi..
    👉 Rappel aux amnésiques:
    J'ai pas fini :
    ✅Monuments historiques qui crament
    ✅Gilets jaunes.
    ✅Destruction des CHU.
    ✅Gestion covid.
    ✅Confinements.
    ✅Vaccination folle.
    ✅Inflation alimentaire , énergétique.
    ✅Émeutes.
    ✅Affaires : Alstom , Kholler , Benalla Schiappa.. Dupond-Moretti , McKinsey etc ...

    #FautRienOublier

    https://twitter.com/NaphtalineLeBon/status/1683316961386610688
    Emmanuel Macron c'est ... ✅La hausse de la taxe foncière c'est lui (indirectement) ✅L'inflation c'est lui. ✅La retraite c'est lui. ✅L'insécurité c'est lui. ✅La dette c'est lui. ✅Le prix de l'essence c'est lui. ✅La forte hausse de l'électricité c'est lui. ✅La faiblesse de la France en Europe et à l'international c'est lui. ✅La casse des services publics, c'est lui. ✅L'enrichissement des plus riches , c'est lui. ✅La baisse des ressources des collectivités territoriales c'est lui. ✅La violence policière c'est lui. ✅Les millions en cabinet de conseil c'est lui. ✅Le maintien du glyphosate c'est lui. ✅Le nucléaire , le tissus nucléaire en France est dans un tel état de délabrement qu'il en faudrait peu pour ce retrouver à Fukushima. ✅L’emploi , il a détruit le code du travail en favorisant les emplois Uber c'est lui. ✅La réindustrialisation , il y a jamais eu si peu d'industrie en France c'est lui. ✅La baisse massive des impôts oui pour les riches ( les grande fortunes n'ont jamais autant prospéré ) ✅L’armée , une armée de métier qui n'a plus les moyens d'assumer son rôle c'est lui. ✅La retraite , parlons en de la retraite , les ouvriers fatigués , la voir s’éloigner de plus en plus sans pouvoir en profiter malgré leurs années de cotisation. ✅L’emploi des jeunes , les Uber emplois des jeunes , facile à consommer à jeter à écraser et ne parlons pas des études de plus en plus couteuses qui ne permettent plus à beaucoup d'avoir de vraies perspectives d'avenir ✅Uberisation massive et précarité. ✅Record de faillites d'entreprises. ✅A voulu fermer 14 centrales pour une écologie de bobos. ✅A fait les vases communicants sur l'impôt. ✅A imposé 2 ans de travail en plus pour rien. ✅Le régalien est un échec complet. ✅La sécurité , pour qui ? ✅3 mille milliards de dette , c'est lui ☝️Il réussi là où les autres ont lamentablement échoué ✅Le chaos. ✅La corruption. ✅La privatisation. ✅L'endettement. ✅L’augmentation des forces de répression. ✅Le 49.3. ✅La retraite . ✅La totalitarisme sanitaire. ✅Les contrats avec Pfizer. ✅McKinsey. ☝️Il réussi là où les autres ont lamentablement échoué ✅Destruction de la classe moyenne. ✅Ce qui fait de lui le président le plus détesté de la Vème République. ✅Radiations massives de pôle emploi. ✅Pollution extrême. ✅Perte de l'indépendance énergétique. ✅Fin des services publics. ✅Répression , violences policières. ✅Militarisation fascisante. ✅Esclavagisme. ✅Oppression. ✅Carbonisation. ☝️La macronie c'est 6 ans de crises et de grands n'importe quoi.. 👉 Rappel aux amnésiques: J'ai pas fini : ✅Monuments historiques qui crament ✅Gilets jaunes. ✅Destruction des CHU. ✅Gestion covid. ✅Confinements. ✅Vaccination folle. ✅Inflation alimentaire , énergétique. ✅Émeutes. ✅Affaires : Alstom , Kholler , Benalla Schiappa.. Dupond-Moretti , McKinsey etc ... #FautRienOublier https://twitter.com/NaphtalineLeBon/status/1683316961386610688
    GRRR
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  • Six ans en Macronie : 18 condamnations, 8 mises en examen et 13 enquêtes en cours
    10 juillet 2023 | Loïc Le Clerc | Justice -

    On vous aurait bien fait un top 10 des macronistes confrontés à la justice, mais ils sont déjà une trentaine…

    Il voulait introduire de la « moralisation » dans la vie publique, il promettait une « République exemplaire ». Au final, la « grande » loi portée par le Garde des Sceaux François Bayrou n’aura été qu’une réponse à l’affaire Fillon. Un fait divers, une loi.

    La suite de la « morale » macronienne, on la connaît. À se croire dans l’Ancien Monde. Déjà six ans qu’Emmanuel Macron est Président et la liste des déboires de la Macronie ne cesse de s’allonger.

    18 condamnations

    Laetitia Avia
    Depuis l’été 2020, la députée-vice-présidente-du-bureau-exécutif-porte-parole de LREM est visée par une enquête pour « harcèlement moral ». Cinq de ses anciens assistants parlementaires l’accusent, dans un article publié par Mediapart, d’humiliations, harcèlements et abus de pouvoir. Le 5 juillet 2023, la désormais ex-députée a été condamnée à six mois de prison avec sursis et deux ans d’inéligibilité pour harcèlement moral.

    Anne-Christine Lang
    Le 9 mai 2023, l’ex-députée LREM Anne-Christine Lang a été condamnée à 3 ans d’inéligibilité et 60 000€ d’amende pour détournement de fonds publics, apprend-on dans Le Monde. On lit : « Mme Lang a reconnu avoir utilisé une partie de son indemnité représentative de frais de mandat (IRFM) à des fins personnelles. Des « dépenses non conformes » à hauteur de 44 650 euros, comme l’a rappelé le président du tribunal, citant comme exemple des consultations médicales, l’achat de jouets et de vêtements pour enfants, le paiement de cotisations à un parti politique ou encore des chèques en faveur de personnes ou de sociétés « sans lien avec le mandat de député ». »

    François Pupponi
    Ancien maire de Sarcelles et député MoDem, François Pupponi a été condamné à 5000 euros d’amende et 29 000 euros de dommages et intérêts, en janvier 2022, pour abus de biens sociaux et faux et usage de faux par le tribunal correctionnel de Pontoise. L’élu a fait appel de cette décision, lit-on sur Mediapart.

    Alain Griset
    Ministre délégué auprès du ministre de l’Économie, des Finances et de la Relance, chargé des Petites et Moyennes Entreprises, Alain Griset n’est peut-être pas le plus médiatique des membres du gouvernement, mais il est plutôt bien connu de la justice. Ainsi lit-on sur Le Monde ce mercredi 8 décembre 2021 qu’il a été « condamné à six mois de prison avec sursis et trois ans d’inéligibilité avec sursis pour déclaration incomplète de son patrimoine ». Une « maladresse » qui s’élève à 171.000 euros. Sitôt condamné, Alain Griset a fait appel de cette décision et démissionné du gouvernement. En appel, l’ex-ministre a été condamné à quatre mois de prison avec sursis.

    Sira Sylla
    Harcèlement moral, non-paiement d’heures supplémentaires et de journées de repos, manquement à l’obligation de sécurité. Voilà le beau palmarès de Sira Sylla, députée LREM de 2017 à 2022. Le 6 septembre 2022, elle a été reconnue coupable de ces faits par le conseil des prud’hommes de Rouen. Ainsi lit-on sur le site de France 3 Normandie : « L’ancienne parlementaire investie par la majorité devra verser un total de près de 80.000€ à la victime dont près de 20.000€ d’heures supplémentaires impayées, 20.000€ pour les faits de harcèlement moral et près de 21.000€ de dommages et intérêts pour le licenciement. » Au moins trois de ses anciens assistants parlementaires avaient saisi la justice. À l’époque, Bruno Roger-Petit, conseiller d’Emmanuel Macron, avait publiquement exprimé sa solidarité envers Sira Sylla. Sur Mediapart, on apprenait alors qu’un de ses collaborateurs avait ainsi « été « forcé à ne pas respecter le couvre-feu » pour lui apporter du champagne, tandis qu’un autre salarié a expliqué qu’avant son licenciement, la députée lui avait souhaité par téléphone « une bonne mort » à son grand-père, alors hospitalisé. »

    Jacques Krabal
    Député de 2012 à 2022, d’abord sous l’étiquette du PRG puis celle de LREM, Jacques Krabal a été condamné en novembre 2021 par la cour d’appel de Paris à la suite d’une plainte pour travail dissimulé et harcèlement moral de son ancien directeur de cabinet.

    Pierre Cabaré
    En septembre 2021, le député LREM est condamné aux prud’hommes pour « licenciement sans cause réelle et sérieuse » d’un collaborateur, informe Le Monde.

    De plus, en septembre 2019, France 3 dévoile que Pierre Cabaré fait l’objet d’une enquête préliminaire du service régional de police judiciaire de Toulouse pour harcèlement sexuel et moral. La plaignante, sa suppléante et assistante parlementaire, a également porté plainte pour agression sexuelle. Pierre Cabaré est depuis longtemps connu des services : en 2003, il avait été condamné à un an d’inéligibilité par le Conseil constitutionnel pour la gestion de son compte de campagne lorsqu’il était candidat divers droite aux législatives de 2002.

    Sandrine Josso
    En février 2021, la députée Sandrine Josso MoDem a été condamnée à un an d’inéligibilité pour n’avoir pas présenté ses comptes de campagne de l’élection municipale dans les temps. Une peine qui ne l’empêchait pas d’être candidate à sa réélection en 2022.

    Parallèlement, le 10 octobre 2021, Mediapart publiait l’information suivante : « En 2018, la députée de Loire-Atlantique Sandrine Josso a demandé à son assistante de lui prêter 10 000 euros en contractant un crédit à la consommation. Elle ne l’a pas remboursée. La justice a ouvert une enquête pour « abus de confiance ». »

    Benoit Simian
    Ce député membre du groupe Libertés et Territoires à l’Assemblée (mais élu LREM) fait l’objet d’une enquête « pour harcèlement moral par conjoint […] dans le cadre d’une « séparation houleuse » assortie de « plaintes croisées » pour violences », lit-on dans Sud Ouest. Déjà interdit d’approcher du domicile conjugal, une demande de levée d’immunité a été formulée auprès du bureau de l’Assemblée, lequel, début décembre 2020, l’a… rejetée.

    En juin 2022, Benoît Simian est condamné à huit mois de prison avec sursis. Il doit également verser 5000 euros à son ex-compagne et a interdiction de s’approcher d’elle pendant un an. Toutefois, il échappe à une peine d’inéligibilité. À noter que l’imminence de cette condamnation ne l’avait pas empêché d’être candidat à sa réélection aux législatives.

    Benoît Simian fait parallèlement l’objet d’une enquête judiciaire pour harcèlement à l’encontre d’une collaboratrice.

    M’Jid El Guerrab
    Le 31 août 2017, M’Jid El Guerrab, alors député LREM, frappe violemment à coups de casque Boris Faure, un cadre du PS. Deux coups qui causeront un traumatisme crânien au socialiste. Pour sa défense, il accuse Boris Faure d’« insultes racistes ».

    Depuis, M’Jid El Guerrab a exclu du groupe LREM à l’Assemblée nationale. Il a aussi été mis en examen pour violences volontaires avec arme.

    Le 12 mai 2022, Boris Faure tweete : « Mon agresseur est reconnu coupable pleinement. 3 ans de prison dont 2 avec sursis et 2 ans d’inéligibilité. »

    Jean-Paul Delevoye
    Lu dans Le Parisien, le 2 décembre 2021 : « L’ancien haut-commissaire aux retraites a écopé de quatre mois de prison avec sursis et 15.000 euros d’amende pour ne pas avoir déclaré plusieurs mandats à la Haute autorité pour la transparence de la vie publique. »

    Stéphanie Kerbarh
    Députée LREM lors du premier mandat d’Emmanuel Macron, Stéphanie Kerbarh a été condamnée en décembre 2019 par le conseil des prud’hommes du Havre pour un licenciement sans cause réelle et sérieuse de son assistant

    Alexandre Benalla et Vincent Crase
    Faut-il encore présenter le feuilleton de l’été ? Alors qu’Emmanuel Macron profitait de sa piscine à 34.000 euros à Brégançon, une vidéo montrant son homme de main élyséen molestant des manifestants le 1er-Mai venait assombrir le ciel estival macroniste.

    Alexandre Benalla n’est pas seulement un barbouze. Il intervient comme bon lui semble, en marge des manifestations, brassard « police » autour du bras. La loi, c’est lui. Le jeune homme de 26 ans dispose aussi d’une voiture (avec chauffeur) équipée de gyrophares, d’un badge lui permettant de se rendre dans l’hémicycle de l’Assemblée nationale et et de porter des armes à feu. À ce propos, ces armes étaient conservées dans un coffre-fort au domicile de Benalla. Depuis que la justice s’est saisie de l’affaire, le coffre-fort a disparu. Le 5 novembre, une information judiciaire a été ouverte contre X (coucou Alexandre Benalla) par le parquet de Paris pour « soustraction de documents ou objets concernant un crime ou un délit en vue de faire obstacle à la manifestation de la vérité ».

    Pour la première fois du quinquennat, Emmanuel Macron est pris de court. Sa communication s’avère catastrophique. Lui et ses sbires accusent les journalistes de ne pas chercher la « vérité ». Même les plus conservateurs des syndicats de police s’offusqueront de voir Benalla invité du JT de TF1. Eux n’ont pas droit à autant de considération.

    L’Assemblée et le Sénat tenteront de jouer leur rôle de contre-pouvoir face à un super-Président. Le Palais-Bourbon, aux mains de LREM, abdiquera rapidement, se félicitant d’avoir fait la lumière sur cette affaire, alors que le ministre de l’Intérieur, le préfet de police ou encore Patrick Strzoda, directeur de cabinet du président de la République, ont menti sous serment.

    Un scandale d’Etat que les marcheurs qualifieront de « tempête dans un verre d’eau ». L’Elysée aurait mis à pied Benalla 15 jours, après le 1er mai, avant de le licencier une fois l’affaire rendue public. Un « fait-divers » qui poussera Macron à réorganiser l’Elysée.

    Alexandre Benalla a été mis en examen le 22 juillet pour violences volontaires, immixtion dans l’exercice d’une fonction publique, port public et sans droit d’insignes réglementés, recel de détournement d’images issues d’un système de vidéo-protection et recel de violation du secret professionnel. Vincent Crase, un gendarme réserviste salarié du parti LREM, a lui aussi été mis en examen pour les mêmes faits.

    De plus, Mediapart révèle que Ismaël Emelien, conseiller spécial d’Emmanuel Macron, devrait se voir lui aussi inquiété dans cette affaire. Il est accusé d’avoir détenu le CD montrant les images volées de la vidéosurveillance des violences du 1er mai.

    Le 29 novembre 2018, Alexandre Benalla a également été mis en examen pour violences volontaires, des faits commis au Jardin des plantes, toujours le 1er mai. De plus, une enquête préliminaire a été ouverte à son encontre pour la non-restitution de deux passeports diplomatiques qu’il a continué à utiliser malgré son licenciement de l’Élysée.

    Le 5 novembre 2021, Alexandre Benalla a été condamné à trois ans de prison, dont un an ferme. Et, comme on peut le lire sur franceinfo, « l’ancien collaborateur de l’Élysée n’ira toutefois pas en prison. S’il ne fait pas appel, il devra porter un bracelet électronique en Normandie, au domicile de sa mère. »

    En parallèle, Vincent Crase a été condamné à deux ans d’emprisonnement avec sursis, 500 euros d’amende, l’interdiction de port d’arme de dix ans et la confiscation de celles qui détient pour notamment « violence en réunion », « port d’arme prohibé » et « suppression de données » dans l’affaire des violences du 1er mai 2018 à Paris. Toujours sur franceinfo : « Enfin, deux policiers de la préfecture de police de Paris, Maxence Creusat et Laurent Simonin, jugés pour avoir transmis des images de vidéosurveillance à Alexandre Benalla, ont respectivement été condamnés à 500 euros amende et à trois mois de prison avec sursis, sans inscription pour les deux au casier judiciaire. »

    « Tout va bien », pourrait commenter le Président.


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    Jérôme Peyrat
    En septembre 2020, ce conseiller d’Emmanuel Macron quitte son poste élyséen. Et pour cause : il vient d’être condamné pour violences envers son ex-compagne à 3000 euros d’amende avec sursis. Fidèle à l’idée macronnienne de faire des violences faites aux femmes la « grande cause du quinquennat », il sera nommé conseiller politique auprès de Stanislas Guérini, la patron du parti…Par la suite, LREM fera de Jérôme Peyrat sa tête de liste en Dordogne pour les élections régionales.

    Stéphane Trompille
    Lu sur Mediapart en mai 2020 : « Stéphane Trompille a été condamné par le conseil des prud’hommes de Bourg-en-Bresse pour « harcèlement sexuel » envers une ex-collaboratrice. Il va faire appel. Après moult hésitations, son groupe parlementaire lui a demandé de « se mettre en retrait ». » Il doit être jugé en appel en juin 2023.

    Mustapha Laabid
    Le 6 août 2019, le député LREM Mustapha Laabid a été condamné à six mois de prison avec sursis, trois ans d’inéligibilité et 10.000 euros d’amende pour abus de confiance. Il avait utilisé l’argent d’une association qu’il présidait à des fins personnelles. Le montant du préjudice est de 21.930,54 euros. L’élu a fait appel et la cour d’appel de Rennes a renvoyé le procès au 1er avril 2020.

    Claire O’Petit
    L’affaire remonte au mois d’octobre 2017. La députée LREM a été condamnée par la Cour d’appel de Paris pour « des fautes de gestion » lorsqu’elle était la représentante légale de l’Agence de développement et de proximité (ADCP), lit-on dans Le Parisien. Conséquence : elle n’a plus le droit de « diriger, gérer, administrer ou contrôler directement ou indirectement toute entreprise commerciale ou artisanale […] pour une durée de cinq ans ». Une condamnation qui, visiblement, n’a pas perturbé la parlementaire, laquelle s’est félicitée de ne pas avoir été condamnée ni pour détournement, ni pour enrichissement. On l’applaudie bien fort !

    8 mises en examen

    Je l’aime bien celle-ci. Elle a un peu vieilli, mais je l’aime bien.

    — Ellen Salvi (@ellensalvi) October 3, 2022
    François Bayrou et Sylvie Goulard
    Mai 2017. Emmanuel Macron commence tout juste son mandat. Trois membres du MoDem font partie du gouvernement, à des postes majeurs : François Bayrou à la Justice, Marielle de Sarnez aux Affaires européennes et Sylvie Goulard aux Armées. François Bayrou aura tout juste le temps de porter sa « grande » réforme de « moralisation ».

    En juillet 2017, le parquet de Paris ouvre une information judiciaire pour abus de confiance, recel d’abus de confiance et escroqueries concernant des soupçons d’emplois fictifs d’assistants au Parlement européen.

    Les trois démissionneront dès juin 2017.

    Première et éphémère ministre des Armées d’Emmanuel Macron, Sylvie Goulard a été mise en examen le 29 novembre 2019 par la juge chargée de l’enquête sur les emplois présumés fictifs des assistants de députés européens. Le 4 décembre 2019, Marielle de Sarnez est mise en examen pour « détournement de fonds publics ». Le 6 décembre 2019, c’est François Bayrou qui est mis en examen à son tour. « Au total, une douzaine de responsables du Modem ont été mis en examen dans cette affaire », peut-on lire dans Les Échos. Par fair-play, nous n’intégrons dans la Macronie que les capitaines de l’équipe.

    Le 13 janvier 2021, François Bayrou annonce le décès de Marielle de Sarnez.

    Le 31 janvier 2023, le parquet de Paris demande le renvoi du parti et d’une douzaine de ses responsables devant le tribunal correctionnel pour « détournement de fonds publics ».

    Alexis Kohler
    Outre son rôle dans l’affaire Benalla – Alexis Kohler, secrétaire général de l’Élysée, avait eu connaissance des agissements violents dès le mois de mai et n’a rien fait savoir à la justice, à l’instar de l’Intérieur et de l’Élysée – ce très proche d’Emmanuel Macron est embourbé dans une affaire de conflit d’intérêts.

    Alexis Kohler a été directeur financier d’août 2016 à mai 2017 de l’armateur italo-suisse MSC, fondé par des membres de sa famille. Or, depuis 2010, il a aussi représenté l’Agence des participations de l’Etat auprès des Chantiers de l’Atlantique/STX France, dont MSC est client. Il siégeait également au conseil de surveillance du Grand Port maritime du Havre.

    Selon Mediapart, avec cette double (triple !) casquette, Alexis Kohler a ainsi pu conclure en 2011 des contrats entre MSC et le port du Havre. Le beurre, l’argent du beurre et la crémière.

    Anticor a porté plainte pour « prise illégale d’intérêt », « corruption passive » et « trafic d’influence ». Début juin 2018, le parquet national financier (PNF) a ouvert une enquête à l’encontre du secrétaire général de l’Elysée.

    En juin 2020, on apprend via Mediapart que « Emmanuel Macron a écrit au PNF à l’été 2019 pour disculper Alexis Kohler, au lendemain d’un rapport de police l’accablant. À la suite de cette lettre, un second rapport d’enquête a été écrit, aboutissant à des conclusions inverses. Un mois plus tard, l’enquête sera classée sans suite. »

    Rebondissement le 3 octobre 2022, où l’on apprend de franceinfo que « le secrétaire général de l’Élysée, Alexis Kohler, a été mis en examen le 23 septembre dernier pour « prise illégale d’interêts » […] une information confirmée ensuite par le parquet national financier. Alexis Kohler a par ailleurs été placé sous le statut de témoin assisté pour « trafic d’influence ». » Du côté du président de la République, on ne tortille pas : Alexis Kohler est et restera à son poste. Coûte que coûte.

    Le 13 mars 2023, France 2 révèle que deux anciens supérieurs de l’actuel secrétaire général de l’Élysée sont également mis en examen pour « complicité de prise illégale d’intérêts ».

    Thierry Solère
    Au tout début de l’actuelle législature, en juin 2017, le député « constructif » Thierry Solère avait magouillé avec la majorité pour obtenir le poste de questeur (celui qui gère les finances de l’Assemblée nationale), traditionnellement réservé à l’opposition. Depuis, il a rejoint les rangs de LREM et laissé ce poste prestigieux à Eric Ciotti. Mais les magouilles n’ont pas l’air de s’arrêter.

    Début février 2019, le tribunal de grande instance de Nanterre a ouvert une information judiciaire contre le parlementaire pour des soupçons de « fraude fiscale, manquements aux obligations déclaratives à la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique, détournement de fonds publics par dépositaire de l’autorité publique et recel, recel de violation du secret professionnel, trafic d’influence et recel […] abus de biens sociaux et recel, abus de confiance et recel, financement illicite de dépenses électorales, détournement de la finalité de fichiers nominatifs, portant sur une période comprise entre 2005 et 2017 ». Rien que ça.

    Le 11 octobre 2019, Thierry Solère est mis en examen pour fraude fiscale, détournement de fonds publics et trafic d’influence.

    En février 2022, on apprend que Thierry Solère est « mis en examen pour cinq nouvelles infractions ». Voici ce que l’on peut alors lire sur Libération : « L’élu LREM des Hauts-de-Seine, déjà visé par sept mises en examen […] a été mis en examen pour cinq nouvelles infractions. Thierry Solère est notamment soupçonné d’avoir utilisé à des fins personnelles une partie de ses frais de mandat entre 2012 et 2019. Il est mis en examen pour « détournement de fonds publics », « trafic d’influence passif » dans le but de faire « obtenir des marchés » à des sociétés immobilières et à une société de conseil, et pour manquements aux obligations déclaratives à la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique. »

    Éric Dupond-Moretti
    Lu sur franceinfo, le 16 juillet 2021 : « Le garde des Sceaux, Eric Dupond-Moretti, a été mis en examen pour « prise illégale d’intérêts » par les magistrats de la Cour de la justice de la République (CJR) chargés d’enquêter sur de possibles conflits d’intérêts avec ses anciennes activités de pénaliste, ont annoncé ses avocats. […] Dans cette affaire, l’ancien ténor du barreau est soupçonné d’avoir profité de sa fonction de ministre pour régler ses comptes avec des magistrats avec lesquels il avait eu maille à partir quand il était avocat, ce qu’il réfute. »

    Le directeur financier et le trésorier du Modem
    Alors que le parti allié d’Emmanuel Macron est déjà visé par une information judiciaire concernant des soupçons d’emplois fictifs d’assistants au Parlement européen, le 16 novembre 2019, l’étau se resserre. Son directeur financier Alexandre Nardella – « premier responsable du parti centriste à être entendu par les juges d’instruction chargés de l’enquête », peut-on lire dans Le Monde – est mis en examen pour « complicité de détournement de fonds publics » et « recel de détournement de fonds publics ». Quelques jours plus tard, c’est Michel Mercier, ancien ministre de la Justice et trésorier du Modem, qui est mis en examen pour « complicité de détournement de fonds publics ».

    Richard Ferrand
    Au printemps 2017, Richard Ferrand fut, l’espace d’un mois, ministre de la Cohésion des territoires. En juin 2017, le parquet de Brest a ouvert une enquête préliminaire sur son passé à la tête des Mutuelles de Bretagne de 1998 à 2012. Le ministre fut alors remercié et devint président du groupe LREM puis président de l’Assemblée nationale.

    En 2011, Richard Ferrand a favorisé la société immobilière de sa compagne Sandrine Doucen pour l’obtention d’un marché lors de la location d’un local commercial par les Mutuelles de Bretagne.

    Après avoir été classée sans suite en octobre 2017, l’affaire est relancée en janvier 2018 avec l’ouverture par le PNF d’une information judiciaire pour prise illégale d’intérêts. La Cour de Cassation a ordonné en juillet 2018 le dépaysement à Lille de l’information judiciaire ouverte à Paris. Fin septembre 2018, trois juges d’instruction ont été désignés à Lille.

    Le 11 septembre 2019, Richard Ferrand est mis en examen pour prise illégale d’intérêts. Une première pour un président de l’Assemblée.

    13 enquêtes en cours

    Bruno Le Maire
    Le 12 juin 2023, on apprend via l’AFP que le micro-parti « Avec BLM » est visée par la Brigade de répression de la délinquance économique (BRDE) de la police judiciaire parisienne. Le parquet de Paris a ouvert une enquête préliminaire sur le financement de la campagne pour la primaire de la droite de 2016. À cette nouvelle, le ministre de l’Économie s’est dit « surpris ». Tu m’étonnes !

    Marlène Schiappa
    Le 4 mai 2023, on apprend via France Inter que le parquet national financier a ouvert une information judiciaire pour « détournement de fonds publics par négligence », « abus de confiance » et « prise illégale d’intérêts » dans l’affaire du fonds Marianne. Ce fonds de 2,5 millions d’euros, créé par Marlène Schiappa en 2021 suite à l’assassinat de Samuel Paty, était destiné à des associations dans le but de promouvoir les valeurs de la République et de lutter contre le séparatisme. Or, après les révélations de Marianne et de France 2 fin mars 2023, il semblerait que l’argent alloué ait surtout à des proches de la secrétaire d’État, à des fins de propagandes politiques en pleine élection présidentielle.

    Caroline Cayeux
    Lu dans Le Monde, le 29 novembre 2022 : « La Haute Autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP) a annoncé saisir la justice concernant la déclaration de patrimoine de la désormais ex-ministre déléguée aux collectivités territoriales, Caroline Cayeux, suspectant de possibles « évaluation mensongère de son patrimoine » et « fraude fiscale ». » Démissionnaire, la maire LR de Beauvais n’aura été ministre déléguée chargée des Collectivités territoriales que quatre mois.

    Le 7 mars 2023, on apprend dans Le Monde que l’ex-ministre est visée par une enquête préliminaire du parquet de Paris pour « déclaration de patrimoine incomplète ou mensongère auprès de la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique et de blanchiment de fraude fiscale ».

    Damien Abad
    Ministre des Solidarités, de l’Autonomie et des Personnes handicapées du 20 mai au 4 juillet 2022, Damien Abad est l’objet d’une enquête pour tentative de viol depuis le mois de juin 2022. Le 4 juillet, alors qu’une quatrième femme l’accuse de viol, le député sera écarté du gouvernement.

    Chrysoula Zacharopoulou
    Un mois et un jour. Voilà le temps qu’il aura fallu pour qu’un membre du gouvernement Borne soit visé par une plainte. Il s’agit de Chrysoula Zacharopoulou, secrétaire d’État chargée du Développement, de la Francophonie et des Partenariats internationaux. Voilà ce qu’on apprend sur marianne.net en juin 2022 : « Chrysoula Zacharopoulou […] fait l’objet de deux plaintes pour viol. Les faits reprochés auraient été commis dans le cadre de ses fonctions de gynécologue. Une enquête a été ouverte par le parquet de Paris. »

    Nathalie Elimas
    En janvier 2022, alors secrétaire d’État chargée de l’Éducation prioritaire, Nathalie Elimas est visée par une enquête administrative sur des accusations de harcèlement et de maltraitance au sein de son cabinet. « Une demi-douzaine de personnes en seraient victimes », lit-on dans Le Monde. Nathalie Elimas quitte le gouvernement en mars 2022.

    Sébastien Lecornu
    C’est ainsi que la Macronie fait sa rentrée en 2021 : une enquête préliminaire pour une éventuelle prise illégale d’intérêts est en cours au Parquet national financier (PNF) à l’encontre du ministre des Outre-Mer. On apprend la nouvelle via Libération. Le quotidien précise : « Les faits remontent à l’époque où il cumulait les fonctions de président du conseil départemental de l’Eure et un poste d’administrateur de la Société des autoroutes Paris-Normandie ».

    Olivier Dussopt
    11 juin 2020, Mediapart révèle que « le parquet national financier a ouvert une enquête préliminaire pour « corruption » et « prise illégale d’intérêts » […] Le secrétaire d’État s’était fait offrir en 2017 des œuvres d’art par un dirigeant de la Saur, en affaires avec la municipalité qu’il dirigeait alors. » L’ancien socialiste sera perquisitionné le 18 août 2020.

    Le 4 février 2023, on lit sur Mediapart : « le ministre du travail, en première ligne politique et médiatique avec la réforme des retraites, a reçu ces derniers jours un rapport d’enquête accablant du Parquet national financier (PNF), qui le soupçonne d’un délit de favoritisme sur un marché truqué avec l’un des géants français de l’eau, le groupe Saur. »

    Le « dircab » de Richard Ferrand
    Le 24 octobre 2019, on lit sur Le Point que le Parquet national financier a ouvert une enquête à l’encontre du directeur de cabinet de Richard Ferrand, Jean-Marie Girier (qui fut aussi directeur de la campagne d’Emmanuel Macron). Il aurait travaillé à une stratégie pour « siphonner les élus du Parti socialiste et créer un « Agir » de gauche ».

    Jean-Jacques Bridey
    Le 27 septembre 2018, Mediapart publie un article sur ce député LREM. Jean-Jacques Bridey, un des premiers « marcheurs », actuel président de la commission de la défense à l’Assemblée nationale, est « visé par une enquête préliminaire pour concussion », peut-on lire.

    Concrètement, Jean-Jacques Bridey est soupçonné d’avoir dépassé les plafonds d’indemnités concernant le cumul de mandats. Coût de l’opération : 100.000 euros.

    En septembre 2019, Le Monde révèle qu’une autre enquête est ouverte par le Parquet national financier à l’encontre de Jean-Jacques Bridey. Cette fois-ci, le député est soupçonné de « détournement de fonds publics, liés à un usage illicite de ses indemnités représentatives de frais de mandat (IRFM) de député, lors de la précédente législature », peut-on lire dans le quotidien du soir. Plus tôt en septembre, Mediapart assurait que Jean-Jacques Bridey se faisait également rembourser deux fois ses notes de frais, des frais de bouche exorbitants alors qu’il était maire de Fresnes.

    Laura Flessel
    Le 4 septembre, quelques heures avant le remaniement post-Hulot, la ministre des Sports Laura Flessel annonce sa démission pour des « raisons personnelles ». Il n’aura pas fallu 24 heures pour que Mediapart révèle ces « raisons » : « Le fisc a récemment saisi la Commission des infractions fiscales (CIF) de Bercy, en vue d’une possible plainte pénale pour fraude, après avoir découvert des manquements déclaratifs de la ministre concernant une société de droit à l’image », peut-on lire. Plusieurs dizaines de milliers d’euros d’impôt seraient en jeu.

    À peine nommée, la nouvelle ministre des Sports, Roxana Maracineanu, est épinglée dans la presse parce que, depuis 2012, elle occupe un logement social.

    Françoise Nyssen
    Avant d’être nommée ministre de la Culture, Françoise Nyssen dirigeait la maison d’édition Actes Sud. C’est à la tête de cette dernière qu’elle s’est permis quelques écarts avec les règles élémentaires d’urbanisme. En 1997, lors de l’agrandissement des locaux parisiens – un immeuble classé – , Françoise Nyssen avait fait réaliser les travaux « sans autorisation », ni « déclaration au fisc », écrit Le Canard enchaîné. Le journal satirique révèle également d’autres « irrégularités » dans des travaux au siège d’Actes Sud, dans le centre classé d’Arles, effectués en 2011. Une « négligence », tente d’expliquer la ministre.

    Le parquet de Paris a ouvert jeudi 23 août une enquête préliminaire.

    Le 16 octobre 2018, à l’occasion du remaniement post-démissions de Nicolas Hulot et de Gérard Collomb, Françoise Nyssen n’est pas reconduite à la Culture.

    Muriel Pénicaud
    22 mai 2018, la ministre du Travail est entendue comme témoin assisté par le pôle financier du Tribunal de Paris. La justice enquête sur le rôle de Business France – société qui eut pour directrice générale Muriel Pénicaud – dans l’organisation d’une soirée à Las Vegas en janvier 2016 pour le candidat Macron.

    Une information judiciaire a été ouverte pour des soupçons de favoritisme en juillet 2017, mois au cours duquel Muriel Pénicaud a déclaré qu’elle n’avait « rien à se reprocher ».

    Deux affaires classées sans suite

    Gérald Darmanin
    Fin 2017, le ministre des Comptes publics est accusé de viol et d’abus de faiblesse par deux femmes. En février et mai 2018, les affaires sont classées sans suite.

    Le 31 août 2018, Gérald Darmanin a obtenu un non-lieu définitif pour une de ces affaires, au motif que « le défaut de consentement ne suffit pas à caractériser le viol. Encore faut-il que le mis en cause ait eu conscience d’imposer un acte sexuel par violence, menace, contrainte ou surprise », a expliqué le juge. La plaignante a fait appel. L’avocat du ministre a, quant à lui, annoncé l’intention de ce dernier de porter plainte pour « dénonciation calomnieuse ».

    Mi-novembre 2019, on apprend via l’AFP que la justice va réexaminer le non-lieu dont a bénéficié Gérald Darmanin. Le 11 juin 2020, on lit dans Le Monde que « la cour d’appel de Paris a en effet ordonné la reprise des investigations visant le ministre concernant une accusation de viol, harcèlement sexuel et abus de confiance ». Le 14 décembre 2020, il a été entendu par les juges qui l’ont placé sous le statut de témoin assisté.

    Le 13 septembre 2021, la juge d’instruction en charge de l’enquête prononce la fin des investigations, sans mettre en examen le ministre de l’Intérieur, nous apprend l’AFP. Le non-lieu est ordonné le 11 juillet 2022.

    En parallèle, les accusations de « trafic d’influence » ont été classées sans suite.

    Nicolas Hulot
    En 2008, une plainte pour viol a été déposée à l’encontre de Nicolas Hulot. Plainte classée sans suite la même année, mais dévoilée en 2018 par le journal Ebdo.

    Bonus

    Agnès Buzyn
    La ministre de la Santé a frôlé le conflit d’intérêts, ce dont son secteur d’activité n’a pas besoin pour être au centre de moultes théories du complot.

    À peine nommée, elle s’est vu privée de la tutelle sur l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm), car celui-ci est dirigé par son mari, Yves Lévy, depuis juin 2014. Visiblement peu perturbé par la perspective d’un conflit d’intérêts, ce dernier laissait planer le doute, encore en juin dernier, qu’il pourrait briguer un nouveau mandat à la tête de l’institut.

    Il aura fallu attendre juillet 2018 et l’indignation de la communauté scientifique pour qu’Yves Lévy abandonne l’idée.

    Le 10 octobre, Yves Lévy a été nommé « conseiller d’Etat en service extraordinaire ». Ou comment un médecin devient expert en droit public auprès du gouvernement.

    Loïc Le Clerc

    https://regards.fr/six-ans-en-macronie/
    Six ans en Macronie : 18 condamnations, 8 mises en examen et 13 enquêtes en cours 10 juillet 2023 | Loïc Le Clerc | Justice - On vous aurait bien fait un top 10 des macronistes confrontés à la justice, mais ils sont déjà une trentaine… Il voulait introduire de la « moralisation » dans la vie publique, il promettait une « République exemplaire ». Au final, la « grande » loi portée par le Garde des Sceaux François Bayrou n’aura été qu’une réponse à l’affaire Fillon. Un fait divers, une loi. La suite de la « morale » macronienne, on la connaît. À se croire dans l’Ancien Monde. Déjà six ans qu’Emmanuel Macron est Président et la liste des déboires de la Macronie ne cesse de s’allonger. 18 condamnations Laetitia Avia Depuis l’été 2020, la députée-vice-présidente-du-bureau-exécutif-porte-parole de LREM est visée par une enquête pour « harcèlement moral ». Cinq de ses anciens assistants parlementaires l’accusent, dans un article publié par Mediapart, d’humiliations, harcèlements et abus de pouvoir. Le 5 juillet 2023, la désormais ex-députée a été condamnée à six mois de prison avec sursis et deux ans d’inéligibilité pour harcèlement moral. Anne-Christine Lang Le 9 mai 2023, l’ex-députée LREM Anne-Christine Lang a été condamnée à 3 ans d’inéligibilité et 60 000€ d’amende pour détournement de fonds publics, apprend-on dans Le Monde. On lit : « Mme Lang a reconnu avoir utilisé une partie de son indemnité représentative de frais de mandat (IRFM) à des fins personnelles. Des « dépenses non conformes » à hauteur de 44 650 euros, comme l’a rappelé le président du tribunal, citant comme exemple des consultations médicales, l’achat de jouets et de vêtements pour enfants, le paiement de cotisations à un parti politique ou encore des chèques en faveur de personnes ou de sociétés « sans lien avec le mandat de député ». » François Pupponi Ancien maire de Sarcelles et député MoDem, François Pupponi a été condamné à 5000 euros d’amende et 29 000 euros de dommages et intérêts, en janvier 2022, pour abus de biens sociaux et faux et usage de faux par le tribunal correctionnel de Pontoise. L’élu a fait appel de cette décision, lit-on sur Mediapart. Alain Griset Ministre délégué auprès du ministre de l’Économie, des Finances et de la Relance, chargé des Petites et Moyennes Entreprises, Alain Griset n’est peut-être pas le plus médiatique des membres du gouvernement, mais il est plutôt bien connu de la justice. Ainsi lit-on sur Le Monde ce mercredi 8 décembre 2021 qu’il a été « condamné à six mois de prison avec sursis et trois ans d’inéligibilité avec sursis pour déclaration incomplète de son patrimoine ». Une « maladresse » qui s’élève à 171.000 euros. Sitôt condamné, Alain Griset a fait appel de cette décision et démissionné du gouvernement. En appel, l’ex-ministre a été condamné à quatre mois de prison avec sursis. Sira Sylla Harcèlement moral, non-paiement d’heures supplémentaires et de journées de repos, manquement à l’obligation de sécurité. Voilà le beau palmarès de Sira Sylla, députée LREM de 2017 à 2022. Le 6 septembre 2022, elle a été reconnue coupable de ces faits par le conseil des prud’hommes de Rouen. Ainsi lit-on sur le site de France 3 Normandie : « L’ancienne parlementaire investie par la majorité devra verser un total de près de 80.000€ à la victime dont près de 20.000€ d’heures supplémentaires impayées, 20.000€ pour les faits de harcèlement moral et près de 21.000€ de dommages et intérêts pour le licenciement. » Au moins trois de ses anciens assistants parlementaires avaient saisi la justice. À l’époque, Bruno Roger-Petit, conseiller d’Emmanuel Macron, avait publiquement exprimé sa solidarité envers Sira Sylla. Sur Mediapart, on apprenait alors qu’un de ses collaborateurs avait ainsi « été « forcé à ne pas respecter le couvre-feu » pour lui apporter du champagne, tandis qu’un autre salarié a expliqué qu’avant son licenciement, la députée lui avait souhaité par téléphone « une bonne mort » à son grand-père, alors hospitalisé. » Jacques Krabal Député de 2012 à 2022, d’abord sous l’étiquette du PRG puis celle de LREM, Jacques Krabal a été condamné en novembre 2021 par la cour d’appel de Paris à la suite d’une plainte pour travail dissimulé et harcèlement moral de son ancien directeur de cabinet. Pierre Cabaré En septembre 2021, le député LREM est condamné aux prud’hommes pour « licenciement sans cause réelle et sérieuse » d’un collaborateur, informe Le Monde. De plus, en septembre 2019, France 3 dévoile que Pierre Cabaré fait l’objet d’une enquête préliminaire du service régional de police judiciaire de Toulouse pour harcèlement sexuel et moral. La plaignante, sa suppléante et assistante parlementaire, a également porté plainte pour agression sexuelle. Pierre Cabaré est depuis longtemps connu des services : en 2003, il avait été condamné à un an d’inéligibilité par le Conseil constitutionnel pour la gestion de son compte de campagne lorsqu’il était candidat divers droite aux législatives de 2002. Sandrine Josso En février 2021, la députée Sandrine Josso MoDem a été condamnée à un an d’inéligibilité pour n’avoir pas présenté ses comptes de campagne de l’élection municipale dans les temps. Une peine qui ne l’empêchait pas d’être candidate à sa réélection en 2022. Parallèlement, le 10 octobre 2021, Mediapart publiait l’information suivante : « En 2018, la députée de Loire-Atlantique Sandrine Josso a demandé à son assistante de lui prêter 10 000 euros en contractant un crédit à la consommation. Elle ne l’a pas remboursée. La justice a ouvert une enquête pour « abus de confiance ». » Benoit Simian Ce député membre du groupe Libertés et Territoires à l’Assemblée (mais élu LREM) fait l’objet d’une enquête « pour harcèlement moral par conjoint […] dans le cadre d’une « séparation houleuse » assortie de « plaintes croisées » pour violences », lit-on dans Sud Ouest. Déjà interdit d’approcher du domicile conjugal, une demande de levée d’immunité a été formulée auprès du bureau de l’Assemblée, lequel, début décembre 2020, l’a… rejetée. En juin 2022, Benoît Simian est condamné à huit mois de prison avec sursis. Il doit également verser 5000 euros à son ex-compagne et a interdiction de s’approcher d’elle pendant un an. Toutefois, il échappe à une peine d’inéligibilité. À noter que l’imminence de cette condamnation ne l’avait pas empêché d’être candidat à sa réélection aux législatives. Benoît Simian fait parallèlement l’objet d’une enquête judiciaire pour harcèlement à l’encontre d’une collaboratrice. M’Jid El Guerrab Le 31 août 2017, M’Jid El Guerrab, alors député LREM, frappe violemment à coups de casque Boris Faure, un cadre du PS. Deux coups qui causeront un traumatisme crânien au socialiste. Pour sa défense, il accuse Boris Faure d’« insultes racistes ». Depuis, M’Jid El Guerrab a exclu du groupe LREM à l’Assemblée nationale. Il a aussi été mis en examen pour violences volontaires avec arme. Le 12 mai 2022, Boris Faure tweete : « Mon agresseur est reconnu coupable pleinement. 3 ans de prison dont 2 avec sursis et 2 ans d’inéligibilité. » Jean-Paul Delevoye Lu dans Le Parisien, le 2 décembre 2021 : « L’ancien haut-commissaire aux retraites a écopé de quatre mois de prison avec sursis et 15.000 euros d’amende pour ne pas avoir déclaré plusieurs mandats à la Haute autorité pour la transparence de la vie publique. » Stéphanie Kerbarh Députée LREM lors du premier mandat d’Emmanuel Macron, Stéphanie Kerbarh a été condamnée en décembre 2019 par le conseil des prud’hommes du Havre pour un licenciement sans cause réelle et sérieuse de son assistant Alexandre Benalla et Vincent Crase Faut-il encore présenter le feuilleton de l’été ? Alors qu’Emmanuel Macron profitait de sa piscine à 34.000 euros à Brégançon, une vidéo montrant son homme de main élyséen molestant des manifestants le 1er-Mai venait assombrir le ciel estival macroniste. Alexandre Benalla n’est pas seulement un barbouze. Il intervient comme bon lui semble, en marge des manifestations, brassard « police » autour du bras. La loi, c’est lui. Le jeune homme de 26 ans dispose aussi d’une voiture (avec chauffeur) équipée de gyrophares, d’un badge lui permettant de se rendre dans l’hémicycle de l’Assemblée nationale et et de porter des armes à feu. À ce propos, ces armes étaient conservées dans un coffre-fort au domicile de Benalla. Depuis que la justice s’est saisie de l’affaire, le coffre-fort a disparu. Le 5 novembre, une information judiciaire a été ouverte contre X (coucou Alexandre Benalla) par le parquet de Paris pour « soustraction de documents ou objets concernant un crime ou un délit en vue de faire obstacle à la manifestation de la vérité ». Pour la première fois du quinquennat, Emmanuel Macron est pris de court. Sa communication s’avère catastrophique. Lui et ses sbires accusent les journalistes de ne pas chercher la « vérité ». Même les plus conservateurs des syndicats de police s’offusqueront de voir Benalla invité du JT de TF1. Eux n’ont pas droit à autant de considération. L’Assemblée et le Sénat tenteront de jouer leur rôle de contre-pouvoir face à un super-Président. Le Palais-Bourbon, aux mains de LREM, abdiquera rapidement, se félicitant d’avoir fait la lumière sur cette affaire, alors que le ministre de l’Intérieur, le préfet de police ou encore Patrick Strzoda, directeur de cabinet du président de la République, ont menti sous serment. Un scandale d’Etat que les marcheurs qualifieront de « tempête dans un verre d’eau ». L’Elysée aurait mis à pied Benalla 15 jours, après le 1er mai, avant de le licencier une fois l’affaire rendue public. Un « fait-divers » qui poussera Macron à réorganiser l’Elysée. Alexandre Benalla a été mis en examen le 22 juillet pour violences volontaires, immixtion dans l’exercice d’une fonction publique, port public et sans droit d’insignes réglementés, recel de détournement d’images issues d’un système de vidéo-protection et recel de violation du secret professionnel. Vincent Crase, un gendarme réserviste salarié du parti LREM, a lui aussi été mis en examen pour les mêmes faits. De plus, Mediapart révèle que Ismaël Emelien, conseiller spécial d’Emmanuel Macron, devrait se voir lui aussi inquiété dans cette affaire. Il est accusé d’avoir détenu le CD montrant les images volées de la vidéosurveillance des violences du 1er mai. Le 29 novembre 2018, Alexandre Benalla a également été mis en examen pour violences volontaires, des faits commis au Jardin des plantes, toujours le 1er mai. De plus, une enquête préliminaire a été ouverte à son encontre pour la non-restitution de deux passeports diplomatiques qu’il a continué à utiliser malgré son licenciement de l’Élysée. Le 5 novembre 2021, Alexandre Benalla a été condamné à trois ans de prison, dont un an ferme. Et, comme on peut le lire sur franceinfo, « l’ancien collaborateur de l’Élysée n’ira toutefois pas en prison. S’il ne fait pas appel, il devra porter un bracelet électronique en Normandie, au domicile de sa mère. » En parallèle, Vincent Crase a été condamné à deux ans d’emprisonnement avec sursis, 500 euros d’amende, l’interdiction de port d’arme de dix ans et la confiscation de celles qui détient pour notamment « violence en réunion », « port d’arme prohibé » et « suppression de données » dans l’affaire des violences du 1er mai 2018 à Paris. Toujours sur franceinfo : « Enfin, deux policiers de la préfecture de police de Paris, Maxence Creusat et Laurent Simonin, jugés pour avoir transmis des images de vidéosurveillance à Alexandre Benalla, ont respectivement été condamnés à 500 euros amende et à trois mois de prison avec sursis, sans inscription pour les deux au casier judiciaire. » « Tout va bien », pourrait commenter le Président. via GIPHY Jérôme Peyrat En septembre 2020, ce conseiller d’Emmanuel Macron quitte son poste élyséen. Et pour cause : il vient d’être condamné pour violences envers son ex-compagne à 3000 euros d’amende avec sursis. Fidèle à l’idée macronnienne de faire des violences faites aux femmes la « grande cause du quinquennat », il sera nommé conseiller politique auprès de Stanislas Guérini, la patron du parti…Par la suite, LREM fera de Jérôme Peyrat sa tête de liste en Dordogne pour les élections régionales. Stéphane Trompille Lu sur Mediapart en mai 2020 : « Stéphane Trompille a été condamné par le conseil des prud’hommes de Bourg-en-Bresse pour « harcèlement sexuel » envers une ex-collaboratrice. Il va faire appel. Après moult hésitations, son groupe parlementaire lui a demandé de « se mettre en retrait ». » Il doit être jugé en appel en juin 2023. Mustapha Laabid Le 6 août 2019, le député LREM Mustapha Laabid a été condamné à six mois de prison avec sursis, trois ans d’inéligibilité et 10.000 euros d’amende pour abus de confiance. Il avait utilisé l’argent d’une association qu’il présidait à des fins personnelles. Le montant du préjudice est de 21.930,54 euros. L’élu a fait appel et la cour d’appel de Rennes a renvoyé le procès au 1er avril 2020. Claire O’Petit L’affaire remonte au mois d’octobre 2017. La députée LREM a été condamnée par la Cour d’appel de Paris pour « des fautes de gestion » lorsqu’elle était la représentante légale de l’Agence de développement et de proximité (ADCP), lit-on dans Le Parisien. Conséquence : elle n’a plus le droit de « diriger, gérer, administrer ou contrôler directement ou indirectement toute entreprise commerciale ou artisanale […] pour une durée de cinq ans ». Une condamnation qui, visiblement, n’a pas perturbé la parlementaire, laquelle s’est félicitée de ne pas avoir été condamnée ni pour détournement, ni pour enrichissement. On l’applaudie bien fort ! 8 mises en examen Je l’aime bien celle-ci. Elle a un peu vieilli, mais je l’aime bien. — Ellen Salvi (@ellensalvi) October 3, 2022 François Bayrou et Sylvie Goulard Mai 2017. Emmanuel Macron commence tout juste son mandat. Trois membres du MoDem font partie du gouvernement, à des postes majeurs : François Bayrou à la Justice, Marielle de Sarnez aux Affaires européennes et Sylvie Goulard aux Armées. François Bayrou aura tout juste le temps de porter sa « grande » réforme de « moralisation ». En juillet 2017, le parquet de Paris ouvre une information judiciaire pour abus de confiance, recel d’abus de confiance et escroqueries concernant des soupçons d’emplois fictifs d’assistants au Parlement européen. Les trois démissionneront dès juin 2017. Première et éphémère ministre des Armées d’Emmanuel Macron, Sylvie Goulard a été mise en examen le 29 novembre 2019 par la juge chargée de l’enquête sur les emplois présumés fictifs des assistants de députés européens. Le 4 décembre 2019, Marielle de Sarnez est mise en examen pour « détournement de fonds publics ». Le 6 décembre 2019, c’est François Bayrou qui est mis en examen à son tour. « Au total, une douzaine de responsables du Modem ont été mis en examen dans cette affaire », peut-on lire dans Les Échos. Par fair-play, nous n’intégrons dans la Macronie que les capitaines de l’équipe. Le 13 janvier 2021, François Bayrou annonce le décès de Marielle de Sarnez. Le 31 janvier 2023, le parquet de Paris demande le renvoi du parti et d’une douzaine de ses responsables devant le tribunal correctionnel pour « détournement de fonds publics ». Alexis Kohler Outre son rôle dans l’affaire Benalla – Alexis Kohler, secrétaire général de l’Élysée, avait eu connaissance des agissements violents dès le mois de mai et n’a rien fait savoir à la justice, à l’instar de l’Intérieur et de l’Élysée – ce très proche d’Emmanuel Macron est embourbé dans une affaire de conflit d’intérêts. Alexis Kohler a été directeur financier d’août 2016 à mai 2017 de l’armateur italo-suisse MSC, fondé par des membres de sa famille. Or, depuis 2010, il a aussi représenté l’Agence des participations de l’Etat auprès des Chantiers de l’Atlantique/STX France, dont MSC est client. Il siégeait également au conseil de surveillance du Grand Port maritime du Havre. Selon Mediapart, avec cette double (triple !) casquette, Alexis Kohler a ainsi pu conclure en 2011 des contrats entre MSC et le port du Havre. Le beurre, l’argent du beurre et la crémière. Anticor a porté plainte pour « prise illégale d’intérêt », « corruption passive » et « trafic d’influence ». Début juin 2018, le parquet national financier (PNF) a ouvert une enquête à l’encontre du secrétaire général de l’Elysée. En juin 2020, on apprend via Mediapart que « Emmanuel Macron a écrit au PNF à l’été 2019 pour disculper Alexis Kohler, au lendemain d’un rapport de police l’accablant. À la suite de cette lettre, un second rapport d’enquête a été écrit, aboutissant à des conclusions inverses. Un mois plus tard, l’enquête sera classée sans suite. » Rebondissement le 3 octobre 2022, où l’on apprend de franceinfo que « le secrétaire général de l’Élysée, Alexis Kohler, a été mis en examen le 23 septembre dernier pour « prise illégale d’interêts » […] une information confirmée ensuite par le parquet national financier. Alexis Kohler a par ailleurs été placé sous le statut de témoin assisté pour « trafic d’influence ». » Du côté du président de la République, on ne tortille pas : Alexis Kohler est et restera à son poste. Coûte que coûte. Le 13 mars 2023, France 2 révèle que deux anciens supérieurs de l’actuel secrétaire général de l’Élysée sont également mis en examen pour « complicité de prise illégale d’intérêts ». Thierry Solère Au tout début de l’actuelle législature, en juin 2017, le député « constructif » Thierry Solère avait magouillé avec la majorité pour obtenir le poste de questeur (celui qui gère les finances de l’Assemblée nationale), traditionnellement réservé à l’opposition. Depuis, il a rejoint les rangs de LREM et laissé ce poste prestigieux à Eric Ciotti. Mais les magouilles n’ont pas l’air de s’arrêter. Début février 2019, le tribunal de grande instance de Nanterre a ouvert une information judiciaire contre le parlementaire pour des soupçons de « fraude fiscale, manquements aux obligations déclaratives à la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique, détournement de fonds publics par dépositaire de l’autorité publique et recel, recel de violation du secret professionnel, trafic d’influence et recel […] abus de biens sociaux et recel, abus de confiance et recel, financement illicite de dépenses électorales, détournement de la finalité de fichiers nominatifs, portant sur une période comprise entre 2005 et 2017 ». Rien que ça. Le 11 octobre 2019, Thierry Solère est mis en examen pour fraude fiscale, détournement de fonds publics et trafic d’influence. En février 2022, on apprend que Thierry Solère est « mis en examen pour cinq nouvelles infractions ». Voici ce que l’on peut alors lire sur Libération : « L’élu LREM des Hauts-de-Seine, déjà visé par sept mises en examen […] a été mis en examen pour cinq nouvelles infractions. Thierry Solère est notamment soupçonné d’avoir utilisé à des fins personnelles une partie de ses frais de mandat entre 2012 et 2019. Il est mis en examen pour « détournement de fonds publics », « trafic d’influence passif » dans le but de faire « obtenir des marchés » à des sociétés immobilières et à une société de conseil, et pour manquements aux obligations déclaratives à la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique. » Éric Dupond-Moretti Lu sur franceinfo, le 16 juillet 2021 : « Le garde des Sceaux, Eric Dupond-Moretti, a été mis en examen pour « prise illégale d’intérêts » par les magistrats de la Cour de la justice de la République (CJR) chargés d’enquêter sur de possibles conflits d’intérêts avec ses anciennes activités de pénaliste, ont annoncé ses avocats. […] Dans cette affaire, l’ancien ténor du barreau est soupçonné d’avoir profité de sa fonction de ministre pour régler ses comptes avec des magistrats avec lesquels il avait eu maille à partir quand il était avocat, ce qu’il réfute. » Le directeur financier et le trésorier du Modem Alors que le parti allié d’Emmanuel Macron est déjà visé par une information judiciaire concernant des soupçons d’emplois fictifs d’assistants au Parlement européen, le 16 novembre 2019, l’étau se resserre. Son directeur financier Alexandre Nardella – « premier responsable du parti centriste à être entendu par les juges d’instruction chargés de l’enquête », peut-on lire dans Le Monde – est mis en examen pour « complicité de détournement de fonds publics » et « recel de détournement de fonds publics ». Quelques jours plus tard, c’est Michel Mercier, ancien ministre de la Justice et trésorier du Modem, qui est mis en examen pour « complicité de détournement de fonds publics ». Richard Ferrand Au printemps 2017, Richard Ferrand fut, l’espace d’un mois, ministre de la Cohésion des territoires. En juin 2017, le parquet de Brest a ouvert une enquête préliminaire sur son passé à la tête des Mutuelles de Bretagne de 1998 à 2012. Le ministre fut alors remercié et devint président du groupe LREM puis président de l’Assemblée nationale. En 2011, Richard Ferrand a favorisé la société immobilière de sa compagne Sandrine Doucen pour l’obtention d’un marché lors de la location d’un local commercial par les Mutuelles de Bretagne. Après avoir été classée sans suite en octobre 2017, l’affaire est relancée en janvier 2018 avec l’ouverture par le PNF d’une information judiciaire pour prise illégale d’intérêts. La Cour de Cassation a ordonné en juillet 2018 le dépaysement à Lille de l’information judiciaire ouverte à Paris. Fin septembre 2018, trois juges d’instruction ont été désignés à Lille. Le 11 septembre 2019, Richard Ferrand est mis en examen pour prise illégale d’intérêts. Une première pour un président de l’Assemblée. 13 enquêtes en cours Bruno Le Maire Le 12 juin 2023, on apprend via l’AFP que le micro-parti « Avec BLM » est visée par la Brigade de répression de la délinquance économique (BRDE) de la police judiciaire parisienne. Le parquet de Paris a ouvert une enquête préliminaire sur le financement de la campagne pour la primaire de la droite de 2016. À cette nouvelle, le ministre de l’Économie s’est dit « surpris ». Tu m’étonnes ! Marlène Schiappa Le 4 mai 2023, on apprend via France Inter que le parquet national financier a ouvert une information judiciaire pour « détournement de fonds publics par négligence », « abus de confiance » et « prise illégale d’intérêts » dans l’affaire du fonds Marianne. Ce fonds de 2,5 millions d’euros, créé par Marlène Schiappa en 2021 suite à l’assassinat de Samuel Paty, était destiné à des associations dans le but de promouvoir les valeurs de la République et de lutter contre le séparatisme. Or, après les révélations de Marianne et de France 2 fin mars 2023, il semblerait que l’argent alloué ait surtout à des proches de la secrétaire d’État, à des fins de propagandes politiques en pleine élection présidentielle. Caroline Cayeux Lu dans Le Monde, le 29 novembre 2022 : « La Haute Autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP) a annoncé saisir la justice concernant la déclaration de patrimoine de la désormais ex-ministre déléguée aux collectivités territoriales, Caroline Cayeux, suspectant de possibles « évaluation mensongère de son patrimoine » et « fraude fiscale ». » Démissionnaire, la maire LR de Beauvais n’aura été ministre déléguée chargée des Collectivités territoriales que quatre mois. Le 7 mars 2023, on apprend dans Le Monde que l’ex-ministre est visée par une enquête préliminaire du parquet de Paris pour « déclaration de patrimoine incomplète ou mensongère auprès de la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique et de blanchiment de fraude fiscale ». Damien Abad Ministre des Solidarités, de l’Autonomie et des Personnes handicapées du 20 mai au 4 juillet 2022, Damien Abad est l’objet d’une enquête pour tentative de viol depuis le mois de juin 2022. Le 4 juillet, alors qu’une quatrième femme l’accuse de viol, le député sera écarté du gouvernement. Chrysoula Zacharopoulou Un mois et un jour. Voilà le temps qu’il aura fallu pour qu’un membre du gouvernement Borne soit visé par une plainte. Il s’agit de Chrysoula Zacharopoulou, secrétaire d’État chargée du Développement, de la Francophonie et des Partenariats internationaux. Voilà ce qu’on apprend sur marianne.net en juin 2022 : « Chrysoula Zacharopoulou […] fait l’objet de deux plaintes pour viol. Les faits reprochés auraient été commis dans le cadre de ses fonctions de gynécologue. Une enquête a été ouverte par le parquet de Paris. » Nathalie Elimas En janvier 2022, alors secrétaire d’État chargée de l’Éducation prioritaire, Nathalie Elimas est visée par une enquête administrative sur des accusations de harcèlement et de maltraitance au sein de son cabinet. « Une demi-douzaine de personnes en seraient victimes », lit-on dans Le Monde. Nathalie Elimas quitte le gouvernement en mars 2022. Sébastien Lecornu C’est ainsi que la Macronie fait sa rentrée en 2021 : une enquête préliminaire pour une éventuelle prise illégale d’intérêts est en cours au Parquet national financier (PNF) à l’encontre du ministre des Outre-Mer. On apprend la nouvelle via Libération. Le quotidien précise : « Les faits remontent à l’époque où il cumulait les fonctions de président du conseil départemental de l’Eure et un poste d’administrateur de la Société des autoroutes Paris-Normandie ». Olivier Dussopt 11 juin 2020, Mediapart révèle que « le parquet national financier a ouvert une enquête préliminaire pour « corruption » et « prise illégale d’intérêts » […] Le secrétaire d’État s’était fait offrir en 2017 des œuvres d’art par un dirigeant de la Saur, en affaires avec la municipalité qu’il dirigeait alors. » L’ancien socialiste sera perquisitionné le 18 août 2020. Le 4 février 2023, on lit sur Mediapart : « le ministre du travail, en première ligne politique et médiatique avec la réforme des retraites, a reçu ces derniers jours un rapport d’enquête accablant du Parquet national financier (PNF), qui le soupçonne d’un délit de favoritisme sur un marché truqué avec l’un des géants français de l’eau, le groupe Saur. » Le « dircab » de Richard Ferrand Le 24 octobre 2019, on lit sur Le Point que le Parquet national financier a ouvert une enquête à l’encontre du directeur de cabinet de Richard Ferrand, Jean-Marie Girier (qui fut aussi directeur de la campagne d’Emmanuel Macron). Il aurait travaillé à une stratégie pour « siphonner les élus du Parti socialiste et créer un « Agir » de gauche ». Jean-Jacques Bridey Le 27 septembre 2018, Mediapart publie un article sur ce député LREM. Jean-Jacques Bridey, un des premiers « marcheurs », actuel président de la commission de la défense à l’Assemblée nationale, est « visé par une enquête préliminaire pour concussion », peut-on lire. Concrètement, Jean-Jacques Bridey est soupçonné d’avoir dépassé les plafonds d’indemnités concernant le cumul de mandats. Coût de l’opération : 100.000 euros. En septembre 2019, Le Monde révèle qu’une autre enquête est ouverte par le Parquet national financier à l’encontre de Jean-Jacques Bridey. Cette fois-ci, le député est soupçonné de « détournement de fonds publics, liés à un usage illicite de ses indemnités représentatives de frais de mandat (IRFM) de député, lors de la précédente législature », peut-on lire dans le quotidien du soir. Plus tôt en septembre, Mediapart assurait que Jean-Jacques Bridey se faisait également rembourser deux fois ses notes de frais, des frais de bouche exorbitants alors qu’il était maire de Fresnes. Laura Flessel Le 4 septembre, quelques heures avant le remaniement post-Hulot, la ministre des Sports Laura Flessel annonce sa démission pour des « raisons personnelles ». Il n’aura pas fallu 24 heures pour que Mediapart révèle ces « raisons » : « Le fisc a récemment saisi la Commission des infractions fiscales (CIF) de Bercy, en vue d’une possible plainte pénale pour fraude, après avoir découvert des manquements déclaratifs de la ministre concernant une société de droit à l’image », peut-on lire. Plusieurs dizaines de milliers d’euros d’impôt seraient en jeu. À peine nommée, la nouvelle ministre des Sports, Roxana Maracineanu, est épinglée dans la presse parce que, depuis 2012, elle occupe un logement social. Françoise Nyssen Avant d’être nommée ministre de la Culture, Françoise Nyssen dirigeait la maison d’édition Actes Sud. C’est à la tête de cette dernière qu’elle s’est permis quelques écarts avec les règles élémentaires d’urbanisme. En 1997, lors de l’agrandissement des locaux parisiens – un immeuble classé – , Françoise Nyssen avait fait réaliser les travaux « sans autorisation », ni « déclaration au fisc », écrit Le Canard enchaîné. Le journal satirique révèle également d’autres « irrégularités » dans des travaux au siège d’Actes Sud, dans le centre classé d’Arles, effectués en 2011. Une « négligence », tente d’expliquer la ministre. Le parquet de Paris a ouvert jeudi 23 août une enquête préliminaire. Le 16 octobre 2018, à l’occasion du remaniement post-démissions de Nicolas Hulot et de Gérard Collomb, Françoise Nyssen n’est pas reconduite à la Culture. Muriel Pénicaud 22 mai 2018, la ministre du Travail est entendue comme témoin assisté par le pôle financier du Tribunal de Paris. La justice enquête sur le rôle de Business France – société qui eut pour directrice générale Muriel Pénicaud – dans l’organisation d’une soirée à Las Vegas en janvier 2016 pour le candidat Macron. Une information judiciaire a été ouverte pour des soupçons de favoritisme en juillet 2017, mois au cours duquel Muriel Pénicaud a déclaré qu’elle n’avait « rien à se reprocher ». Deux affaires classées sans suite Gérald Darmanin Fin 2017, le ministre des Comptes publics est accusé de viol et d’abus de faiblesse par deux femmes. En février et mai 2018, les affaires sont classées sans suite. Le 31 août 2018, Gérald Darmanin a obtenu un non-lieu définitif pour une de ces affaires, au motif que « le défaut de consentement ne suffit pas à caractériser le viol. Encore faut-il que le mis en cause ait eu conscience d’imposer un acte sexuel par violence, menace, contrainte ou surprise », a expliqué le juge. La plaignante a fait appel. L’avocat du ministre a, quant à lui, annoncé l’intention de ce dernier de porter plainte pour « dénonciation calomnieuse ». Mi-novembre 2019, on apprend via l’AFP que la justice va réexaminer le non-lieu dont a bénéficié Gérald Darmanin. Le 11 juin 2020, on lit dans Le Monde que « la cour d’appel de Paris a en effet ordonné la reprise des investigations visant le ministre concernant une accusation de viol, harcèlement sexuel et abus de confiance ». Le 14 décembre 2020, il a été entendu par les juges qui l’ont placé sous le statut de témoin assisté. Le 13 septembre 2021, la juge d’instruction en charge de l’enquête prononce la fin des investigations, sans mettre en examen le ministre de l’Intérieur, nous apprend l’AFP. Le non-lieu est ordonné le 11 juillet 2022. En parallèle, les accusations de « trafic d’influence » ont été classées sans suite. Nicolas Hulot En 2008, une plainte pour viol a été déposée à l’encontre de Nicolas Hulot. Plainte classée sans suite la même année, mais dévoilée en 2018 par le journal Ebdo. Bonus Agnès Buzyn La ministre de la Santé a frôlé le conflit d’intérêts, ce dont son secteur d’activité n’a pas besoin pour être au centre de moultes théories du complot. À peine nommée, elle s’est vu privée de la tutelle sur l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm), car celui-ci est dirigé par son mari, Yves Lévy, depuis juin 2014. Visiblement peu perturbé par la perspective d’un conflit d’intérêts, ce dernier laissait planer le doute, encore en juin dernier, qu’il pourrait briguer un nouveau mandat à la tête de l’institut. Il aura fallu attendre juillet 2018 et l’indignation de la communauté scientifique pour qu’Yves Lévy abandonne l’idée. Le 10 octobre, Yves Lévy a été nommé « conseiller d’Etat en service extraordinaire ». Ou comment un médecin devient expert en droit public auprès du gouvernement. Loïc Le Clerc https://regards.fr/six-ans-en-macronie/
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    Six ans en Macronie : 18 condamnations, 8 mises en examen et 13 enquêtes en cours - Regards.fr
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  • 🔴 20 sombres réalités de l'"ère #Covid19" - surveillance et censure par les grandes entreprises technologiques, pouvoir et influence des grandes entreprises pharmaceutiques, propagande gouvernementale par le biais des grands médias

    📍Je vous propose un texte écrit par Jeffrey A. Tucker, fondateur et président du Brownstone Institute, dans lequel il résume les sombres réalités qui ont émergé à l'ère #Covid19 :

    Twenty Grim Realities Unearthed by Lockdowns ⋆

    https://brownstone.org/articles/twenty-grim-realities-unearthed-by-lockdowns/

    Il est désormais courant de parler de l'avant #Covid par opposition à l'après. Le tournant a été, bien sûr, le 16 mars 2020, jour de l'imposition des "15 jours pour aplanir la courbe", bien que les tendances autoritaires soient antérieures à cette date. Les droits ont été soudainement réduits dans tous les domaines, même les droits religieux. On nous a demandé d'aligner chaque aspect de notre vie sur les priorités de l'État de sécurité biomédicale.

    Très peu de gens ont anticipé une évolution aussi choquante. C'était le début d'une nouvelle guerre menée par l'État, et l'ennemi était invisible et pouvait donc se trouver n'importe où. Personne n'a jamais douté de l'omniprésence d'agents pathogènes potentiellement dangereux, mais on nous disait maintenant que notre existence même dépendait entièrement de notre capacité à les éviter, et que seules les autorités de santé publique pouvaient nous aider à le faire.

    Tout a changé. Rien n'est plus pareil. Le traumatisme est réel et durable. L'affirmation "15 jours pour aplanir la courbe" s'est révélée être une ruse. L'urgence a duré trois ans et plus. Ceux qui ont mis en œuvre [ces mesures totalitaires] sont toujours au pouvoir.

    C'est un exercice utile que de résumer les nouveaux aspects que nous avons tous découverts au cours de ces années. Ils expliquent pourquoi le monde semble différent et pourquoi nous ressentons et pensons différemment d'il y a quelques années.

    20 terribles réalités mises en lumière par les lockdowns

    1️⃣ Surveillance et censure par les grandes entreprises technologiques.
    Un régime de censure a été imposé à toutes les grandes plateformes de médias sociaux, des technologies conçues à l'origine pour nous permettre de rester en contact et de diffuser des opinions. Nous ne savions pas que cela se passait, mais nous avons fini par découvrir la répression, ce qui explique pourquoi beaucoup d'entre nous se sont sentis si seuls. Les autres ne pouvaient pas nous entendre et nous ne pouvions pas les entendre. Le régime est confronté à un défi audacieux devant les tribunaux sur de nombreux fronts, mais il continue à ce jour, à l'exception de Twitter, à contrôler constamment les réseaux de manière imprévisible et autoritaire. Nous avons maintenant la preuve que tous les réseaux sont capturés.

    2️⃣ Le pouvoir et l'influence de Big Pharma.
    En avril 2020, quelqu'un m'a demandé si les vaccins produits par le cartel pharmaceutique étaient en fait la cause des blocages. L'idée était de nous maintenir dans la peur et de perturber nos vies jusqu'à ce que nous exigions d'être vaccinés. Je pensais que l'idée était folle et que la corruption ne pouvait pas pénétrer aussi profondément. J'avais tort. Big Pharma travaillait sur un vaccin depuis janvier de cette année-là et a utilisé toutes les formes d'influence achetées pour finalement rendre [ces vaccins] obligatoires. Nous savons aujourd'hui que les principaux organismes de réglementation sont totalement détenus et contrôlés au point que la nécessité, la sécurité et l'efficacité n'ont plus d'importance.

    3️⃣ La propagande gouvernementale par le biais des grands médias.
    Depuis le premier jour, les grands médias se sont révélés partisans d'Anthony Fauci. Les pouvoirs en place pouvaient utiliser le New York Times, la National Public Radio, le Washington Post et tous les autres quand et comme ils le voulaient. Plus tard, les médias ont été utilisés pour diaboliser ceux qui violaient les restrictions, refusaient de porter des masques et de recevoir des vaccins. L'idée selon laquelle "la démocratie meurt dans l'obscurité" a disparu, et les publications réputées ont été remplacées par l'obscurité et une propagande constante. [Ces médias réputés n'ont pas montré de réelle curiosité pour ce que disait l'autre camp. La déclaration de Great Barrington visait initialement à éduquer les journalistes, mais seuls quelques-uns ont osé le signaler. Nous comprenons maintenant que même les grands médias sont totalement vendus et complètement compromis. Ils savaient à l'avance ce qu'il fallait rapporter et comment le faire. Rien d'autre ne comptait.

    https://gbdeclaration.org

    4️⃣ La corruption dans la santé publique.
    Quelle personne saine d'esprit aurait pu prédire que le CDC et le NIH, sans parler de l'Organisation mondiale de la santé, deviendraient des agents de première ligne dans l'imposition d'un contrôle totalitaire ? Certains observateurs l'ont probablement prédit, mais de manière peu crédible. En effet, ces agences ont été responsables de tout, des protocoles absurdes, de la fermeture des hôpitaux aux cas non covidiques, de l'installation de plexiglas partout, de la fermeture des écoles, de la diabolisation des thérapies réutilisées, du masquage des jeunes enfants, de l'imposition forcée des vaccinations. Ils n'ont connu aucune limite à leur pouvoir. Ils se sont révélés être des agents loyaux de l'hégémon.

    5️⃣ La consolidation des grandes entreprises.
    La libre entreprise doit rester libre, mais lorsque les travailleurs, les industries et les marques ont été divisés entre "essentiels" et "non essentiels", où étaient les protestations des grandes entreprises ? Elles ont prouvé qu'elles étaient prêtes à faire passer le profit avant le système fondé sur la concurrence. Tant qu'elles pouvaient profiter du système de consolidation, de cartellisation et de centralisation, elles s'en accommodaient. Les grands magasins ont éliminé la concurrence et consolidé leur position industrielle. Il en va de même pour les plates-formes d'enseignement à distance et la technologie numérique. Les grandes entreprises se sont révélées être les plus grands ennemis du vrai capitalisme et les plus grands amis du corporatisme. Quant à l'art et à la musique, nous savons maintenant que les élites les considèrent comme dispensables.

    6️⃣ L'influence et le pouvoir de l'État administratif.
    La Constitution a établi trois branches de gouvernement, mais les goulets d'étranglement n'ont été traités par aucune d'entre elles. Au lieu de cela, une quatrième branche s'est développée au fil des décennies : la classe permanente des bureaucrates que personne n'a élus et que personne dans le public ne peut contrôler. Ces "experts" permanents ont fait ce qu'ils voulaient, sans qu'aucun contrôle ne soit exercé sur leur pouvoir ; ils ont élaboré des protocoles à l'heure et les ont appliqués, tandis que les assemblées législatives, les juges et même les présidents et les gouverneurs restaient impuissants et craintifs [ou exécutaient ce qu'on leur ordonnait de faire]. Nous savons aujourd'hui que le 13 mars 2020, un coup d'État a transféré tous les pouvoirs à l'État de sécurité nationale, mais nous ne le savions certainement pas à l'époque. Le décret a été classé secret. L'État administratif règne toujours.

    7️⃣ La lâcheté intellectuelle.
    De tous les groupes sociaux, les intellectuels sont les plus libres d'exprimer leurs opinions. C'est d'ailleurs leur rôle. Au lieu de cela, la plupart d'entre eux sont restés silencieux. Cela vaut pour la droite comme pour la gauche. Les universitaires et les chercheurs n'ont rien eu à dire face aux violations des droits de l'homme les plus flagrantes de cette génération. Nous engageons ces personnes pour qu'elles soient indépendantes, mais elles se sont révélées tout sauf indépendantes. Même des défenseurs célèbres des libertés civiles ont regardé ces violations et ont dit : "C'est bon." Toute une génération parmi eux est aujourd'hui totalement discréditée. Les quelques personnes qui ont pris position ont été vilipendées et ont souvent perdu leur emploi. D'autres ont pris acte de cette réalité, mais ont décidé de rester passifs ou de répéter le discours de la classe dirigeante.

    8️⃣ La lâcheté des universités.
    La plupart des universités - à l'exception de quelques-unes - se sont alignées sur le régime. Elles ont fermé leurs portes. Elles ont enfermé les étudiants dans leurs dortoirs. Elles ont refusé d'accepter la présence des étudiants aux cours. Ensuite, il y a eu les campagnes de vaccination. Des millions d'étudiants ont été vaccinés inutilement et ne pouvaient refuser que sous peine d'être exclus de leur programme d'études. [Les universités] font preuve d'un manque total de principes. Les diplômés doivent prendre des notes, tout comme les parents qui réfléchissent à l'endroit où ils enverront leurs bacheliers l'année prochaine.

    9️⃣ L'absence de colonne vertébrale des groupes de réflexion.
    Le rôle de ces importantes organisations à but non lucratif est de tester les limites des opinions acceptables et de guider le monde politique et intellectuel dans la direction du progrès pour tous. Ils devraient également être indépendants. Ils ne dépendent pas de frais de scolarité ou de faveurs politiques. Elles peuvent être animées par le courage et les principes. Mais qu'en est-il ? Presque sans exception, ils se sont abstenus de débattre ou sont devenus de fervents partisans du régime de verrouillage. Étaient-ils simplement timides ? Probablement pas. Les sources de financement racontent une autre histoire. Ils sont soutenus par les industries mêmes qui ont profité de ces politiques extrêmes. Les sponsors qui croient en la liberté devraient en prendre note !

    1️⃣0️⃣ La folie des foules.
    Beaucoup d'entre nous ont lu le livre classique "Les illusions populaires extraordinaires et la folie des foules", mais nous pensions qu'il s'agissait d'une chronique du passé et qu'il décrivait probablement une situation impossible aujourd'hui. Mais immédiatement, des foules ont été la proie de paniques de type médiéval, pourchassant ceux qui n'obéissaient pas. Ils avaient une mission : dénoncer les dissidents et les désobéissants. Le livre de Mathias Desmet sur la formation des psychoses de masse est aujourd'hui une explication classique de la façon dont une population sans principes peut transformer ces frénésies politiques en croisades délirantes. Beaucoup de nos amis et voisins ont été victimes [de cette psychose].

    https://gutenberg.org/cache/epub/24518/pg24518-images.html

    https://amazon.com/Psychology-Totalitarianism-Mattias-Desmet/dp/1645021726

    (la suite dans un prochain tweet)

    Source 🔽
    https://twitter.com/CalliFanciulla/status/1676874675652009984
    🔴 20 sombres réalités de l'"ère #Covid19" - surveillance et censure par les grandes entreprises technologiques, pouvoir et influence des grandes entreprises pharmaceutiques, propagande gouvernementale par le biais des grands médias 📍Je vous propose un texte écrit par Jeffrey A. Tucker, fondateur et président du Brownstone Institute, dans lequel il résume les sombres réalités qui ont émergé à l'ère #Covid19 : Twenty Grim Realities Unearthed by Lockdowns ⋆ https://brownstone.org/articles/twenty-grim-realities-unearthed-by-lockdowns/ Il est désormais courant de parler de l'avant #Covid par opposition à l'après. Le tournant a été, bien sûr, le 16 mars 2020, jour de l'imposition des "15 jours pour aplanir la courbe", bien que les tendances autoritaires soient antérieures à cette date. Les droits ont été soudainement réduits dans tous les domaines, même les droits religieux. On nous a demandé d'aligner chaque aspect de notre vie sur les priorités de l'État de sécurité biomédicale. Très peu de gens ont anticipé une évolution aussi choquante. C'était le début d'une nouvelle guerre menée par l'État, et l'ennemi était invisible et pouvait donc se trouver n'importe où. Personne n'a jamais douté de l'omniprésence d'agents pathogènes potentiellement dangereux, mais on nous disait maintenant que notre existence même dépendait entièrement de notre capacité à les éviter, et que seules les autorités de santé publique pouvaient nous aider à le faire. Tout a changé. Rien n'est plus pareil. Le traumatisme est réel et durable. L'affirmation "15 jours pour aplanir la courbe" s'est révélée être une ruse. L'urgence a duré trois ans et plus. Ceux qui ont mis en œuvre [ces mesures totalitaires] sont toujours au pouvoir. C'est un exercice utile que de résumer les nouveaux aspects que nous avons tous découverts au cours de ces années. Ils expliquent pourquoi le monde semble différent et pourquoi nous ressentons et pensons différemment d'il y a quelques années. 20 terribles réalités mises en lumière par les lockdowns 1️⃣ Surveillance et censure par les grandes entreprises technologiques. Un régime de censure a été imposé à toutes les grandes plateformes de médias sociaux, des technologies conçues à l'origine pour nous permettre de rester en contact et de diffuser des opinions. Nous ne savions pas que cela se passait, mais nous avons fini par découvrir la répression, ce qui explique pourquoi beaucoup d'entre nous se sont sentis si seuls. Les autres ne pouvaient pas nous entendre et nous ne pouvions pas les entendre. Le régime est confronté à un défi audacieux devant les tribunaux sur de nombreux fronts, mais il continue à ce jour, à l'exception de Twitter, à contrôler constamment les réseaux de manière imprévisible et autoritaire. Nous avons maintenant la preuve que tous les réseaux sont capturés. 2️⃣ Le pouvoir et l'influence de Big Pharma. En avril 2020, quelqu'un m'a demandé si les vaccins produits par le cartel pharmaceutique étaient en fait la cause des blocages. L'idée était de nous maintenir dans la peur et de perturber nos vies jusqu'à ce que nous exigions d'être vaccinés. Je pensais que l'idée était folle et que la corruption ne pouvait pas pénétrer aussi profondément. J'avais tort. Big Pharma travaillait sur un vaccin depuis janvier de cette année-là et a utilisé toutes les formes d'influence achetées pour finalement rendre [ces vaccins] obligatoires. Nous savons aujourd'hui que les principaux organismes de réglementation sont totalement détenus et contrôlés au point que la nécessité, la sécurité et l'efficacité n'ont plus d'importance. 3️⃣ La propagande gouvernementale par le biais des grands médias. Depuis le premier jour, les grands médias se sont révélés partisans d'Anthony Fauci. Les pouvoirs en place pouvaient utiliser le New York Times, la National Public Radio, le Washington Post et tous les autres quand et comme ils le voulaient. Plus tard, les médias ont été utilisés pour diaboliser ceux qui violaient les restrictions, refusaient de porter des masques et de recevoir des vaccins. L'idée selon laquelle "la démocratie meurt dans l'obscurité" a disparu, et les publications réputées ont été remplacées par l'obscurité et une propagande constante. [Ces médias réputés n'ont pas montré de réelle curiosité pour ce que disait l'autre camp. La déclaration de Great Barrington visait initialement à éduquer les journalistes, mais seuls quelques-uns ont osé le signaler. Nous comprenons maintenant que même les grands médias sont totalement vendus et complètement compromis. Ils savaient à l'avance ce qu'il fallait rapporter et comment le faire. Rien d'autre ne comptait. https://gbdeclaration.org 4️⃣ La corruption dans la santé publique. Quelle personne saine d'esprit aurait pu prédire que le CDC et le NIH, sans parler de l'Organisation mondiale de la santé, deviendraient des agents de première ligne dans l'imposition d'un contrôle totalitaire ? Certains observateurs l'ont probablement prédit, mais de manière peu crédible. En effet, ces agences ont été responsables de tout, des protocoles absurdes, de la fermeture des hôpitaux aux cas non covidiques, de l'installation de plexiglas partout, de la fermeture des écoles, de la diabolisation des thérapies réutilisées, du masquage des jeunes enfants, de l'imposition forcée des vaccinations. Ils n'ont connu aucune limite à leur pouvoir. Ils se sont révélés être des agents loyaux de l'hégémon. 5️⃣ La consolidation des grandes entreprises. La libre entreprise doit rester libre, mais lorsque les travailleurs, les industries et les marques ont été divisés entre "essentiels" et "non essentiels", où étaient les protestations des grandes entreprises ? Elles ont prouvé qu'elles étaient prêtes à faire passer le profit avant le système fondé sur la concurrence. Tant qu'elles pouvaient profiter du système de consolidation, de cartellisation et de centralisation, elles s'en accommodaient. Les grands magasins ont éliminé la concurrence et consolidé leur position industrielle. Il en va de même pour les plates-formes d'enseignement à distance et la technologie numérique. Les grandes entreprises se sont révélées être les plus grands ennemis du vrai capitalisme et les plus grands amis du corporatisme. Quant à l'art et à la musique, nous savons maintenant que les élites les considèrent comme dispensables. 6️⃣ L'influence et le pouvoir de l'État administratif. La Constitution a établi trois branches de gouvernement, mais les goulets d'étranglement n'ont été traités par aucune d'entre elles. Au lieu de cela, une quatrième branche s'est développée au fil des décennies : la classe permanente des bureaucrates que personne n'a élus et que personne dans le public ne peut contrôler. Ces "experts" permanents ont fait ce qu'ils voulaient, sans qu'aucun contrôle ne soit exercé sur leur pouvoir ; ils ont élaboré des protocoles à l'heure et les ont appliqués, tandis que les assemblées législatives, les juges et même les présidents et les gouverneurs restaient impuissants et craintifs [ou exécutaient ce qu'on leur ordonnait de faire]. Nous savons aujourd'hui que le 13 mars 2020, un coup d'État a transféré tous les pouvoirs à l'État de sécurité nationale, mais nous ne le savions certainement pas à l'époque. Le décret a été classé secret. L'État administratif règne toujours. 7️⃣ La lâcheté intellectuelle. De tous les groupes sociaux, les intellectuels sont les plus libres d'exprimer leurs opinions. C'est d'ailleurs leur rôle. Au lieu de cela, la plupart d'entre eux sont restés silencieux. Cela vaut pour la droite comme pour la gauche. Les universitaires et les chercheurs n'ont rien eu à dire face aux violations des droits de l'homme les plus flagrantes de cette génération. Nous engageons ces personnes pour qu'elles soient indépendantes, mais elles se sont révélées tout sauf indépendantes. Même des défenseurs célèbres des libertés civiles ont regardé ces violations et ont dit : "C'est bon." Toute une génération parmi eux est aujourd'hui totalement discréditée. Les quelques personnes qui ont pris position ont été vilipendées et ont souvent perdu leur emploi. D'autres ont pris acte de cette réalité, mais ont décidé de rester passifs ou de répéter le discours de la classe dirigeante. 8️⃣ La lâcheté des universités. La plupart des universités - à l'exception de quelques-unes - se sont alignées sur le régime. Elles ont fermé leurs portes. Elles ont enfermé les étudiants dans leurs dortoirs. Elles ont refusé d'accepter la présence des étudiants aux cours. Ensuite, il y a eu les campagnes de vaccination. Des millions d'étudiants ont été vaccinés inutilement et ne pouvaient refuser que sous peine d'être exclus de leur programme d'études. [Les universités] font preuve d'un manque total de principes. Les diplômés doivent prendre des notes, tout comme les parents qui réfléchissent à l'endroit où ils enverront leurs bacheliers l'année prochaine. 9️⃣ L'absence de colonne vertébrale des groupes de réflexion. Le rôle de ces importantes organisations à but non lucratif est de tester les limites des opinions acceptables et de guider le monde politique et intellectuel dans la direction du progrès pour tous. Ils devraient également être indépendants. Ils ne dépendent pas de frais de scolarité ou de faveurs politiques. Elles peuvent être animées par le courage et les principes. Mais qu'en est-il ? Presque sans exception, ils se sont abstenus de débattre ou sont devenus de fervents partisans du régime de verrouillage. Étaient-ils simplement timides ? Probablement pas. Les sources de financement racontent une autre histoire. Ils sont soutenus par les industries mêmes qui ont profité de ces politiques extrêmes. Les sponsors qui croient en la liberté devraient en prendre note ! 1️⃣0️⃣ La folie des foules. Beaucoup d'entre nous ont lu le livre classique "Les illusions populaires extraordinaires et la folie des foules", mais nous pensions qu'il s'agissait d'une chronique du passé et qu'il décrivait probablement une situation impossible aujourd'hui. Mais immédiatement, des foules ont été la proie de paniques de type médiéval, pourchassant ceux qui n'obéissaient pas. Ils avaient une mission : dénoncer les dissidents et les désobéissants. Le livre de Mathias Desmet sur la formation des psychoses de masse est aujourd'hui une explication classique de la façon dont une population sans principes peut transformer ces frénésies politiques en croisades délirantes. Beaucoup de nos amis et voisins ont été victimes [de cette psychose]. https://gutenberg.org/cache/epub/24518/pg24518-images.html https://amazon.com/Psychology-Totalitarianism-Mattias-Desmet/dp/1645021726 (la suite dans un prochain tweet) Source 🔽 https://twitter.com/CalliFanciulla/status/1676874675652009984
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    The greatest threats to human liberty today are not the ones of the past and they elude easy ideological categorization.
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