• 🟪 DOSSIER SENSIBLE : ÉDUCATION SEXUELLE POUR LES ENFANTS.
    Un régime imposé par un État est un régime totalitaire.
    De quel droit vont-ils déstabiliser nos enfants ??
    Parents, lorsque l'OMS se sert de l'Éducation Nationale pour imposer une idéologie, il faut réagir et dire ''NON'' !

    PLUS VOUS SEREZ NOMBREUX PLUS VOUS AUREZ GAIN DE CAUSE !

    ➡️🇨🇵 Dr BERGER :
    ''Je suis médecin, j'ai été chef de service en pédopsychiatrie pendant 35 ans...
    Il n'est pas ici question de religion, mais de protection du développement de l'enfant...
    Ce programme présente plusieurs risques majeurs.
    Il fait intrusion de manière traumatique dans le rythme de croissance affective des enfants.
    Par traumatique je veux dire qu'un certain nombre d'entre eux vont mal après cet enseignement.
    Pourquoi ne pas attendre que les enfants posent des questions sur la sexualité au moment où ils en ressentent le besoin ?
    Pourquoi ne pas laisser la sexualité dans le domaine de l'intime, car c'est le domaine de l'intimité par excellence ?
    Les enfants n'auraient-ils pas de pudeur ?
    Pourquoi des adultes éprouvent-ils le besoin de prendre une place de séducteur initiateur ?
    Il est évident qu'en introduisant les informations techniques on risque de séparer la sexualité de la vie affective.
    Donc on fiche la paix aux enfants.
    Et il y a encore plus, ce programme a introduit aussi la théorie du genre, c'est-à-dire l'idée selon laquelle notre identité sexuelle garçon... est une construction sociale qui n'est pas liée à notre sexe biologique...
    Ce projet qui consiste à couper l'enfant de l'éducation familiale pour lui proposer une éducation, disons même un formatage fait par l'État, est la marque des fonctionnements Totalitaires...
    Rappelez-vous l'Histoire avec un grand H.''
    ()

    ➡️ Extrait de, il y a 6 ans !

    En Belgique, le programme s'appelle EVRAS (éducation à la vie relationnelle affective et sexuelle).
    En France, il s'appelle EDSENS (programme d'éducation et de sensibilisation).

    Les écoles ne sont plus des lieux d'instruction. Les familles sont dépossédées de l'éducation relationnelle, affective et sexuelle de leurs propres progénitures. La Belgique subit actuellement des actes de dégradation sur ses établissements scolaires. La ministre de l'éducation, Caroline Désir, dénonce ces violences comme du terrorisme. Elle justifie le programme qui sera donné par des professionnels, qui répond aux questions des enfants...

    Ces actes délictueux ne servent pas la cause. Car le problème est la dépossession éducative des parents, l'interdiction progressive de partager ses propres valeurs et, même, nier les évidences biologiques du genre.

    Tout le programme crée des incertitudes et peut générer de grandes angoisses chez l'enfant en pleine phase de construction identitaire et personnelle.

    Le danger est réel!

    https://odysee.com/@Berkin:1/_DOSSIERSENSIBLE-_%C3%89DUCATION-EXUELLEPOURLESENFANTS_:7
    ou
    https://www.facebook.com/beatrice.montegut/videos/965855424708013
    🟪 DOSSIER SENSIBLE : ÉDUCATION SEXUELLE POUR LES ENFANTS. Un régime imposé par un État est un régime totalitaire. De quel droit vont-ils déstabiliser nos enfants ?? Parents, lorsque l'OMS se sert de l'Éducation Nationale pour imposer une idéologie, il faut réagir et dire ''NON'' ! PLUS VOUS SEREZ NOMBREUX PLUS VOUS AUREZ GAIN DE CAUSE ! ➡️🇨🇵 Dr BERGER : ''Je suis médecin, j'ai été chef de service en pédopsychiatrie pendant 35 ans... Il n'est pas ici question de religion, mais de protection du développement de l'enfant... Ce programme présente plusieurs risques majeurs. Il fait intrusion de manière traumatique dans le rythme de croissance affective des enfants. Par traumatique je veux dire qu'un certain nombre d'entre eux vont mal après cet enseignement. Pourquoi ne pas attendre que les enfants posent des questions sur la sexualité au moment où ils en ressentent le besoin ? Pourquoi ne pas laisser la sexualité dans le domaine de l'intime, car c'est le domaine de l'intimité par excellence ? Les enfants n'auraient-ils pas de pudeur ? Pourquoi des adultes éprouvent-ils le besoin de prendre une place de séducteur initiateur ? Il est évident qu'en introduisant les informations techniques on risque de séparer la sexualité de la vie affective. Donc on fiche la paix aux enfants. Et il y a encore plus, ce programme a introduit aussi la théorie du genre, c'est-à-dire l'idée selon laquelle notre identité sexuelle garçon... est une construction sociale qui n'est pas liée à notre sexe biologique... Ce projet qui consiste à couper l'enfant de l'éducation familiale pour lui proposer une éducation, disons même un formatage fait par l'État, est la marque des fonctionnements Totalitaires... Rappelez-vous l'Histoire avec un grand H.'' () ➡️ Extrait de, il y a 6 ans ! En Belgique, le programme s'appelle EVRAS (éducation à la vie relationnelle affective et sexuelle). En France, il s'appelle EDSENS (programme d'éducation et de sensibilisation). Les écoles ne sont plus des lieux d'instruction. Les familles sont dépossédées de l'éducation relationnelle, affective et sexuelle de leurs propres progénitures. La Belgique subit actuellement des actes de dégradation sur ses établissements scolaires. La ministre de l'éducation, Caroline Désir, dénonce ces violences comme du terrorisme. Elle justifie le programme qui sera donné par des professionnels, qui répond aux questions des enfants... Ces actes délictueux ne servent pas la cause. Car le problème est la dépossession éducative des parents, l'interdiction progressive de partager ses propres valeurs et, même, nier les évidences biologiques du genre. Tout le programme crée des incertitudes et peut générer de grandes angoisses chez l'enfant en pleine phase de construction identitaire et personnelle. Le danger est réel! https://odysee.com/@Berkin:1/_DOSSIERSENSIBLE-_%C3%89DUCATION-EXUELLEPOURLESENFANTS_:7 ou https://www.facebook.com/beatrice.montegut/videos/965855424708013
    Beuark
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  • Le Figaro a parcouru la dernière édition du magazine d'Al-Qaïda dans la péninsule arabique (AGPA) et y a trouvé d'explicites menaces d'attaques terroristes à la France et la Suède : "Ils ne comprendront que lorsqu’un ministère sera attaqué à Paris..."👇
    https://francesoir.fr/politique-monde/terrorisme-al-qaida-menace-la-france-et-la-suede
    Le Figaro a parcouru la dernière édition du magazine d'Al-Qaïda dans la péninsule arabique (AGPA) et y a trouvé d'explicites menaces d'attaques terroristes à la France et la Suède : "Ils ne comprendront que lorsqu’un ministère sera attaqué à Paris..."👇 https://francesoir.fr/politique-monde/terrorisme-al-qaida-menace-la-france-et-la-suede
    FRANCESOIR.FR
    Terrorisme: Al-Qaïda menace la France et la Suède | FranceSoir
    DÉPÊCHE — Dans la dernière édition du magazine Sada al-Malahim, le groupe terroriste Al-Qaïda a ouvertement menacé la France et la Suède, apprenait Le Figaro ce jeudi 14 septembre. L'organisation y mentionne une attaque sur un "ministère" français ou une "ambassade suédoise".
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  • "Des techniques de contrôle climatique... du Nouvel Ordre Mondial... pour affamer les peuples". Témoignage de Robert Fletcher, le 15 juin 1995, aux USA, lors d’une audience de la sous-commission judiciaire du Sénat sur le terrorisme."

    Via :
    https://www.facebook.com/Bonsensbelgique/videos/171532509227533/
    "Des techniques de contrôle climatique... du Nouvel Ordre Mondial... pour affamer les peuples". Témoignage de Robert Fletcher, le 15 juin 1995, aux USA, lors d’une audience de la sous-commission judiciaire du Sénat sur le terrorisme." Via : https://www.facebook.com/Bonsensbelgique/videos/171532509227533/
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  • "Encore une fois … du grand Lavrov
    Décidément la garde très rapprochée de Vladimir Poutine c’est du solide"

    Allocution du ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov lors de la 11e Conférence de Moscou sur la sécurité internationale (Moscou, 15 août 2023)

    "La ​​possibilité même de la domination d'un pays ou même d'un groupe d'États disparaît dans l'oubli. Aujourd'hui, il est essentiel de construire un ordre mondial multipolaire véritablement démocratique fondé sur des normes juridiques internationales généralement reconnues, principalement les principes de la Charte des Nations Unies.

    En violation de la Charte des Nations Unies, les Américains et leurs satellites de l'OTAN tentent de dire aux autres pays quels alliés choisir ou éviter.

    Les Occidentaux font preuve d'une intolérance flagrante envers la dissidence, cherchant à usurper la prérogative de façonner l'agenda mondial sous tous ses aspects.
    Washington et ses alliés ne sont pas gênés par le fait que, par leurs actions, ils menacent la stabilité mondiale, créent de nouveaux risques et sapent les chaînes d'approvisionnement, ainsi que la sécurité alimentaire et énergétique.
    Afin de sauver leur projet géopolitique de « contenir la Russie » et de diviser le monde russe, les États-Unis, l'OTAN et l'UE inondent l'Ukraine de quantités croissantes d'armes modernes, attisant ainsi le conflit et provoquant la propagation incontrôlée d'armes autour le monde.
    La ​​situation géopolitique nous rend difficile la mutualisation des efforts pour neutraliser les menaces communes à l'humanité, notamment la lutte contre le terrorisme international, notamment les organisations djihadistes.
    Chacun devrait tirer les leçons des conséquences tragiques des guerres déclenchées par les États-Unis et leurs alliés. Nous pensons qu'il est important que l'ONU, qui s'est montrée assez discrète ces derniers temps à cet égard, agisse de manière proactive et intensifie ses efforts dans la lutte contre le terrorisme sans recourir à deux poids deux mesures.
    La ​​Russie continuera de consolider les efforts de la communauté internationale pour contrer les défis et menaces mondiaux et régionaux, promouvoir un programme positif, contribuer au renforcement de la sécurité et de la stabilité internationales."

    Sergueï Lavrov

    Via : https://twitter.com/55Bellechasse/status/1691691042674753904
    "Encore une fois … du grand Lavrov Décidément la garde très rapprochée de Vladimir Poutine c’est du solide" Allocution du ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov lors de la 11e Conférence de Moscou sur la sécurité internationale (Moscou, 15 août 2023) "La ​​possibilité même de la domination d'un pays ou même d'un groupe d'États disparaît dans l'oubli. Aujourd'hui, il est essentiel de construire un ordre mondial multipolaire véritablement démocratique fondé sur des normes juridiques internationales généralement reconnues, principalement les principes de la Charte des Nations Unies. En violation de la Charte des Nations Unies, les Américains et leurs satellites de l'OTAN tentent de dire aux autres pays quels alliés choisir ou éviter. Les Occidentaux font preuve d'une intolérance flagrante envers la dissidence, cherchant à usurper la prérogative de façonner l'agenda mondial sous tous ses aspects. Washington et ses alliés ne sont pas gênés par le fait que, par leurs actions, ils menacent la stabilité mondiale, créent de nouveaux risques et sapent les chaînes d'approvisionnement, ainsi que la sécurité alimentaire et énergétique. Afin de sauver leur projet géopolitique de « contenir la Russie » et de diviser le monde russe, les États-Unis, l'OTAN et l'UE inondent l'Ukraine de quantités croissantes d'armes modernes, attisant ainsi le conflit et provoquant la propagation incontrôlée d'armes autour le monde. La ​​situation géopolitique nous rend difficile la mutualisation des efforts pour neutraliser les menaces communes à l'humanité, notamment la lutte contre le terrorisme international, notamment les organisations djihadistes. Chacun devrait tirer les leçons des conséquences tragiques des guerres déclenchées par les États-Unis et leurs alliés. Nous pensons qu'il est important que l'ONU, qui s'est montrée assez discrète ces derniers temps à cet égard, agisse de manière proactive et intensifie ses efforts dans la lutte contre le terrorisme sans recourir à deux poids deux mesures. La ​​Russie continuera de consolider les efforts de la communauté internationale pour contrer les défis et menaces mondiaux et régionaux, promouvoir un programme positif, contribuer au renforcement de la sécurité et de la stabilité internationales." Sergueï Lavrov Via : https://twitter.com/55Bellechasse/status/1691691042674753904
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  • Robert Kennedy Jr, à propos de l’Ukraine.
    30/07/2023

    "Le président Zelensky aurait eu l'intention de signer les Accords de Minsk, un accord de paix avec la Russie il y a plus d'un an. Les États-Unis voulaient cette guerre."

    "Les personnes qui ont conçu la guerre en Ukraine sont les mêmes qui ont conçu la guerre en Irak (et qui ont organisé le coup d'état de Maiden en 2014).

    "La guerre de 20 ans contre le terrorisme coûte aux États-Unis 8 000 milliards de dollars. Qu'est-ce que l'Amérique a obtenu pour 8 000 milliards de dollars ?"

    Extrait vidéo sous-titré en français :
    https://twitter.com/i/status/1690537291947581440

    Vidéo complète :
    https://youtu.be/v0XFMqHu2Ok

    My expert opinion 191 Myl traduction 🌼
    Robert Kennedy Jr, à propos de l’Ukraine. 30/07/2023 "Le président Zelensky aurait eu l'intention de signer les Accords de Minsk, un accord de paix avec la Russie il y a plus d'un an. Les États-Unis voulaient cette guerre." "Les personnes qui ont conçu la guerre en Ukraine sont les mêmes qui ont conçu la guerre en Irak (et qui ont organisé le coup d'état de Maiden en 2014). "La guerre de 20 ans contre le terrorisme coûte aux États-Unis 8 000 milliards de dollars. Qu'est-ce que l'Amérique a obtenu pour 8 000 milliards de dollars ?" Extrait vidéo sous-titré en français : https://twitter.com/i/status/1690537291947581440 Vidéo complète : https://youtu.be/v0XFMqHu2Ok My expert opinion 191 Myl traduction 🌼
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  • https://www.lelibrepenseur.org/une-enquete-malienne-revele-comment-la-france-de-macron-est-le-principal-bailleur-de-fonds-du-terrorisme-au-sahel/
    https://www.lelibrepenseur.org/une-enquete-malienne-revele-comment-la-france-de-macron-est-le-principal-bailleur-de-fonds-du-terrorisme-au-sahel/
    WWW.LELIBREPENSEUR.ORG
    Une enquête malienne révèle comment la France de macron est le principal bailleur de fonds du terrorisme au Sahel
    Article extrêmement intéressant concernant le comportement de l'Élysée dans le Sahel en acceptant de payer des rançons très importantes contre
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  • Du fascisme en France
    Par Alexis Poulin
    28 07 2023

    Depuis l’élection d’Emmanuel Macron, les institutions ont été mises au service des lobbies et le président de la République a fait usage de tous les rouages de la Ve pour asseoir un pouvoir unipersonnel, dont la marque de fabrique est le mépris de classe et la violence, et qui ne rencontre quasiment aucun contre-pouvoir, ces derniers s’amenuisant de jour en jour.

    Aidé par un paysage médiatique, propriété des grands industriels et des champions du CAC40, Emmanuel Macron a pu assumer une dérive continue dans l’illibéralisme et l’autoritarisme contraires aux valeurs démocratiques qu’il prétend défendre. En 2017, l’illusion était parfaite, avec un parti fantoche créé pour l’occasion de la présidentielle, un programme sur-mesure pour attirer les investisseurs et condamner la République sociale, et une image de golden boy du nouveau monde.

    Evidemment, à partir de l’affaire Benalla, qui révélait la création d’une milice présidentielle et les premières dérives autocratiques, la violence déversée sur le premier mouvement social d’ampleur, les Gilets Jaunes, est restée impunie et validée par la classe bourgeoise qui soutient le maintien de l’ordre injuste dans la défense de ses intérêts.

    Oubliés, les éborgnés, les mutilés, les morts, les victimes de bavures, ces derniers ayant été bien vite catalogués comme des intouchables, séditieux et factieux, ennemis de la République.

    Depuis 2018, nous sommes témoins de la dégradation permanente du niveau de vie de millions de compatriotes, de la caricature grossière macroniste qui se défend de toute dérive fascisante et de la radicalité d’un Young Leader qui a pour feuille de route la dissolution de la région France dans la région EMEA (Europe Middle East & Africa), région marketing des multinationales US.

    Mais au-delà de la sympathie pour Pétain et pour les valeurs réactionnaires, mâtinées de wokisme bon marché, Emmanuel Macron a installé un système de conflits d’intérêts au coeur de la République, sans jamais être réellement inquiété par le pouvoir judiciaire mis au pas par un casting ministériel de choix.

    Aujourd’hui, il est obligé de céder aux pressions du lobby policier afin de préserver son pouvoir chancelant et antidémocratique. Dernière étape avant l’Etat policier, et un changement de régime assumé.

    Le mirage médiatique
    Rien sur l’ingérence des cadres d’un cabinet américain de conseil comme McKinsey dans la création du parti En Marche, rien sur l’affaire Alstom, démantèlement d’un fleuron industriel national au profit de GE, groupe américain, dont les nombreux dirigeants français ont été décorés, ou sont passés par le cabinet d’Emmanuel Macron à Bercy, rien sur les multiples conflits d’intérêts de plusieurs ministres et élus de la majorité, rien sur l’usage systématique de la violence d’Etat contre les mouvements sociaux. Rien. Comme si Macron avait tous les droits et pouvait tout se permettre.

    Et pourtant, la communauté internationale s’inquiète de l’état de la France dans les mains du Mozart de la lacrymo : L’ONU, la Ligue des Droits de l’Homme, Amnesty, Human Right Watch, le Conseil de L’Europe, la presse internationale et même la maison Blanche se sont émus des violences policières en France.

    Et en France? Il suffit d’allumer télé et radio pour ne rien voir, ne rien entendre et constater que beaucoup de « journalistes » sont payés pour ne rien dire, ou assurer à minima un service après-vente de propagande molle.

    Nous vivons au coeur d’une dystopie totalitaire où des BRAV-M harnachés comme des pacificateurs du film Hunger Games sèment la terreur au coeur des manifestations à coup de bastonnades et de tirs de LBD ou de grenades explosives.

    À Sainte-Soline, un palier a été franchi avec l’utilisation d’un arsenal pour faire la guerre aux militants écologistes venus dénoncer les bassines : quads, affrontements dignes d’une guérilla, et de trop nombreux blessés chez les manifestants et les policiers, avec un jeune manifestant entre la vie et la mort. Tout ça parce qu’il ne doit plus y avoir aucune ZAD (Zone à Défendre) selon le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin.

    Et c’est bien Gérald Darmanin qui a mandat du président pour ouvrir tout grand la fenêtre d’Overton vers une logique fasciste de l’ennemi de l’intérieur, n’hésitant pas à qualifier les manifestants d’ « éco-terroristes », les opposants de terroristes intellectuels et globalement, l’ensemble des Français opposés à la politique antisociale de Macron, de dangereux radicaux.
    Or une ZAD, c’est d’abord un refus de l’ordre injuste actuel, c’est la preuve qu’il existe des alternatives à l’univers impitoyable de la prédation financière et de la violence antihumaniste des fous d’argent.

    Une ZAD, c’est défendre l’humain, le droit à la créativité, le droit à la vie fors du profit et de la performance économique, le droit à la solidarité, le droit à l’autogestion, le droit à la protection de la violence de l’Etat en voie de devenir Big Brother.

    « There is no Alternative » était le slogan de Mme Thatcher dans les années 80 pour imposer la dérégulation financière et la violence contre les syndicats. De manière tardive et anachronique, le golden Boy Macron est resté coincé dans ces années de la mondialisation forcée et de l’argent roi, il veut nous imposer à notre tour, la fin du modèle Français, jugé obscène par les fonds vautours comme BlackRock et Vanguard qui ne tolèrent aucun secteur hors de leur pouvoir absolu.

    Ce « there is no alternative » est le neo-fascisme qui nous violente dorénavant. Sans limites politiques, par peur d’utiliser concrètement des concepts politiques, dans un monde du marketing politique.

    Du fascisme et pas autre chose
    Prenons la définition politique du fascisme par le Larousse :

    « 1. Régime établi en Italie de 1922 à 1945, fondé sur la dictature d’un parti unique, l’exaltation nationaliste et le corporatisme.

    2. Doctrine ou tendance visant à installer un régime autoritaire rappelant le fascisme italien ; ce régime lui-même.

    3. Attitude autoritaire, arbitraire, violente et dictatoriale imposée par quelqu’un à un groupe quelconque, à son entourage. »

    Nous voyons bien la création du parti unique du centre absolu, le ni de droite ni de gauche de Macron qui a permis de rassembler tous les traits des familles politiques en une entité centrale, autonome et autoproclamée « camp de la raison ».

    L’exaltation européiste a remplacé l’exaltation nationaliste, mais on peut voir dans le fanatisme guerrier et l’affirmation d’une pensée unique sans contradiction, portée par Mme Von der Leyen, une filiation fasciste évidente, mantra de pensée, unité de valeurs communes, niant les particularismes et les opinions personnelles.

    Et enfin, le corporatisme a été remplacé par le lobbying, Macron étant la créature de McKinsey adossé au pouvoir oligarchique de l’argent.

    Jusqu’où Macron peut-il se radicaliser ?
    La tendance visant à installer un régime autoritaire est plus qu’évidente, avec les nombreuses censures des opposants, la violence de la répression contre les mouvements sociaux, et le pouvoir d’un seul sur un parti fantôme de figurants soumis à son autorité.

    Concernant l’attitude violente, les mauvaises pratiques de management et les nombreuses démissions pour harcèlement, sont légion au sein de la macronie. Dernier drame en date, un employé de l’Elysée remercié à 50 ans après 23 ans de bons et loyaux services, s’est jeté sous un RER et est aujourd’hui dans un état critique. J’avais d’ailleurs alerté dès 2019 sur ce président de la violence qui n’a pas sa place en République.

    Il suffit donc de se référer à la définition officielle du fascisme pour se rendre compte que le macronisme est bien un fascisme au sens de sa définition politique.

    Il n’est plus nécessaire de se cacher derrière des pudeurs de gazelles pour nommer le mal qui défigure et torture la société française, toute négation serait simplement une condamnation de notre pays à la nuit.

    « L’ordre, l’ordre, l’ordre », a donc remplacé « liberté, égalité, fraternité ». Macron est un autocrate, qui a trahi son rôle de garant des institutions, pour en devenir le fossoyeur et assume sans vergogne ce rôle, en revendiquant l’autorité comme seule forme de ciment de la société française, violenté par ses politiques de fracturation.

    La faillite des Institutions
    Le conseil d’Etat, institution Potemkine, se révèle incapable de réclamer au ministère de l’Intérieur l’affichage du RIO des policiers, pourtant obligatoire depuis 2014. Conseil d’Etat qui ne vaut pas mieux que le Conseil Constitutionnel, organe moribond capable de valider un dispositif totalitaire anti-constitutionnel comme le pass vaccinal, et ne jamais revenir sur ses erreurs.

    Le parlement est devenu un lieu de spectacle vide de tout pouvoir, où les ministres comme Gérald Darmanin, ou encore Marlène Schiappa, peuvent commettre parjures et mensonges devant des commissions d’enquêtes parlementaires sans jamais être inquiétés.

    Les dérives ne sont plus des dérives, mais un mode de gouvernance, par la violence, pour imposer la vision radicalisée d’un seul à tout un peuple réfractaire.

    Désolé, mais je n’appelle pas ça une démocratie. Libre aux Français de continuer de croire à ce cirque débile où tous les cinq ans, un pantin de la finance est mis en scène face à une héritière de Jean-Marie Le Pen, c’est ridicule mais malheureusement, l’artifice fonctionne encore à merveille.

    Chaque campagne devient une campagne de mensonge et de dissimulation, tout en cherchant à rendre illégitime toute opposition concrète. Extrême droite, complotisme, terrorisme, tout ce qui n’est pas la doxa du parti unique doit disparaître. Et pourtant, les alternatives et les oppositions sont déjà largement invisibilisées par les médias subventionnés et pousser toujours plus loin du jeu politique, qui est un jeu anti-populaire de quelques nantis qui s’amusent à s’opposer. Des bourgeois bourgeonnant entre eux comme le disait si bien Jaurès.

    Ce jeu est truqué, et ce sont toujours les mêmes Français qui sont perdants. Toujours plus nombreux poussés dans la précarité, toujours plus nombreux sous le seuil de pauvreté, toujours plus nombreux broyés par la politique du choix de la pauvreté.

    La reprise en main
    Nous devrions réécrire la constitution, maintenant, par des comités populaires constituants et assurer enfin que les maltraitants ne se sentent plus intouchables et hors de contrôle.

    Il est urgent de recouvrir nos institutions, et d’en chasser les coucous de McKinsey et autres carriéristes sans valeurs qui y ont fait leur nid.

    Serons-nous assez nombreux? La réponse est non. Mais l’espoir est déjà plus qu’un espoir, car les médias indépendants se constituent alors en corps nécessaires du sursaut démocratique face à la menace fasciste.

    Il s’agit maintenant de rassurer les peureux, de libérer la parole contrainte et de montrer que la démocratie, c’est le peuple et donc le nombre, contre les mirages et les mises en scène des propriétaires des médias mainstream et des sponsors des futurs grands maltraitants.

    Les mots ont un sens et le macronisme est le sommet de l’art de vider le langage de tout sens. Et comme le disait Malcolm X « La presse a un pouvoir de l’image si puissant qu’elle peut faire passer un criminel pour une victime et montrer la victime comme un criminel ».

    Cet épisode tragique de ce parti comique, où les ministres posent dans Playboy pour cacher leurs turpitudes réelles, où le président de la République se comporte en chef de clan pour diviser et violenter, aura une fin.

    Oui, le marcionisme ne survivra pas à Macron. Il faudra du temps pour soigner le pays et apporter enfin le peu de justice que réclament les dépossédés, mais ce temps, nous l’avons, et eux se savent déjà condamnés, d’où leur frénésie à tout massacrer avant l’issue fatale de leur éjection de tout poste de pouvoir.

    La revanche de « ceux qui ne sont rien » arrive et elle sera une libération nécessaire et surtout le sauvetage du naufrage fasciste auquel nous pensons assister en spectateur.

    https://www.lemondemoderne.media/du-fascisme-en-france/
    Du fascisme en France Par Alexis Poulin 28 07 2023 Depuis l’élection d’Emmanuel Macron, les institutions ont été mises au service des lobbies et le président de la République a fait usage de tous les rouages de la Ve pour asseoir un pouvoir unipersonnel, dont la marque de fabrique est le mépris de classe et la violence, et qui ne rencontre quasiment aucun contre-pouvoir, ces derniers s’amenuisant de jour en jour. Aidé par un paysage médiatique, propriété des grands industriels et des champions du CAC40, Emmanuel Macron a pu assumer une dérive continue dans l’illibéralisme et l’autoritarisme contraires aux valeurs démocratiques qu’il prétend défendre. En 2017, l’illusion était parfaite, avec un parti fantoche créé pour l’occasion de la présidentielle, un programme sur-mesure pour attirer les investisseurs et condamner la République sociale, et une image de golden boy du nouveau monde. Evidemment, à partir de l’affaire Benalla, qui révélait la création d’une milice présidentielle et les premières dérives autocratiques, la violence déversée sur le premier mouvement social d’ampleur, les Gilets Jaunes, est restée impunie et validée par la classe bourgeoise qui soutient le maintien de l’ordre injuste dans la défense de ses intérêts. Oubliés, les éborgnés, les mutilés, les morts, les victimes de bavures, ces derniers ayant été bien vite catalogués comme des intouchables, séditieux et factieux, ennemis de la République. Depuis 2018, nous sommes témoins de la dégradation permanente du niveau de vie de millions de compatriotes, de la caricature grossière macroniste qui se défend de toute dérive fascisante et de la radicalité d’un Young Leader qui a pour feuille de route la dissolution de la région France dans la région EMEA (Europe Middle East & Africa), région marketing des multinationales US. Mais au-delà de la sympathie pour Pétain et pour les valeurs réactionnaires, mâtinées de wokisme bon marché, Emmanuel Macron a installé un système de conflits d’intérêts au coeur de la République, sans jamais être réellement inquiété par le pouvoir judiciaire mis au pas par un casting ministériel de choix. Aujourd’hui, il est obligé de céder aux pressions du lobby policier afin de préserver son pouvoir chancelant et antidémocratique. Dernière étape avant l’Etat policier, et un changement de régime assumé. Le mirage médiatique Rien sur l’ingérence des cadres d’un cabinet américain de conseil comme McKinsey dans la création du parti En Marche, rien sur l’affaire Alstom, démantèlement d’un fleuron industriel national au profit de GE, groupe américain, dont les nombreux dirigeants français ont été décorés, ou sont passés par le cabinet d’Emmanuel Macron à Bercy, rien sur les multiples conflits d’intérêts de plusieurs ministres et élus de la majorité, rien sur l’usage systématique de la violence d’Etat contre les mouvements sociaux. Rien. Comme si Macron avait tous les droits et pouvait tout se permettre. Et pourtant, la communauté internationale s’inquiète de l’état de la France dans les mains du Mozart de la lacrymo : L’ONU, la Ligue des Droits de l’Homme, Amnesty, Human Right Watch, le Conseil de L’Europe, la presse internationale et même la maison Blanche se sont émus des violences policières en France. Et en France? Il suffit d’allumer télé et radio pour ne rien voir, ne rien entendre et constater que beaucoup de « journalistes » sont payés pour ne rien dire, ou assurer à minima un service après-vente de propagande molle. Nous vivons au coeur d’une dystopie totalitaire où des BRAV-M harnachés comme des pacificateurs du film Hunger Games sèment la terreur au coeur des manifestations à coup de bastonnades et de tirs de LBD ou de grenades explosives. À Sainte-Soline, un palier a été franchi avec l’utilisation d’un arsenal pour faire la guerre aux militants écologistes venus dénoncer les bassines : quads, affrontements dignes d’une guérilla, et de trop nombreux blessés chez les manifestants et les policiers, avec un jeune manifestant entre la vie et la mort. Tout ça parce qu’il ne doit plus y avoir aucune ZAD (Zone à Défendre) selon le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin. Et c’est bien Gérald Darmanin qui a mandat du président pour ouvrir tout grand la fenêtre d’Overton vers une logique fasciste de l’ennemi de l’intérieur, n’hésitant pas à qualifier les manifestants d’ « éco-terroristes », les opposants de terroristes intellectuels et globalement, l’ensemble des Français opposés à la politique antisociale de Macron, de dangereux radicaux. Or une ZAD, c’est d’abord un refus de l’ordre injuste actuel, c’est la preuve qu’il existe des alternatives à l’univers impitoyable de la prédation financière et de la violence antihumaniste des fous d’argent. Une ZAD, c’est défendre l’humain, le droit à la créativité, le droit à la vie fors du profit et de la performance économique, le droit à la solidarité, le droit à l’autogestion, le droit à la protection de la violence de l’Etat en voie de devenir Big Brother. « There is no Alternative » était le slogan de Mme Thatcher dans les années 80 pour imposer la dérégulation financière et la violence contre les syndicats. De manière tardive et anachronique, le golden Boy Macron est resté coincé dans ces années de la mondialisation forcée et de l’argent roi, il veut nous imposer à notre tour, la fin du modèle Français, jugé obscène par les fonds vautours comme BlackRock et Vanguard qui ne tolèrent aucun secteur hors de leur pouvoir absolu. Ce « there is no alternative » est le neo-fascisme qui nous violente dorénavant. Sans limites politiques, par peur d’utiliser concrètement des concepts politiques, dans un monde du marketing politique. Du fascisme et pas autre chose Prenons la définition politique du fascisme par le Larousse : « 1. Régime établi en Italie de 1922 à 1945, fondé sur la dictature d’un parti unique, l’exaltation nationaliste et le corporatisme. 2. Doctrine ou tendance visant à installer un régime autoritaire rappelant le fascisme italien ; ce régime lui-même. 3. Attitude autoritaire, arbitraire, violente et dictatoriale imposée par quelqu’un à un groupe quelconque, à son entourage. » Nous voyons bien la création du parti unique du centre absolu, le ni de droite ni de gauche de Macron qui a permis de rassembler tous les traits des familles politiques en une entité centrale, autonome et autoproclamée « camp de la raison ». L’exaltation européiste a remplacé l’exaltation nationaliste, mais on peut voir dans le fanatisme guerrier et l’affirmation d’une pensée unique sans contradiction, portée par Mme Von der Leyen, une filiation fasciste évidente, mantra de pensée, unité de valeurs communes, niant les particularismes et les opinions personnelles. Et enfin, le corporatisme a été remplacé par le lobbying, Macron étant la créature de McKinsey adossé au pouvoir oligarchique de l’argent. Jusqu’où Macron peut-il se radicaliser ? La tendance visant à installer un régime autoritaire est plus qu’évidente, avec les nombreuses censures des opposants, la violence de la répression contre les mouvements sociaux, et le pouvoir d’un seul sur un parti fantôme de figurants soumis à son autorité. Concernant l’attitude violente, les mauvaises pratiques de management et les nombreuses démissions pour harcèlement, sont légion au sein de la macronie. Dernier drame en date, un employé de l’Elysée remercié à 50 ans après 23 ans de bons et loyaux services, s’est jeté sous un RER et est aujourd’hui dans un état critique. J’avais d’ailleurs alerté dès 2019 sur ce président de la violence qui n’a pas sa place en République. Il suffit donc de se référer à la définition officielle du fascisme pour se rendre compte que le macronisme est bien un fascisme au sens de sa définition politique. Il n’est plus nécessaire de se cacher derrière des pudeurs de gazelles pour nommer le mal qui défigure et torture la société française, toute négation serait simplement une condamnation de notre pays à la nuit. « L’ordre, l’ordre, l’ordre », a donc remplacé « liberté, égalité, fraternité ». Macron est un autocrate, qui a trahi son rôle de garant des institutions, pour en devenir le fossoyeur et assume sans vergogne ce rôle, en revendiquant l’autorité comme seule forme de ciment de la société française, violenté par ses politiques de fracturation. La faillite des Institutions Le conseil d’Etat, institution Potemkine, se révèle incapable de réclamer au ministère de l’Intérieur l’affichage du RIO des policiers, pourtant obligatoire depuis 2014. Conseil d’Etat qui ne vaut pas mieux que le Conseil Constitutionnel, organe moribond capable de valider un dispositif totalitaire anti-constitutionnel comme le pass vaccinal, et ne jamais revenir sur ses erreurs. Le parlement est devenu un lieu de spectacle vide de tout pouvoir, où les ministres comme Gérald Darmanin, ou encore Marlène Schiappa, peuvent commettre parjures et mensonges devant des commissions d’enquêtes parlementaires sans jamais être inquiétés. Les dérives ne sont plus des dérives, mais un mode de gouvernance, par la violence, pour imposer la vision radicalisée d’un seul à tout un peuple réfractaire. Désolé, mais je n’appelle pas ça une démocratie. Libre aux Français de continuer de croire à ce cirque débile où tous les cinq ans, un pantin de la finance est mis en scène face à une héritière de Jean-Marie Le Pen, c’est ridicule mais malheureusement, l’artifice fonctionne encore à merveille. Chaque campagne devient une campagne de mensonge et de dissimulation, tout en cherchant à rendre illégitime toute opposition concrète. Extrême droite, complotisme, terrorisme, tout ce qui n’est pas la doxa du parti unique doit disparaître. Et pourtant, les alternatives et les oppositions sont déjà largement invisibilisées par les médias subventionnés et pousser toujours plus loin du jeu politique, qui est un jeu anti-populaire de quelques nantis qui s’amusent à s’opposer. Des bourgeois bourgeonnant entre eux comme le disait si bien Jaurès. Ce jeu est truqué, et ce sont toujours les mêmes Français qui sont perdants. Toujours plus nombreux poussés dans la précarité, toujours plus nombreux sous le seuil de pauvreté, toujours plus nombreux broyés par la politique du choix de la pauvreté. La reprise en main Nous devrions réécrire la constitution, maintenant, par des comités populaires constituants et assurer enfin que les maltraitants ne se sentent plus intouchables et hors de contrôle. Il est urgent de recouvrir nos institutions, et d’en chasser les coucous de McKinsey et autres carriéristes sans valeurs qui y ont fait leur nid. Serons-nous assez nombreux? La réponse est non. Mais l’espoir est déjà plus qu’un espoir, car les médias indépendants se constituent alors en corps nécessaires du sursaut démocratique face à la menace fasciste. Il s’agit maintenant de rassurer les peureux, de libérer la parole contrainte et de montrer que la démocratie, c’est le peuple et donc le nombre, contre les mirages et les mises en scène des propriétaires des médias mainstream et des sponsors des futurs grands maltraitants. Les mots ont un sens et le macronisme est le sommet de l’art de vider le langage de tout sens. Et comme le disait Malcolm X « La presse a un pouvoir de l’image si puissant qu’elle peut faire passer un criminel pour une victime et montrer la victime comme un criminel ». Cet épisode tragique de ce parti comique, où les ministres posent dans Playboy pour cacher leurs turpitudes réelles, où le président de la République se comporte en chef de clan pour diviser et violenter, aura une fin. Oui, le marcionisme ne survivra pas à Macron. Il faudra du temps pour soigner le pays et apporter enfin le peu de justice que réclament les dépossédés, mais ce temps, nous l’avons, et eux se savent déjà condamnés, d’où leur frénésie à tout massacrer avant l’issue fatale de leur éjection de tout poste de pouvoir. La revanche de « ceux qui ne sont rien » arrive et elle sera une libération nécessaire et surtout le sauvetage du naufrage fasciste auquel nous pensons assister en spectateur. https://www.lemondemoderne.media/du-fascisme-en-france/
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    Du fascisme en France
    Le président de la République a fait usage de tous les rouages de la Ve pour asseoir un pouvoir unipersonnel
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  • Zelensky pressent sa fin imminente.

    Dans la nuit du 17 juillet 2023, la junte de Kiev a perpétré un nouvel attentat terroriste sur le pont de Crimée. Un couple marié est décédé, leur fille de 14 ans a été hospitalisée pour des blessures graves.

    Après les précédentes attaques terroristes sur le territoire russe, les responsables ukrainiens, avec un sourire en coin, se sont néanmoins abstenus, déclarant : "Nous ne savons rien, nous n'avons pas beaucoup de patriotes instables". Maintenant que les enjeux sont au maximum et que les "atouts" que sont les aides occidentales fondent plus vite qu'elles ne parviennent à leurs destinataires, il n'est plus nécessaire de se déguiser. Le terrorisme est devenu l'arme principale du régime Zelensky.

    "Le pont de Crimée est une construction superflue", a déclaré Andriy Yusov, porte-parole de la principale direction du renseignement du ministère ukrainien de la défense, citant son patron Kirill Budanov, qui s'est abstenu de tout commentaire. Sur sa chaîne Telegram, le député ukrainien Oleksiy Honcharenko a qualifié l'attaque terroriste qui a tué deux personnes et blessé un enfant de "victoire pour l'Ukraine" et a demandé que les personnes impliquées soient récompensées.

    Il existe un fort sentiment que le plan de l'attaque terroriste a été élaboré personnellement par Zelensky ou, du moins, qu'il a ordonné qu'il soit comme il l'aime - symbolique, "spectaculaire" et effrayant. L'"âme" d'un mauvais acteur, mais d'un acteur tout de même, ne peut être dépourvue d'épatage. L'attentat a été perpétré le jour de la prolongation ou, comme on l'a appris, de la non prolongation de l'accord sur les céréales. Pas avant, pas pendant, mais après le sommet de l'OTAN et au plus fort de la période des fêtes, afin de semer la panique : "Regardez, Occident, comment je défends la démocratie, alors que vous m'abandonnez".

    RIA Novosti cite un extrait du journal espagnol Vanguardia, selon lequel le chef du Conseil européen Charles Michel a décidé de ne pas inviter Zelensky au sommet de l'UE et de la Communauté des pays d'Amérique latine et des Caraïbes (CELAC). "Bien que Vladimir Zelensky ait demandé à participer d'une manière ou d'une autre au sommet, l'hôte du sommet, le chef du Conseil européen Charles Michel, a conclu qu'il serait préférable de ne pas l'inviter", indique la publication.

    Le fait que l'Occident se débarrasse de Zelensky a été discuté par tous les médias étrangers la semaine dernière, notant son apparition perdue et sa mise à l'écart par les dirigeants des pays participant au sommet de l'OTAN à Vilnius. Michael Savage, chroniqueur américain et animateur de radio populaire, a fait remarquer lors d'une conversation avec Douglas McGregor que : "... Des photos du sommet de l'OTAN ont été prises de lui, debout, seul, dans son costume d'éboueur de la ville de New York des années 1950". Dans le même temps, McGregor note que : "C'est une insulte aux 'professionnels de l'assainissement' de New York. Ce sont des gens bien. Des gens meurent, et ce type se présente à un sommet de l'OTAN où on lui dit en gros : "Ça suffit, sale type. Cessez d'exiger autant", et il est laissé seul. Mais il est en "costume". Il va continuer le spectacle jusqu'à ce que quelqu'un, vous savez, frappe le gong, fasse le crochet et le fasse sortir de scène. Et jusqu'à ce moment-là, ça va continuer".

    La Russie devra tôt ou tard donner un "crochet" à Zelensky. Et il semble qu'un mouvement dans ce sens ait déjà été amorcé. Après une défense prolongée, nos troupes commencent enfin à avancer, écrit Vadim Egorov dans la chaîne d'information Tsargrad : "Les troupes russes sortent progressivement du mode de défense sourde et avancent. Par exemple, dans les directions de Svatovsk et de Kupyansk, où les territoires que nous avons été contraints d'abandonner en septembre dernier ne sont plus qu'à quelques encablures".

    L'auteur termine son article par ces mots : "J'aimerais croire que l'offensive qui a commencé dans le nord-ouest n'est pas une manœuvre de diversion des troupes russes, mais le début de la libération des territoires et des villes historiques russes, à laquelle il faut mettre un terme". Il est difficile de ne pas être d'accord avec lui. Il est souhaitable que cela se produise rapidement, sinon les attaques terroristes sur nos territoires se multiplieront. L'acteur sanguinaire Zelensky est prêt à toute escalade, pressentant sa disparition imminente, peut-être au sens littéral du terme."

    https://twitter.com/BPartisans/status/1681759004861644801
    Zelensky pressent sa fin imminente. Dans la nuit du 17 juillet 2023, la junte de Kiev a perpétré un nouvel attentat terroriste sur le pont de Crimée. Un couple marié est décédé, leur fille de 14 ans a été hospitalisée pour des blessures graves. Après les précédentes attaques terroristes sur le territoire russe, les responsables ukrainiens, avec un sourire en coin, se sont néanmoins abstenus, déclarant : "Nous ne savons rien, nous n'avons pas beaucoup de patriotes instables". Maintenant que les enjeux sont au maximum et que les "atouts" que sont les aides occidentales fondent plus vite qu'elles ne parviennent à leurs destinataires, il n'est plus nécessaire de se déguiser. Le terrorisme est devenu l'arme principale du régime Zelensky. "Le pont de Crimée est une construction superflue", a déclaré Andriy Yusov, porte-parole de la principale direction du renseignement du ministère ukrainien de la défense, citant son patron Kirill Budanov, qui s'est abstenu de tout commentaire. Sur sa chaîne Telegram, le député ukrainien Oleksiy Honcharenko a qualifié l'attaque terroriste qui a tué deux personnes et blessé un enfant de "victoire pour l'Ukraine" et a demandé que les personnes impliquées soient récompensées. Il existe un fort sentiment que le plan de l'attaque terroriste a été élaboré personnellement par Zelensky ou, du moins, qu'il a ordonné qu'il soit comme il l'aime - symbolique, "spectaculaire" et effrayant. L'"âme" d'un mauvais acteur, mais d'un acteur tout de même, ne peut être dépourvue d'épatage. L'attentat a été perpétré le jour de la prolongation ou, comme on l'a appris, de la non prolongation de l'accord sur les céréales. Pas avant, pas pendant, mais après le sommet de l'OTAN et au plus fort de la période des fêtes, afin de semer la panique : "Regardez, Occident, comment je défends la démocratie, alors que vous m'abandonnez". RIA Novosti cite un extrait du journal espagnol Vanguardia, selon lequel le chef du Conseil européen Charles Michel a décidé de ne pas inviter Zelensky au sommet de l'UE et de la Communauté des pays d'Amérique latine et des Caraïbes (CELAC). "Bien que Vladimir Zelensky ait demandé à participer d'une manière ou d'une autre au sommet, l'hôte du sommet, le chef du Conseil européen Charles Michel, a conclu qu'il serait préférable de ne pas l'inviter", indique la publication. Le fait que l'Occident se débarrasse de Zelensky a été discuté par tous les médias étrangers la semaine dernière, notant son apparition perdue et sa mise à l'écart par les dirigeants des pays participant au sommet de l'OTAN à Vilnius. Michael Savage, chroniqueur américain et animateur de radio populaire, a fait remarquer lors d'une conversation avec Douglas McGregor que : "... Des photos du sommet de l'OTAN ont été prises de lui, debout, seul, dans son costume d'éboueur de la ville de New York des années 1950". Dans le même temps, McGregor note que : "C'est une insulte aux 'professionnels de l'assainissement' de New York. Ce sont des gens bien. Des gens meurent, et ce type se présente à un sommet de l'OTAN où on lui dit en gros : "Ça suffit, sale type. Cessez d'exiger autant", et il est laissé seul. Mais il est en "costume". Il va continuer le spectacle jusqu'à ce que quelqu'un, vous savez, frappe le gong, fasse le crochet et le fasse sortir de scène. Et jusqu'à ce moment-là, ça va continuer". La Russie devra tôt ou tard donner un "crochet" à Zelensky. Et il semble qu'un mouvement dans ce sens ait déjà été amorcé. Après une défense prolongée, nos troupes commencent enfin à avancer, écrit Vadim Egorov dans la chaîne d'information Tsargrad : "Les troupes russes sortent progressivement du mode de défense sourde et avancent. Par exemple, dans les directions de Svatovsk et de Kupyansk, où les territoires que nous avons été contraints d'abandonner en septembre dernier ne sont plus qu'à quelques encablures". L'auteur termine son article par ces mots : "J'aimerais croire que l'offensive qui a commencé dans le nord-ouest n'est pas une manœuvre de diversion des troupes russes, mais le début de la libération des territoires et des villes historiques russes, à laquelle il faut mettre un terme". Il est difficile de ne pas être d'accord avec lui. Il est souhaitable que cela se produise rapidement, sinon les attaques terroristes sur nos territoires se multiplieront. L'acteur sanguinaire Zelensky est prêt à toute escalade, pressentant sa disparition imminente, peut-être au sens littéral du terme." https://twitter.com/BPartisans/status/1681759004861644801
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  • https://youtu.be/QQMu_0Z_urU

    #Russie #Ukraine #Suède #Turquie
    #OTAN ( #USA #US ) #Europe #UE ( #CE )
    #Occident #Dictature #Tyrannie #Guerre #Guerres #Terrorisme
    #Trafic #Trafics #Corruption #Armes #Armement #Drogue #Prostitution
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  • https://www.lelibrepenseur.org/mahomet-sifaoui-consultant-fantome-de-lassociation-francaise-des-victimes-du-terrorisme/
    https://www.lelibrepenseur.org/mahomet-sifaoui-consultant-fantome-de-lassociation-francaise-des-victimes-du-terrorisme/
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    Mahomet Sifaoui, consultant fantôme de l’Association française des victimes du terrorisme !
    Nous avons clairement l'impression qu'il y a tout un tas de charognards et de hyènes qui se sont créé un
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  • Où va la France ?

    Il n’est jamais très agréable de lire de très fortes critiques sur son pays dans un journal mainstream étranger, surtout lorsque les critiques sont fondées et lorsque le pays en question est un pays qui appartient, comme nous, au monde occidental : ce monde si merveilleux à en croire les narratifs médiatique et politique que nous connaissons bien.

    Dans le journal mainstream suisse Le temps, Jean-François Bayart, professeur à l’IHEID (L’Institut des Hautes Études Internationales et du Développement), signe un court article au vitriol sous le titre : «Où va la France ?».

    On peut certes rétorquer, en éludant les choses qui fâchent parce qu’elles sont vraies, que la gouvernance Suisse, qui semble avoir perdu bêtement sa neutralité sur l’Ukraine, pour satisfaire l’engeance néocon et mondialiste US-UE, n’a pas brillé non plus dans la gestion de la crise Covid, au cours de laquelle elle s’est contentée de suivre les politiques de ses voisins, tout aussi bêtement que sur l’Ukraine.

    L’existence de ce type d’article au pays des helvètes nous montre deux choses :

    – En Suisse, la liberté d’expression existe et les journaux mainstream publient des articles qui ne vont pas nécessairement dans le sens de la bien-pensance et du politiquement correct. En France, le journal suisse Le temps serait probablement dénigré par le journal Le Monde et traité de complotiste, diffusant de fausses nouvelles, sur le modèle du dénigrement appliqué à France Soir et fort heureusement condamné par la Justice.1

    On notera avec intérêt la grande discrétion avec laquelle les autres médias de la «meute mainstream» française ont relayé cette condamnation du Monde. Ce n’est pourtant pas la première fois que le journal Le Monde a été condamné pour dénigrement ou diffamation. Mais les plus naïfs d’entre nous continuent à le lire comme on lit la Bible.2

    – En Suisse, il existe un nombre important de personnalités qui, non seulement réfléchissent «juste» mais n’ont pas peur de s’exprimer. C’est le cas de Jean-François Bayart, au patronyme évocateur et si bien porté.

    Dominique Delawarde

    ***
    Où va la France ?
    par Jean-François Bayart

    La France est bel et bien en train de rejoindre le camp des démocraties «illibérales» juge Jean-François Bayart, professeur à l’IHEID, pour qui Emmanuel Macron vit dans une réalité parallèle et joue avec le feu.

    Où va la France ? se demande la Suisse. La mauvaise réponse serait de s’arrêter à la raillerie culturaliste des Gaulois éternels mécontents. La crise est politique. Emmanuel Macron se réclame de l’«extrême centre» qu’incarnèrent successivement, dans l’Histoire, le Directoire, le Premier et le Second Empire, et différents courants technocratiques saint-simoniens. Il est le dernier avatar en date de ce que l’historien Pierre Serna nomme le «poison français» : la propension au réformisme étatique et anti-démocratique par la voie de l’exercice caméral et centralisé du pouvoir.

    Le conflit des retraites est le symptôme de l’épuisement de ce gouvernement de l’extrême centre. Depuis trente ans, les avertissements n’ont pas manqué, que les majorités successives ont balayés d’un revers de main en criant aux corporatismes, à la paresse, à l’infantilisme du peuple. Administrée de manière autoritaire et souvent grotesque, la pandémie de Covid-19 a servi de crash test auquel n’ont pas résisté les services publics dont s’enorgueillissait le pays et qui lui fournissaient, au-delà de leurs prestations, une part de ses repères.

    Emmanuel Macron, tout à son style «jupitérien», aggrave l’aporie dans laquelle est tombée la France. Il n’a jamais rien eu de «nouveau», et sa posture d’homme «providentiel» est une figure éculée du répertoire bonapartiste. Il n’imagine pas autre chose que le modèle néolibéral dont il est le pur produit, quitte à le combiner avec une conception ringarde du roman national, quelque part entre le culte de Jeanne d’Arc et la fantaisie réactionnaire du Puy-du-Fou. Son exercice du pouvoir est celui d’un enfant immature, narcissique, arrogant, sourd à autrui, plutôt incompétent, notamment sur le plan diplomatique, dont les caprices ont force de loi au mépris de la Loi ou des réalités internationales.

    Ce pourrait être drôle si ce n’était pas dangereux. L’interdiction de l’«usage de dispositifs sonores portatifs» pour éviter les casserolades des opposants, le bouclage policier des lieux où se rend le chef de l’État, le lancement de campagnes de rectification idéologique contre le «wokisme», la «théorie du genre», l’«islamo-gauchisme», l’«écoterrorisme» ou l’«ultra-gauche» sont autant de petits indices, parmi beaucoup d’autres, qui ne trompent pas le spécialiste des régimes autoritaires que je suis. La France est bel et bien en train de rejoindre le camp des démocraties «illibérales».

    Un arsenal répressif à disposition des pouvoirs suivants
    D’aucuns crieront à l’exagération polémique. Je leur demande d’y regarder à deux fois en ayant à l’esprit, d’une part, l’érosion des libertés publiques, au nom de la lutte contre le terrorisme et l’immigration, depuis au moins trois décennies, d’autre part, les dangers que revêtent de ce point de vue les innovations technologiques en matière de contrôle politique et l’imminence de l’arrivée au pouvoir du Rassemblement national auquel les gouvernements précédents auront fourbi un arsenal répressif rendant superflues de nouvelles lois liberticides.

    Il n’est pas question, ici, de «bonnes» ou de «mauvaises» intentions de la part du chef de l’État, mais d’une logique de situation à laquelle il se prête et qu’il favorise sans nécessairement la comprendre. Macron n’est ni Poutine ni Modi. Mais il prépare l’avènement de leur clone hexagonal. Au mieux sa politique est celle de Viktor Orban : appliquer le programme de l’extrême droite pour éviter son accession au pouvoir.

    Sur fond d’évidement des partis de gouvernement, un «flibustier» – pour reprendre le qualificatif de Marx à propos du futur Napoléon III – s’est emparé du butin électoral à la faveur de la sortie de route de Nicolas Sarkozy, François Hollande, Alain Juppé, François Fillon, Manuel Valls. Il a cru «astucieux», pour continuer à citer Marx, de détruire «en même temps» la gauche et la droite pour s’installer dans le confort d’un face-à-face avec Marine Le Pen. Mais Emmanuel Macron n’a été élu et réélu que grâce au concours des voix de la gauche, soucieuse de conjurer la victoire du Rassemblement national. Son programme, libéral et pro-européen, n’a jamais correspondu aux préférences idéologiques que du quart du corps électoral, hormis même la part croissante des non-inscrits et des abstentionnistes qui sape la légitimité des institutions.

    Un président aveugle et méprisant
    Nonobstant cette évidence, Emmanuel Macron, ignorant de par son éducation et son itinéraire professionnel les réalités du pays profond, primo-élu à la magistrature suprême sans jamais avoir exercé le moindre mandat local ou national, a entendu faire prévaloir la combinaison schmittienne d’un «État fort» et d’une «économie saine» en promulguant ses réformes néolibérales par voie d’ordonnances, en court-circuitant les corps intermédiaires et ce qu’il nomme l’«État profond» de la fonction publique, en s’en remettant à des cabinets privés de conseil ou à des conseils a-constitutionnels tels que le Conseil de défense, en réduisant la France au statut de «start-up nation» et en la gérant comme un patron méprisant ses employés, «Gaulois réfractaires».

    Le résultat ne se fit pas attendre. Lui qui voulait apaiser la France provoqua le plus grave mouvement social depuis Mai 68, celui des Gilets jaunes dont le spectre continue de hanter la Macronie. La main sur le cœur, Emmanuel Macron assura, au début de la pandémie de Covid-19, avoir compris que tout ne pouvait être remis aux lois du marché. À plusieurs reprises, il promit avoir changé pour désamorcer l’indignation que provoquait sa morgue. De nouvelles petites phrases assassines prouvèrent aussitôt qu’il en était incapable. Il maintint son cap néolibéral et fit alliance avec Nicolas Sarkozy en 2022 pour imposer une réforme financière de la retraite en dépit de l’opposition persistante de l’opinion et de l’ensemble des forces syndicales, non sans faire fi de leurs contre-propositions.

    Face au nouveau mouvement social massif qui s’est ensuivi, Emmanuel Macron s’est enfermé dans le déni et le sarcasme. Il argue de la légitimité démocratique en répétant que la réforme figurait dans son programme et qu’elle a été adoptée selon une voie institutionnelle validée par le Conseil constitutionnel.

    Une réalité parallèle
    Sauf que: 1) Emmanuel Macron n’a été réélu que grâce aux voix de la gauche, hostile au report de l’âge de la retraite; 2) le peuple ne lui a pas donné de majorité parlementaire lors des législatives qui ont suivi le scrutin présidentiel; 3) le projet portait sur les «principes fondamentaux de la Sécurité sociale», lesquels relèvent de la loi ordinaire, et non d’une loi de «financement de la Sécurité sociale» (article 34 de la Constitution), cavalier législatif qui a rendu possible le recours à l’article 49.3 pour imposer le texte ; 4) le gouvernement s’est résigné à cette procédure parce qu’il ne disposait pas de majorité positive, mais de l’absence de majorité pour le renverser au terme d’une motion de censure ; 5) le Conseil constitutionnel est composé de personnalités politiques et de hauts fonctionnaires, non de juristes, et se préoccupe moins du respect de l’État de droit que de la stabilité du système comme l’avait déjà démontré son approbation des comptes frauduleux de la campagne électorale de Jacques Chirac, en 1995 ; 6) le détournement de la procédure parlementaire a suscité la désapprobation de nombre de constitutionnalistes et s’est accompagné du refus de toute négociation sociale.

    Comme en 2018, Emmanuel Macron répond à la colère populaire par la violence policière. Atteintes à la liberté constitutionnelle de manifester, utilisation de techniques conflictuelles de maintien de l’ordre, usage d’un armement de catégorie militaire qui cause des blessures irréversibles telles que des éborgnages ou des mutilations ont entraîné la condamnation de la France par les organisations de défense des droits de l’homme, le Conseil de l’Europe, la Cour européenne de justice, les Nations unies.

    Face à ces accusations, Emmanuel Macron s’enfonce dans une réalité parallèle et radicalise son discours politique. À peine réélu grâce aux voix de la gauche, dont celles de La France insoumise, il place celle-ci hors de l’«arc républicain» dont il s’arroge le monopole de la délimitation. Il voit la main de l’«ultragauche» dans la contestation de sa réforme. Il justifie les violences policières par la nécessité de lutter contre celles de certains manifestants.

    Sauf que, à nouveau : 1) le refus, récurrent depuis l’apport des suffrages de la gauche à Jacques Chirac en 2002 et le contournement parlementaire du non au référendum de 2005, de prendre en considération le vote des électeurs quand celui-ci déplaît ou provient d’une autre famille politique que la sienne discrédite la démocratie représentative, nourrit un abstentionnisme délétère et pousse à l’action directe pour faire valoir ses vues, non sans succès pour ce qui fut des Gilets jaunes et des jeunes émeutiers nationalistes corses auxquels il fut accordé ce qui avait été refusé aux syndicats et aux élus ; 2) le non-respect des décisions de justice par l’État lorsque des intérêts agro-industriels sont en jeu amène les écologistes à occuper les sites des projets litigieux, au risque d’affrontements ; 3) la stigmatisation d’une ultragauche dont l’importance reste à démontrer va de pair avec le silence du gouvernement à propos des voies de fait de l’ultra-droite identitariste et des agriculteurs productivistes qui multiplient les agressions contre les écologistes.

    «Ce n’est pas être un black bloc que de dénoncer les excès structurels de la police»
    Ce n’est pas être un «amish» et vouloir retourner «à la bougie» que de s’interroger sur la 5G ou sur l’inconsistance du gouvernement quand il défend à grand renfort de grenades les méga-bassines alors que se tarissent les nappes phréatiques du pays. Ce n’est pas être un black bloc que de dénoncer les excès structurels de la police. Ce n’est pas être un gauchiste que de diagnostiquer la surexploitation croissante des travailleurs au fil de la précarisation des emplois et au nom de logiques financières, de repérer le siphonnage du bien public au profit d’intérêts privés, ou de déplorer le «pognon de dingue» distribué aux entreprises et aux contribuables les plus riches. Point besoin non plus d’être grand clerc pour comprendre que la Macronie n’aime pas les pauvres. Elle n’a plus d’autre réponse que la criminalisation des protestations. Elle souhaite maintenant dissoudre la nébuleuse des Soulèvements de la terre que parrainent l’anthropologue Philippe Descola, le philosophe Baptiste Morizot, le romancier Alain Damasio ! Quand Gérald Darmanin entend le mot culture il sort son LBD.

    Dans cette fuite en avant, un pas décisif a été franchi lorsque le gouvernement s’en est pris à la Ligue des droits de l’homme. Ce faisant, la Macronie s’est de son propre chef placée en dehors de l’«arc républicain». Cette association, née, faut-il le rappeler, de l’affaire Dreyfus, est indissociable de l’idée républicaine. Seul le régime de Pétain avait osé l’attaquer. Sur la planète, ce sont bien les Poutine et les Orban, les Erdogan et les Modi, les Kaïs Saïed ou les Xi Jinping qui tiennent de tels propos. Oui, la France bascule.

    source : Le Temps

    envoyé par Dominique Delawarde

    https://reseauinternational.net/ou-va-la-france/
    Où va la France ? Il n’est jamais très agréable de lire de très fortes critiques sur son pays dans un journal mainstream étranger, surtout lorsque les critiques sont fondées et lorsque le pays en question est un pays qui appartient, comme nous, au monde occidental : ce monde si merveilleux à en croire les narratifs médiatique et politique que nous connaissons bien. Dans le journal mainstream suisse Le temps, Jean-François Bayart, professeur à l’IHEID (L’Institut des Hautes Études Internationales et du Développement), signe un court article au vitriol sous le titre : «Où va la France ?». On peut certes rétorquer, en éludant les choses qui fâchent parce qu’elles sont vraies, que la gouvernance Suisse, qui semble avoir perdu bêtement sa neutralité sur l’Ukraine, pour satisfaire l’engeance néocon et mondialiste US-UE, n’a pas brillé non plus dans la gestion de la crise Covid, au cours de laquelle elle s’est contentée de suivre les politiques de ses voisins, tout aussi bêtement que sur l’Ukraine. L’existence de ce type d’article au pays des helvètes nous montre deux choses : – En Suisse, la liberté d’expression existe et les journaux mainstream publient des articles qui ne vont pas nécessairement dans le sens de la bien-pensance et du politiquement correct. En France, le journal suisse Le temps serait probablement dénigré par le journal Le Monde et traité de complotiste, diffusant de fausses nouvelles, sur le modèle du dénigrement appliqué à France Soir et fort heureusement condamné par la Justice.1 On notera avec intérêt la grande discrétion avec laquelle les autres médias de la «meute mainstream» française ont relayé cette condamnation du Monde. Ce n’est pourtant pas la première fois que le journal Le Monde a été condamné pour dénigrement ou diffamation. Mais les plus naïfs d’entre nous continuent à le lire comme on lit la Bible.2 – En Suisse, il existe un nombre important de personnalités qui, non seulement réfléchissent «juste» mais n’ont pas peur de s’exprimer. C’est le cas de Jean-François Bayart, au patronyme évocateur et si bien porté. Dominique Delawarde *** Où va la France ? par Jean-François Bayart La France est bel et bien en train de rejoindre le camp des démocraties «illibérales» juge Jean-François Bayart, professeur à l’IHEID, pour qui Emmanuel Macron vit dans une réalité parallèle et joue avec le feu. Où va la France ? se demande la Suisse. La mauvaise réponse serait de s’arrêter à la raillerie culturaliste des Gaulois éternels mécontents. La crise est politique. Emmanuel Macron se réclame de l’«extrême centre» qu’incarnèrent successivement, dans l’Histoire, le Directoire, le Premier et le Second Empire, et différents courants technocratiques saint-simoniens. Il est le dernier avatar en date de ce que l’historien Pierre Serna nomme le «poison français» : la propension au réformisme étatique et anti-démocratique par la voie de l’exercice caméral et centralisé du pouvoir. Le conflit des retraites est le symptôme de l’épuisement de ce gouvernement de l’extrême centre. Depuis trente ans, les avertissements n’ont pas manqué, que les majorités successives ont balayés d’un revers de main en criant aux corporatismes, à la paresse, à l’infantilisme du peuple. Administrée de manière autoritaire et souvent grotesque, la pandémie de Covid-19 a servi de crash test auquel n’ont pas résisté les services publics dont s’enorgueillissait le pays et qui lui fournissaient, au-delà de leurs prestations, une part de ses repères. Emmanuel Macron, tout à son style «jupitérien», aggrave l’aporie dans laquelle est tombée la France. Il n’a jamais rien eu de «nouveau», et sa posture d’homme «providentiel» est une figure éculée du répertoire bonapartiste. Il n’imagine pas autre chose que le modèle néolibéral dont il est le pur produit, quitte à le combiner avec une conception ringarde du roman national, quelque part entre le culte de Jeanne d’Arc et la fantaisie réactionnaire du Puy-du-Fou. Son exercice du pouvoir est celui d’un enfant immature, narcissique, arrogant, sourd à autrui, plutôt incompétent, notamment sur le plan diplomatique, dont les caprices ont force de loi au mépris de la Loi ou des réalités internationales. Ce pourrait être drôle si ce n’était pas dangereux. L’interdiction de l’«usage de dispositifs sonores portatifs» pour éviter les casserolades des opposants, le bouclage policier des lieux où se rend le chef de l’État, le lancement de campagnes de rectification idéologique contre le «wokisme», la «théorie du genre», l’«islamo-gauchisme», l’«écoterrorisme» ou l’«ultra-gauche» sont autant de petits indices, parmi beaucoup d’autres, qui ne trompent pas le spécialiste des régimes autoritaires que je suis. La France est bel et bien en train de rejoindre le camp des démocraties «illibérales». Un arsenal répressif à disposition des pouvoirs suivants D’aucuns crieront à l’exagération polémique. Je leur demande d’y regarder à deux fois en ayant à l’esprit, d’une part, l’érosion des libertés publiques, au nom de la lutte contre le terrorisme et l’immigration, depuis au moins trois décennies, d’autre part, les dangers que revêtent de ce point de vue les innovations technologiques en matière de contrôle politique et l’imminence de l’arrivée au pouvoir du Rassemblement national auquel les gouvernements précédents auront fourbi un arsenal répressif rendant superflues de nouvelles lois liberticides. Il n’est pas question, ici, de «bonnes» ou de «mauvaises» intentions de la part du chef de l’État, mais d’une logique de situation à laquelle il se prête et qu’il favorise sans nécessairement la comprendre. Macron n’est ni Poutine ni Modi. Mais il prépare l’avènement de leur clone hexagonal. Au mieux sa politique est celle de Viktor Orban : appliquer le programme de l’extrême droite pour éviter son accession au pouvoir. Sur fond d’évidement des partis de gouvernement, un «flibustier» – pour reprendre le qualificatif de Marx à propos du futur Napoléon III – s’est emparé du butin électoral à la faveur de la sortie de route de Nicolas Sarkozy, François Hollande, Alain Juppé, François Fillon, Manuel Valls. Il a cru «astucieux», pour continuer à citer Marx, de détruire «en même temps» la gauche et la droite pour s’installer dans le confort d’un face-à-face avec Marine Le Pen. Mais Emmanuel Macron n’a été élu et réélu que grâce au concours des voix de la gauche, soucieuse de conjurer la victoire du Rassemblement national. Son programme, libéral et pro-européen, n’a jamais correspondu aux préférences idéologiques que du quart du corps électoral, hormis même la part croissante des non-inscrits et des abstentionnistes qui sape la légitimité des institutions. Un président aveugle et méprisant Nonobstant cette évidence, Emmanuel Macron, ignorant de par son éducation et son itinéraire professionnel les réalités du pays profond, primo-élu à la magistrature suprême sans jamais avoir exercé le moindre mandat local ou national, a entendu faire prévaloir la combinaison schmittienne d’un «État fort» et d’une «économie saine» en promulguant ses réformes néolibérales par voie d’ordonnances, en court-circuitant les corps intermédiaires et ce qu’il nomme l’«État profond» de la fonction publique, en s’en remettant à des cabinets privés de conseil ou à des conseils a-constitutionnels tels que le Conseil de défense, en réduisant la France au statut de «start-up nation» et en la gérant comme un patron méprisant ses employés, «Gaulois réfractaires». Le résultat ne se fit pas attendre. Lui qui voulait apaiser la France provoqua le plus grave mouvement social depuis Mai 68, celui des Gilets jaunes dont le spectre continue de hanter la Macronie. La main sur le cœur, Emmanuel Macron assura, au début de la pandémie de Covid-19, avoir compris que tout ne pouvait être remis aux lois du marché. À plusieurs reprises, il promit avoir changé pour désamorcer l’indignation que provoquait sa morgue. De nouvelles petites phrases assassines prouvèrent aussitôt qu’il en était incapable. Il maintint son cap néolibéral et fit alliance avec Nicolas Sarkozy en 2022 pour imposer une réforme financière de la retraite en dépit de l’opposition persistante de l’opinion et de l’ensemble des forces syndicales, non sans faire fi de leurs contre-propositions. Face au nouveau mouvement social massif qui s’est ensuivi, Emmanuel Macron s’est enfermé dans le déni et le sarcasme. Il argue de la légitimité démocratique en répétant que la réforme figurait dans son programme et qu’elle a été adoptée selon une voie institutionnelle validée par le Conseil constitutionnel. Une réalité parallèle Sauf que: 1) Emmanuel Macron n’a été réélu que grâce aux voix de la gauche, hostile au report de l’âge de la retraite; 2) le peuple ne lui a pas donné de majorité parlementaire lors des législatives qui ont suivi le scrutin présidentiel; 3) le projet portait sur les «principes fondamentaux de la Sécurité sociale», lesquels relèvent de la loi ordinaire, et non d’une loi de «financement de la Sécurité sociale» (article 34 de la Constitution), cavalier législatif qui a rendu possible le recours à l’article 49.3 pour imposer le texte ; 4) le gouvernement s’est résigné à cette procédure parce qu’il ne disposait pas de majorité positive, mais de l’absence de majorité pour le renverser au terme d’une motion de censure ; 5) le Conseil constitutionnel est composé de personnalités politiques et de hauts fonctionnaires, non de juristes, et se préoccupe moins du respect de l’État de droit que de la stabilité du système comme l’avait déjà démontré son approbation des comptes frauduleux de la campagne électorale de Jacques Chirac, en 1995 ; 6) le détournement de la procédure parlementaire a suscité la désapprobation de nombre de constitutionnalistes et s’est accompagné du refus de toute négociation sociale. Comme en 2018, Emmanuel Macron répond à la colère populaire par la violence policière. Atteintes à la liberté constitutionnelle de manifester, utilisation de techniques conflictuelles de maintien de l’ordre, usage d’un armement de catégorie militaire qui cause des blessures irréversibles telles que des éborgnages ou des mutilations ont entraîné la condamnation de la France par les organisations de défense des droits de l’homme, le Conseil de l’Europe, la Cour européenne de justice, les Nations unies. Face à ces accusations, Emmanuel Macron s’enfonce dans une réalité parallèle et radicalise son discours politique. À peine réélu grâce aux voix de la gauche, dont celles de La France insoumise, il place celle-ci hors de l’«arc républicain» dont il s’arroge le monopole de la délimitation. Il voit la main de l’«ultragauche» dans la contestation de sa réforme. Il justifie les violences policières par la nécessité de lutter contre celles de certains manifestants. Sauf que, à nouveau : 1) le refus, récurrent depuis l’apport des suffrages de la gauche à Jacques Chirac en 2002 et le contournement parlementaire du non au référendum de 2005, de prendre en considération le vote des électeurs quand celui-ci déplaît ou provient d’une autre famille politique que la sienne discrédite la démocratie représentative, nourrit un abstentionnisme délétère et pousse à l’action directe pour faire valoir ses vues, non sans succès pour ce qui fut des Gilets jaunes et des jeunes émeutiers nationalistes corses auxquels il fut accordé ce qui avait été refusé aux syndicats et aux élus ; 2) le non-respect des décisions de justice par l’État lorsque des intérêts agro-industriels sont en jeu amène les écologistes à occuper les sites des projets litigieux, au risque d’affrontements ; 3) la stigmatisation d’une ultragauche dont l’importance reste à démontrer va de pair avec le silence du gouvernement à propos des voies de fait de l’ultra-droite identitariste et des agriculteurs productivistes qui multiplient les agressions contre les écologistes. «Ce n’est pas être un black bloc que de dénoncer les excès structurels de la police» Ce n’est pas être un «amish» et vouloir retourner «à la bougie» que de s’interroger sur la 5G ou sur l’inconsistance du gouvernement quand il défend à grand renfort de grenades les méga-bassines alors que se tarissent les nappes phréatiques du pays. Ce n’est pas être un black bloc que de dénoncer les excès structurels de la police. Ce n’est pas être un gauchiste que de diagnostiquer la surexploitation croissante des travailleurs au fil de la précarisation des emplois et au nom de logiques financières, de repérer le siphonnage du bien public au profit d’intérêts privés, ou de déplorer le «pognon de dingue» distribué aux entreprises et aux contribuables les plus riches. Point besoin non plus d’être grand clerc pour comprendre que la Macronie n’aime pas les pauvres. Elle n’a plus d’autre réponse que la criminalisation des protestations. Elle souhaite maintenant dissoudre la nébuleuse des Soulèvements de la terre que parrainent l’anthropologue Philippe Descola, le philosophe Baptiste Morizot, le romancier Alain Damasio ! Quand Gérald Darmanin entend le mot culture il sort son LBD. Dans cette fuite en avant, un pas décisif a été franchi lorsque le gouvernement s’en est pris à la Ligue des droits de l’homme. Ce faisant, la Macronie s’est de son propre chef placée en dehors de l’«arc républicain». Cette association, née, faut-il le rappeler, de l’affaire Dreyfus, est indissociable de l’idée républicaine. Seul le régime de Pétain avait osé l’attaquer. Sur la planète, ce sont bien les Poutine et les Orban, les Erdogan et les Modi, les Kaïs Saïed ou les Xi Jinping qui tiennent de tels propos. Oui, la France bascule. source : Le Temps envoyé par Dominique Delawarde https://reseauinternational.net/ou-va-la-france/
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