• SE LIBÉRER DE LA FINANCE ÉTATIQUE DOMINÉE PAR LES BANQUIERS | VALÉRIE BUGAULT
    GÉOPOLITIQUE PROFONDE
    🛑Excellente émission avec Mike BOROWSKI, Valérie BUGAULT et N Bouvier

    Dans une ère marquée par la libération oligarchie financière, un nombre croissant de personnes cherche à sortir du système établi. La métaphore de sortir de la matrice, popularisée par le film "Matrix", résonne fortement avec ceux qui aspirent à la grande libération. Cette quête de liberté dépasse le simple désir de vivre sans argent ; elle symbolise un profond changement de système politique.

    La politique actuelle, incarnée par des figures comme Macron, est souvent perçue comme étant sous l'influence du contrôle financier mondial. Des centres de pouvoir comme Wall Street sont vus comme des bastions de la résistance bancaire, où le pouvoir des banquiers reste incontesté. Cette situation a engendré un débat entre démocratie vs oligarchie, où la souveraineté économique des nations et des individus est remise en question.

    La manipulation financière et la capitalisme critique sont devenues des sujets brûlants. L'influence oligarchique est de plus en plus scrutée par ceux qui appellent à une réforme financière globale pour contrer l'élite financière mondiale et relever le défi de la finance mondiale. Cette dynamique soulève des questions fondamentales sur le lien entre capitalisme et démocratie.

    Dans ce contexte, des penseurs comme Valérie Bugault abordent l'économie avec un regard critique, reliant droit et finance. L'idée d'un système bancaire réformé gagne du terrain, alimentant la lutte contre l'oligarchie. L'objectif est de parvenir à une autonomie financière qui serait le pilier d'une économie alternative. Au cœur de ces discussions se trouve l'idée d'une révolution financière, un changement radical qui redéfinirait notre rapport à l'argent et au pouvoir.


    https://youtu.be/0NRiWYfxnew
    SE LIBÉRER DE LA FINANCE ÉTATIQUE DOMINÉE PAR LES BANQUIERS | VALÉRIE BUGAULT GÉOPOLITIQUE PROFONDE 🛑Excellente émission avec Mike BOROWSKI, Valérie BUGAULT et N Bouvier Dans une ère marquée par la libération oligarchie financière, un nombre croissant de personnes cherche à sortir du système établi. La métaphore de sortir de la matrice, popularisée par le film "Matrix", résonne fortement avec ceux qui aspirent à la grande libération. Cette quête de liberté dépasse le simple désir de vivre sans argent ; elle symbolise un profond changement de système politique. La politique actuelle, incarnée par des figures comme Macron, est souvent perçue comme étant sous l'influence du contrôle financier mondial. Des centres de pouvoir comme Wall Street sont vus comme des bastions de la résistance bancaire, où le pouvoir des banquiers reste incontesté. Cette situation a engendré un débat entre démocratie vs oligarchie, où la souveraineté économique des nations et des individus est remise en question. La manipulation financière et la capitalisme critique sont devenues des sujets brûlants. L'influence oligarchique est de plus en plus scrutée par ceux qui appellent à une réforme financière globale pour contrer l'élite financière mondiale et relever le défi de la finance mondiale. Cette dynamique soulève des questions fondamentales sur le lien entre capitalisme et démocratie. Dans ce contexte, des penseurs comme Valérie Bugault abordent l'économie avec un regard critique, reliant droit et finance. L'idée d'un système bancaire réformé gagne du terrain, alimentant la lutte contre l'oligarchie. L'objectif est de parvenir à une autonomie financière qui serait le pilier d'une économie alternative. Au cœur de ces discussions se trouve l'idée d'une révolution financière, un changement radical qui redéfinirait notre rapport à l'argent et au pouvoir. https://youtu.be/0NRiWYfxnew
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  • 🇨🇵 QUESTION À EMMANUEL MACRON.
    Vous qui ne cessez de dire qu'on ne peut pas laisser gagner la Russie en Ukraine, pour quelles raisons exactement ?
    • Serait-ce car une Russie forte dirigée par Vladimir Poutine empêche vos amis du WEF de réaliser leur projet de gouvernance mondiale ?
    • Serait-ce parce que vos amis de BlackRock ont déjà investi massivement en Ukraine ?
    • Ou serait-ce car Vladimir Poutine souhaite changer le système monétaire mondial et la manière dont le marché de l'or est géré actuellement ?
    Peut-être un peu les trois ? 😉
    Comme l'affabulation totale d'un envahissement par la Russie des pays européens ne tient pas la route une seconde, il est évident que vos motivations ne sont pas celles des peuples européens mais celles de vos amis de l'oligarchie bancaire et financière.
    Pascal Laurent

    https://twitter.com/Pascal_Laurent_/status/1750482848371347880
    🇨🇵 QUESTION À EMMANUEL MACRON. Vous qui ne cessez de dire qu'on ne peut pas laisser gagner la Russie en Ukraine, pour quelles raisons exactement ? • Serait-ce car une Russie forte dirigée par Vladimir Poutine empêche vos amis du WEF de réaliser leur projet de gouvernance mondiale ? • Serait-ce parce que vos amis de BlackRock ont déjà investi massivement en Ukraine ? • Ou serait-ce car Vladimir Poutine souhaite changer le système monétaire mondial et la manière dont le marché de l'or est géré actuellement ? Peut-être un peu les trois ? 😉 Comme l'affabulation totale d'un envahissement par la Russie des pays européens ne tient pas la route une seconde, il est évident que vos motivations ne sont pas celles des peuples européens mais celles de vos amis de l'oligarchie bancaire et financière. Pascal Laurent https://twitter.com/Pascal_Laurent_/status/1750482848371347880
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  • 🔴 Pourquoi les exploitations agricoles sont-elles poussées à la faillite
    par Thomas Röper (🇩🇪)

    📍Les manifestations des agriculteurs qui font actuellement la une des journaux ne sont pas un phénomène allemand, mais le symptôme d'une politique mise en œuvre dans tout l'Occident pour redistribuer les terres agricoles des petits agriculteurs aux grandes entreprises. Mais ce n’est qu’une partie d’un programme beaucoup plus vaste.

    Les protestations des agriculteurs ne sont en aucun cas un phénomène allemand ; Ces dernières années, par exemple, des protestations massives d'agriculteurs ont eu lieu aux Pays-Bas. La raison en est le projet du gouvernement néerlandais de fermer jusqu'à 3 000 fermes. Le gouvernement néerlandais leur donne plus de 100 % de la valeur de leur propriété, mais en échange, ils doivent accepter l'interdiction de travailler dans n'importe quel pays de l'UE. Il s’agit de facto d’une expropriation forcée, adoucie par l’argent, contre laquelle les agriculteurs néerlandais protestent depuis des années, car ceux qui refusent seront expropriés de force.

    La mort délibérée des fermes

    Une fois de plus, le prétexte invoqué est la lutte contre le prétendu changement climatique d’origine humaine. On dit que les exploitations agricoles produisent des gaz d’échappement et de l’azote nocifs pour le climat.
    Et en Belgique, les agriculteurs ont protesté à plusieurs reprises contre les réglementations qui menacent leurs moyens de subsistance, souvent imposées par l'UE. La Belgique connaît également la disparition des exploitations agricoles, dont le nombre a chuté de 14% au cours des 13 dernières années. Aux Pays-Bas, le nombre d’exploitations agricoles a déjà diminué d’environ un tiers entre 2010 et 2020ce qui représente une baisse aussi forte qu’en Allemagne.

    La liste des pays où des politiques ciblées de réduction des exploitations agricoles sont en place pourrait s’allonger encore et encore. Les méthodes et justifications présentées par les gouvernements respectifs sont différentes, mais elles aboutissent toutes au même résultat : dans les pays occidentaux, les petites exploitations agricoles sont sur le point de disparaître et leurs terres sont généralement achetées par de grandes entreprises alimentaires et agricoles. Pour atteindre cet objectif, les conditions des petites exploitations se détériorent progressivement, dans le but de les obliger à vendre leurs terres.

    Les réductions contre lesquelles les agriculteurs allemands protestent actuellement s’inscrivent dans le tableau d’ensemble observé dans presque tous les pays de l’Occident collectif. Et le gouvernement allemand, notamment le ministre fédéral de l’Environnement Özdemir, s’efforce également de réduire le nombre de têtes de bétail possédées par les agriculteurs – un objectif dans la plupart des pays occidentaux. Le gouvernement néerlandais souhaite même réduire jusqu'à 50 % le nombre d'animaux de ferme possédés.

    Le phénomène peut également être observé aux USA, même si la disparition des exploitations agricoles a été jusqu'à présent plus lente. En 2000, il y avait 2,167 millions de fermes aux États-Unis. En 2022, le nombre d’exploitations agricoles est tombé à seulement 2,003 millions. Même si l’on assiste à une disparition des exploitations agricoles plus lente qu’en Europe, la tendance reste la même.
    Loin de la viande, vers les insectes ?
    Aujourd’hui, l’OMS se sent également appelée à parler de ce problème et, bien entendu, le prétexte est encore une fois le changement climatique. Selon le chef de l'OMS, Tedros Ghebreyesus, la production alimentaire contribue à plus de 30 pour cent des émissions de gaz à effet de serre et est responsable de près d'un tiers de la charge mondiale de morbidité. La nutrition doit donc être modifiée partout dans le monde. Le monde doit arrêter de manger de la viande et s’orienter vers une alimentation davantage à base de plantes. L'OMS préconise également les insectes comme aliments et comme viande cultivée en laboratoire.
    Lors du récent sommet sur le climat COP28, l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) a publié des recommandations alimentaires pour réduire les émissions de CO2. Le message adressé aux pays riches était, une fois de plus, de manger moins de viande.

    Cependant, les participants au sommet climatique n'ont pas voulu donner le bon exemple, car le menu du sommet de la COP28 comportait une riche sélection de plats tels que des "tranches de viande juteuses", du "bœuf juteux", des hamburgers Wagyu, des barbecues, des steaks au fromage et autres plats de viande. En revanche, les insectes frits, la soupe aux vers de farine et autres étaient introuvables. Apparemment, les recommandations alimentaires ne s’appliquent qu’aux gens ordinaires, mais pas à l’élite politique.
    Le « changement de régime alimentaire » est impulsé par les pays occidentaux. N'oubliez pas que l'UE autorise l'ajout de plus en plus d'insectes aux aliments.

    ODD : Agenda 2030

    J'ai écrit à plusieurs reprises sur les objectifs de développement durable (ODD) de l'ONU. Les ODD sont également connus sous le nom d’Agenda 2030 car ils définissent des objectifs à mettre en œuvre d’ici 2030. Les objectifs qui y sont mentionnés, comme l’éradication de la faim dans le monde, semblent très positifs. Mais quiconque examine les programmes visant à mettre en œuvre les ODD comprendra qu’ils ne sont pas si positifs.
    En août, nous avons par exemple présenté un rapport sur les villes du C40, un programme qui s’inscrit également dans la mise en œuvre des ODD. Une sélection des objectifs que le C40 souhaite atteindre d'ici 2030 sont les règles obligatoires suivantes pour les habitants des villes du C40 : zéro kilogramme de viande consommée, zéro kilogramme de produits laitiers, un maximum de trois nouveaux vêtements par personne et par an, zéro usage privé. véhicules en propriété, un vol court-courrier (moins de 1 500 kilomètres) tous les trois ans par personne. Ce n'est pas une blague, comme vous pouvez le lire ici avec toutes les sources.
    L’Agenda 2030 couvre pratiquement tous les domaines de la vie et sa mise en œuvre est massivement encouragée. Ces objectifs sont soutenus par le lobbying des fondations des soi-disant « philanthropes », c'est-à-dire des oligarques occidentaux, qui utilisent leur richesse pour déterminer la politique des pays occidentaux.
    Ces oligarques ont des objectifs précis, notamment celui de prendre le contrôle des secteurs agricole et alimentaire. De cette façon, ils prendraient le contrôle de la disponibilité de la nourriture. C’est exactement ce que nous vivons actuellement dans l’UE, car si les exploitations agricoles disparaissent et que leurs terres reviennent à quelques sociétés agricoles, celles-ci prendront le contrôle de la production alimentaire. Les États de l’UE deviennent ainsi dépendants de quelques personnes très riches dans un autre domaine.
    Les mêmes mondialistes très riches achètent des terres agricoles partout dans le monde depuis des années et utilisent leur influence politique pour rendre les réglementations pour les agriculteurs aussi inapplicables et coûteuses que possible, afin que les petites et moyennes exploitations agricoles abandonnent tôt ou tard la faillite. Ou même être contraints par l’État de renoncer à leur activité – voir les Pays-Bas. C’est exactement ce que nous constatons actuellement dans l’UE. Et la suppression actuelle des exonérations fiscales pour les agriculteurs allemands s’inscrit également dans ce contexte comme une autre étape – quoique moins évidente.

    Comment les « philanthropes » gagnent-ils de l’argent avec les ODD
    La Fondation Bill et Melinda Gates (BMGF) influence la politique agricole allemande à travers les projets qu'elle contrôle. Le système s’appelle un partenariat public-privé (ppp) et fonctionne toujours selon le même modèle. La fondation d'un oligarque occidental, affectueusement qualifiée de « philanthrope » par les médias, promeut un projet, le finance avec quelques millions, après quoi les gouvernements occidentaux sont très enthousiastes à l'égard de l'idée et contribuent plusieurs fois (souvent même cent fois) avec plus de contribuables. argent.
    L’argent est alors contrôlé par l’oligarque qui a lancé le projet. Pour réaliser de tels projets, il faut toujours acheter quelque chose (vaccins, médicaments, semences, etc.) et, bien entendu, ces biens sont ensuite achetés auprès d’entreprises contrôlées par l’oligarque. Ainsi, avec un investissement financier relativement faible, l’oligarque canalise dans sa propre poche bien plus d’argent des contribuables.

    Grâce à ce modèle économique en réalité très simple, les soi-disant « philanthropes » s'enrichissent de plus en plus, tout en donnant soi-disant leur argent à corps perdu pour sauver le monde. Dans mon livre "Inside Corona", j'ai montré en détail et à l'aide de nombreux exemples concrets que la soi-disant philanthropie n'est en réalité qu'un modèle économique.

    Pour reprendre l'exemple de Bill Gates : le gouvernement allemand finance 31 projets et programmes dans lesquels la Fondation Gates est impliquée. L'ONG est le seul partenaire dans 24 des projets. Cela a été révélé à l’été 2023 par une petite question du groupe parlementaire de La Gauche sur la coopération entre le gouvernement allemand et les fondations privées. Les contribuables allemands transfèrent au total 3,8 milliards d'euros à la fondation de Bill Gates, dont 3,35 milliards d'euros de subventions directes.
    La Fondation Gates a fixé ses objectifs les plus importants dans les domaines de la santé (par exemple, la vaccination), de la nutrition (à travers laquelle elle exerce un lobby intense en faveur des aliments génétiquement modifiés) et de l'éducation. L’éducation est si importante parce que les « philanthropes » déterminent également de facto le contenu des manuels scolaires utilisés dans les écoles et universités occidentales. Ce que les enfants d’aujourd’hui apprennent à l’école est ce que penseront les adultes des décennies à venir.

    Il a donc été possible de changer massivement les valeurs des sociétés occidentales en quelques décennies seulement. Il y a cinquante ans, la famille était encore la valeur la plus importante en Occident ; aujourd’hui, il a été remplacé par toutes sortes de couples cohabitants et de personnes LGBT.
    Le phénomène est également intentionnel, car si l’on détruit la cohésion familiale, c’est-à-dire les liens sociaux établis, on rend les gens seuls et plus faciles à contrôler. C’est pour cette raison que les médias occidentaux (également financés par les oligarques propagent également le célibat, l’absence d’enfant et les partenariats changeants, de préférence avec des changements de genre. Et c'est pour cette raison que de telles idées ont atteint les programmes des écoles et universités occidentales : il s'agit de l'instrument de domination simple et efficace "divide et impera", déjà inventé par les anciens Romains, perfectionné.
    La prétendue lutte contre la faim comme modèle économique Mais revenons à l’alimentation et à l’agriculture dont nous parlons ici. Et restons-en à Bill Gates, dont j’utilise l’exemple comme symbole pour les oligarques occidentaux.
    Bill Gates est désormais le plus grand propriétaire privé de terres agricoles aux États-Unis. Bill Gates est actif d’une manière ou d’une autre dans le secteur agricole de nombreux pays ; selon l'enquête de gauche mentionnée ci-dessus, la Fondation Gates dispose désormais d'un volume de milliards dans le secteur agricole allemand.
    Bill Gates a des liens financiers avec la célèbre entreprise agricole Monsanto, qui ont conduit à l'achat de terres agricoles en Inde et au Mexique. J'ai également évoqué les liens entre Gates et Monsanto dans "Inside Corona", en prenant l'exemple d'un projet commun de Gates et Rockefeller en Afrique, également financé par l'argent des contribuables des pays occidentaux, qui visait à lutter contre la faim. Les agriculteurs africains ont été contraints de passer aux semences génétiquement modifiées de Monsanto et ont donc été contraints à devenir dépendants de Monsanto, grâce auquel Gates et Rockefeller ont ensuite gagné de l’argent. Malheureusement, l'objectif officiel d'augmenter les rendements des agriculteurs et ainsi lutter contre la faim dans la région n'a pas été atteint.
    On se demande généralement comment l’Occident entend lutter contre la faim s’il poursuit une politique qui contraint les petits agriculteurs à la faillite et pousse ainsi le secteur agricole entre les mains des grandes entreprises et des oligarques. Comme nous le savons, les entreprises ne sont pas des organisations caritatives qui veulent lutter contre la faim, elles veulent gagner de l’argent.
    Lorsque l’industrie agricole et alimentaire est redistribuée des petites et moyennes entreprises vers quelques grandes entreprises, le phénomène crée un pouvoir de marché que les petites entreprises n’ont jamais eu. Et l’on sait que de telles constellations, dans lesquelles quelques acteurs contrôlent un marché, n’entraînent pas une baisse des prix, mais au contraire leur hausse.
    Bayer a désormais avalé Monsanto, et tous deux se caractérisent par le fait d'avoir racheté d'autres entreprises agricoles pendant des années. Il s’agit précisément de la concentration du pouvoir de marché entre très peu de mains, dont j’ai parlé ici. Par conséquent, des processus sont en cours pour créer des monopoles ou des oligopoles dans le secteur alimentaire, ce qui signifie effectivement un pouvoir sur les marchés concernés.

    Exemple : l'Ukraine

    L’Ukraine est un bon exemple de la manière dont de tels plans sont mis en œuvre. Si les exploitations agricoles font faillite, leurs terres peuvent être achetées à bas prix. En 2020, le FMI, contrôlé par l’Occident dirigé par les États-Unis, a dicté à l’Ukraine, comme condition pour l’octroi de nouveaux prêts qu’elle autorise légalement la vente de la terre noire, la terre la plus fertile du monde, aux étrangers. Officiellement, il existait diverses restrictions, mais les lois étaient élaborées de telle manière qu'elles étaient faciles à contourner à l'aide d'hommes de paille et de structures d'entreprise alambiquées.

    Cela a conduit à un accaparement massif de terres en Ukraine, l'un des plus grands exportateurs de céréales au monde, où quelques investisseurs, pour la plupart américains, ont acheté des terres agricoles à grande échelle à un prix ridicule. Le fait que des terres puissent être achetées à bas prix est possible, entre autres, à cause de la guerre en Ukraine.
    Outre Monsanto, des entreprises allemandes ont également participé à des accaparements de terres à grande échelle en Ukraine. La production avicole en Ukraine est également entre les mains de grands investisseurs internationaux. L’Ukraine pourrait aussi être intéressante pour la culture du soja. La guerre qui rend les terres bon marché est une loterie pour les acheteurs.
    Leur objectif est d’atteindre un monopole alimentaire (de préférence mondial) en possédant des terres agricoles et (voir Monsanto et d’autres sociétés) en prenant le contrôle des semences, des engrais et des pesticides. Tout ce pouvoir est concentré entre très peu de mains, car les politiques des gouvernements occidentaux alimentent le processus de concentration des actifs, aggravant les conditions de vie des petits et moyens agriculteurs, les obligeant à vendre leurs fermes tôt ou tard.
    Même les prix explosifs de l’énergie en Europe jouent leur jeu. La production d'engrais dans l'UE est devenue de facto non rentable, ce qui pourrait contraindre de nombreuses PME à vendre leurs exploitations à bas prix aux grandes entreprises si elles ne veulent pas faire faillite et tout perdre.
    L'UE justifie ses sanctions contre le pétrole et le gaz russes, qui ont fait exploser les prix, par les événements en Ukraine. Cependant, ce n’est pas la Russie qui a augmenté les prix ou interrompu les livraisons à l’Europe, mais les sanctions imposées par l’Occident. Ce ne sont donc pas les événements en Ukraine qui sont responsables de la hausse des prix, mais les réactions de l'UE face à la guerre.
    Vous pouvez voir que les événements en Ukraine sont utiles aux entreprises et aux oligarques occidentaux respectifs pour plusieurs raisons, car non seulement l’industrie de défense occidentale en profite, mais aussi l’industrie alimentaire occidentale, par exemple.
    ODD et oligarchies
    L'agriculture est également l'un des sujets centraux des ODD, c'est-à-dire de l'Agenda 2030. Les réunions où le sujet est abordé sont dominées par des ONG financées par Bill Gates, George Soros ou d'autres oligarques comme Rockefeller ou Ford. Le financement des organisateurs des réunions où est discuté l’état de mise en œuvre de l’Agenda 2030 est souvent caché. Un exemple est le Forum mondial de l’alimentation, qui collabore, entre autres, avec UN Women. Et UN Women est financée par Bill Gates, George Soros, la Fondation Ford, Rockefeller et d'autres personnages habituels.
    J'ai également souligné à plusieurs reprises ce principe de financement déguisé dans "Inside Corona". Pour donner l’impression qu’il existe plusieurs organisations soutenant de tels projets, les oligarques financent plusieurs organisations. En outre, les flux financiers transitent souvent par des organisations intermédiaires pour masquer le fait qu’il n’existe en réalité que quelques fondations oligarchiques promouvant un seul objectif.
    Je ne peux aborder ce sujet que de manière très superficielle dans le présent article, car il est si vaste qu’un livre assez épais pourrait être écrit à son sujet. Vous devriez examiner les 17 ODD et leurs sous-objectifs, ainsi que les programmes par lesquels ils sont mis en œuvre. Il existe plus de 200 programmes à examiner. À elle seule, la stratégie allemande de développement durable du gouvernement allemand, avec laquelle il entend mettre en œuvre les ODD, compte actuellement 391 pages.
    Mais cet article précise déjà une chose, à savoir que les organisations internationales et leurs projets sont contrôlés par les fondations de quelques oligarques (par exemple Gates et Soros) ou par des clans d'oligarques (par exemple Rockefeller et Ford) et qu'ils contrôlent l'argent sur lequel les pays occidentaux les gouvernements investissent dans ces projets et les utilisent à leur propre avantage financier. Cela signifie que des individus non élus mais orientés vers le profit déterminent les politiques que l’Occident souhaite imposer au monde.
    Ce qui se passe dans l’agriculture n’est qu’un exemple. Il y a quelque temps, j'ai utilisé le Green Deal de l'UE pour montrer qu'ici aussi, il s'agit simplement de canaliser l'argent des contribuables vers un groupe d'oligarques. C’est aussi ce qui s’est passé avec le Covid, lorsque les milliards collectés par l’UE pour lutter contre la « pandémie » sont allés presque entièrement à des organisations contrôlées par Bill Gates. D'ailleurs, Bill Gates deviendra également le maître des données des personnes dans l'UE ce que les passeports de vaccination numériques ont rendu possible, et Ursula von der Leyen vante déjà ce concept d'« identité numérique » comme modèle pour le reste du monde. Et la liste peut être longue.

    Identités numériques

    Revenons aux protestations des agriculteurs : il ne s'agit pas de quelques subventions agricoles au diesel, mais d'un problème systémique et d'une menace sérieuse pour la liberté et la prospérité - voyez les villes du C40 avec leur revendication de vivre sans viande, sans vêtements neufs, sans voitures et sans même les voyages en avion à l'avenir. Ce ne sont pas seulement des fantasmes fous, ils sont réalisés avec beaucoup d’argent et avec une grande cohérence.
    L’« identité numérique » tant vantée par Ursula von der Leyen deviendra l’outil de contrôle ultime et global. Le projet fait également partie des ODD, puisque l’ODD numéro 16 est « la paix, la justice et des institutions fortes », contre lesquelles personne ne peut vraiment rien faire. L'un des sous-objectifs visant à atteindre cet objectif est l'ODD 16.9 et stipule : « D'ici 2030, parvenir à une identité juridique pour tous, y compris l'enregistrement des naissances ».

    Et Bill Gates y travaille d’ailleurs à nouveau, en accompagnant diverses organisations pour qu’elles deviennent maîtres de ces identités numériques. L’une de ces organisations s’appelle Modular Open Source Identity Platform (MOSIP), et la Fondation Gates se vante de mettre la plateforme à la disposition des pays du monde entier de manière entièrement gratuite. Sauf que Gates est alors maître de toutes les données.
    Une autre organisation contrôlée par Gates et Rockefeller s’appelle ID2020. ID2020 a développé les lignes directrices pour les passeports vaccinaux numériques dédiés à l'OMS (également contrôlés par Gates), qui constituent la base du projet d'identité numérique de von der Leyen dans l'UE.

    Le projet est déjà mis en œuvre dans l'UE. Nous parlons du dossier électronique du patient. En vertu du droit allemand, il est possible de s'opposer au dossier électronique du patient, mais comme le droit de l'UE prévaut sur le droit national, il convient de noter que le droit du patient de s'opposer au dossier électronique doit être annulé dans le droit de l'UE correspondant.

    La fin approche

    Voici comment des choses comme ça arrivent par la porte dérobée. Les problèmes des agriculteurs ne sont qu’une toute petite pièce du puzzle d’un projet beaucoup plus vaste qui changera complètement le monde tel que nous le connaissons. Du moins dans les pays où il est mis en œuvre, c’est-à-dire dans l’Occident collectif.
    On peut se demander si le reste du monde entrera dans le jeu. La 77e Assemblée de la santé de l'OMS, en mai 2024, sera probablement intéressante à cet égard, car un autre projet connexe y sera voté. Il fait référence à l’amendement du Règlement sanitaire international (RSI) et au nouveau traité de l’OMS sur les pandémies, conçu pour donner à l’OMS contrôlée par Gates des pouvoirs entièrement nouveaux. Il n’entre pas dans le cadre de cet article d’entrer dans les détails maintenant ; si vous êtes intéressé, vous pouvez lire de quoi il s'agit ici.
    Quoi qu’il en soit, nous devrions marquer le mois de mai dans nos agendas et garder un œil sur les décisions de l’Assemblée de l’OMS.

    Via Péonia

    https://twitter.com/CalliFanciulla/status/1746532136037826973
    🔴 Pourquoi les exploitations agricoles sont-elles poussées à la faillite par Thomas Röper (🇩🇪) 📍Les manifestations des agriculteurs qui font actuellement la une des journaux ne sont pas un phénomène allemand, mais le symptôme d'une politique mise en œuvre dans tout l'Occident pour redistribuer les terres agricoles des petits agriculteurs aux grandes entreprises. Mais ce n’est qu’une partie d’un programme beaucoup plus vaste. Les protestations des agriculteurs ne sont en aucun cas un phénomène allemand ; Ces dernières années, par exemple, des protestations massives d'agriculteurs ont eu lieu aux Pays-Bas. La raison en est le projet du gouvernement néerlandais de fermer jusqu'à 3 000 fermes. Le gouvernement néerlandais leur donne plus de 100 % de la valeur de leur propriété, mais en échange, ils doivent accepter l'interdiction de travailler dans n'importe quel pays de l'UE. Il s’agit de facto d’une expropriation forcée, adoucie par l’argent, contre laquelle les agriculteurs néerlandais protestent depuis des années, car ceux qui refusent seront expropriés de force. La mort délibérée des fermes Une fois de plus, le prétexte invoqué est la lutte contre le prétendu changement climatique d’origine humaine. On dit que les exploitations agricoles produisent des gaz d’échappement et de l’azote nocifs pour le climat. Et en Belgique, les agriculteurs ont protesté à plusieurs reprises contre les réglementations qui menacent leurs moyens de subsistance, souvent imposées par l'UE. La Belgique connaît également la disparition des exploitations agricoles, dont le nombre a chuté de 14% au cours des 13 dernières années. Aux Pays-Bas, le nombre d’exploitations agricoles a déjà diminué d’environ un tiers entre 2010 et 2020ce qui représente une baisse aussi forte qu’en Allemagne. La liste des pays où des politiques ciblées de réduction des exploitations agricoles sont en place pourrait s’allonger encore et encore. Les méthodes et justifications présentées par les gouvernements respectifs sont différentes, mais elles aboutissent toutes au même résultat : dans les pays occidentaux, les petites exploitations agricoles sont sur le point de disparaître et leurs terres sont généralement achetées par de grandes entreprises alimentaires et agricoles. Pour atteindre cet objectif, les conditions des petites exploitations se détériorent progressivement, dans le but de les obliger à vendre leurs terres. Les réductions contre lesquelles les agriculteurs allemands protestent actuellement s’inscrivent dans le tableau d’ensemble observé dans presque tous les pays de l’Occident collectif. Et le gouvernement allemand, notamment le ministre fédéral de l’Environnement Özdemir, s’efforce également de réduire le nombre de têtes de bétail possédées par les agriculteurs – un objectif dans la plupart des pays occidentaux. Le gouvernement néerlandais souhaite même réduire jusqu'à 50 % le nombre d'animaux de ferme possédés. Le phénomène peut également être observé aux USA, même si la disparition des exploitations agricoles a été jusqu'à présent plus lente. En 2000, il y avait 2,167 millions de fermes aux États-Unis. En 2022, le nombre d’exploitations agricoles est tombé à seulement 2,003 millions. Même si l’on assiste à une disparition des exploitations agricoles plus lente qu’en Europe, la tendance reste la même. Loin de la viande, vers les insectes ? Aujourd’hui, l’OMS se sent également appelée à parler de ce problème et, bien entendu, le prétexte est encore une fois le changement climatique. Selon le chef de l'OMS, Tedros Ghebreyesus, la production alimentaire contribue à plus de 30 pour cent des émissions de gaz à effet de serre et est responsable de près d'un tiers de la charge mondiale de morbidité. La nutrition doit donc être modifiée partout dans le monde. Le monde doit arrêter de manger de la viande et s’orienter vers une alimentation davantage à base de plantes. L'OMS préconise également les insectes comme aliments et comme viande cultivée en laboratoire. Lors du récent sommet sur le climat COP28, l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) a publié des recommandations alimentaires pour réduire les émissions de CO2. Le message adressé aux pays riches était, une fois de plus, de manger moins de viande. Cependant, les participants au sommet climatique n'ont pas voulu donner le bon exemple, car le menu du sommet de la COP28 comportait une riche sélection de plats tels que des "tranches de viande juteuses", du "bœuf juteux", des hamburgers Wagyu, des barbecues, des steaks au fromage et autres plats de viande. En revanche, les insectes frits, la soupe aux vers de farine et autres étaient introuvables. Apparemment, les recommandations alimentaires ne s’appliquent qu’aux gens ordinaires, mais pas à l’élite politique. Le « changement de régime alimentaire » est impulsé par les pays occidentaux. N'oubliez pas que l'UE autorise l'ajout de plus en plus d'insectes aux aliments. ODD : Agenda 2030 J'ai écrit à plusieurs reprises sur les objectifs de développement durable (ODD) de l'ONU. Les ODD sont également connus sous le nom d’Agenda 2030 car ils définissent des objectifs à mettre en œuvre d’ici 2030. Les objectifs qui y sont mentionnés, comme l’éradication de la faim dans le monde, semblent très positifs. Mais quiconque examine les programmes visant à mettre en œuvre les ODD comprendra qu’ils ne sont pas si positifs. En août, nous avons par exemple présenté un rapport sur les villes du C40, un programme qui s’inscrit également dans la mise en œuvre des ODD. Une sélection des objectifs que le C40 souhaite atteindre d'ici 2030 sont les règles obligatoires suivantes pour les habitants des villes du C40 : zéro kilogramme de viande consommée, zéro kilogramme de produits laitiers, un maximum de trois nouveaux vêtements par personne et par an, zéro usage privé. véhicules en propriété, un vol court-courrier (moins de 1 500 kilomètres) tous les trois ans par personne. Ce n'est pas une blague, comme vous pouvez le lire ici avec toutes les sources. L’Agenda 2030 couvre pratiquement tous les domaines de la vie et sa mise en œuvre est massivement encouragée. Ces objectifs sont soutenus par le lobbying des fondations des soi-disant « philanthropes », c'est-à-dire des oligarques occidentaux, qui utilisent leur richesse pour déterminer la politique des pays occidentaux. Ces oligarques ont des objectifs précis, notamment celui de prendre le contrôle des secteurs agricole et alimentaire. De cette façon, ils prendraient le contrôle de la disponibilité de la nourriture. C’est exactement ce que nous vivons actuellement dans l’UE, car si les exploitations agricoles disparaissent et que leurs terres reviennent à quelques sociétés agricoles, celles-ci prendront le contrôle de la production alimentaire. Les États de l’UE deviennent ainsi dépendants de quelques personnes très riches dans un autre domaine. Les mêmes mondialistes très riches achètent des terres agricoles partout dans le monde depuis des années et utilisent leur influence politique pour rendre les réglementations pour les agriculteurs aussi inapplicables et coûteuses que possible, afin que les petites et moyennes exploitations agricoles abandonnent tôt ou tard la faillite. Ou même être contraints par l’État de renoncer à leur activité – voir les Pays-Bas. C’est exactement ce que nous constatons actuellement dans l’UE. Et la suppression actuelle des exonérations fiscales pour les agriculteurs allemands s’inscrit également dans ce contexte comme une autre étape – quoique moins évidente. Comment les « philanthropes » gagnent-ils de l’argent avec les ODD La Fondation Bill et Melinda Gates (BMGF) influence la politique agricole allemande à travers les projets qu'elle contrôle. Le système s’appelle un partenariat public-privé (ppp) et fonctionne toujours selon le même modèle. La fondation d'un oligarque occidental, affectueusement qualifiée de « philanthrope » par les médias, promeut un projet, le finance avec quelques millions, après quoi les gouvernements occidentaux sont très enthousiastes à l'égard de l'idée et contribuent plusieurs fois (souvent même cent fois) avec plus de contribuables. argent. L’argent est alors contrôlé par l’oligarque qui a lancé le projet. Pour réaliser de tels projets, il faut toujours acheter quelque chose (vaccins, médicaments, semences, etc.) et, bien entendu, ces biens sont ensuite achetés auprès d’entreprises contrôlées par l’oligarque. Ainsi, avec un investissement financier relativement faible, l’oligarque canalise dans sa propre poche bien plus d’argent des contribuables. Grâce à ce modèle économique en réalité très simple, les soi-disant « philanthropes » s'enrichissent de plus en plus, tout en donnant soi-disant leur argent à corps perdu pour sauver le monde. Dans mon livre "Inside Corona", j'ai montré en détail et à l'aide de nombreux exemples concrets que la soi-disant philanthropie n'est en réalité qu'un modèle économique. Pour reprendre l'exemple de Bill Gates : le gouvernement allemand finance 31 projets et programmes dans lesquels la Fondation Gates est impliquée. L'ONG est le seul partenaire dans 24 des projets. Cela a été révélé à l’été 2023 par une petite question du groupe parlementaire de La Gauche sur la coopération entre le gouvernement allemand et les fondations privées. Les contribuables allemands transfèrent au total 3,8 milliards d'euros à la fondation de Bill Gates, dont 3,35 milliards d'euros de subventions directes. La Fondation Gates a fixé ses objectifs les plus importants dans les domaines de la santé (par exemple, la vaccination), de la nutrition (à travers laquelle elle exerce un lobby intense en faveur des aliments génétiquement modifiés) et de l'éducation. L’éducation est si importante parce que les « philanthropes » déterminent également de facto le contenu des manuels scolaires utilisés dans les écoles et universités occidentales. Ce que les enfants d’aujourd’hui apprennent à l’école est ce que penseront les adultes des décennies à venir. Il a donc été possible de changer massivement les valeurs des sociétés occidentales en quelques décennies seulement. Il y a cinquante ans, la famille était encore la valeur la plus importante en Occident ; aujourd’hui, il a été remplacé par toutes sortes de couples cohabitants et de personnes LGBT. Le phénomène est également intentionnel, car si l’on détruit la cohésion familiale, c’est-à-dire les liens sociaux établis, on rend les gens seuls et plus faciles à contrôler. C’est pour cette raison que les médias occidentaux (également financés par les oligarques propagent également le célibat, l’absence d’enfant et les partenariats changeants, de préférence avec des changements de genre. Et c'est pour cette raison que de telles idées ont atteint les programmes des écoles et universités occidentales : il s'agit de l'instrument de domination simple et efficace "divide et impera", déjà inventé par les anciens Romains, perfectionné. La prétendue lutte contre la faim comme modèle économique Mais revenons à l’alimentation et à l’agriculture dont nous parlons ici. Et restons-en à Bill Gates, dont j’utilise l’exemple comme symbole pour les oligarques occidentaux. Bill Gates est désormais le plus grand propriétaire privé de terres agricoles aux États-Unis. Bill Gates est actif d’une manière ou d’une autre dans le secteur agricole de nombreux pays ; selon l'enquête de gauche mentionnée ci-dessus, la Fondation Gates dispose désormais d'un volume de milliards dans le secteur agricole allemand. Bill Gates a des liens financiers avec la célèbre entreprise agricole Monsanto, qui ont conduit à l'achat de terres agricoles en Inde et au Mexique. J'ai également évoqué les liens entre Gates et Monsanto dans "Inside Corona", en prenant l'exemple d'un projet commun de Gates et Rockefeller en Afrique, également financé par l'argent des contribuables des pays occidentaux, qui visait à lutter contre la faim. Les agriculteurs africains ont été contraints de passer aux semences génétiquement modifiées de Monsanto et ont donc été contraints à devenir dépendants de Monsanto, grâce auquel Gates et Rockefeller ont ensuite gagné de l’argent. Malheureusement, l'objectif officiel d'augmenter les rendements des agriculteurs et ainsi lutter contre la faim dans la région n'a pas été atteint. On se demande généralement comment l’Occident entend lutter contre la faim s’il poursuit une politique qui contraint les petits agriculteurs à la faillite et pousse ainsi le secteur agricole entre les mains des grandes entreprises et des oligarques. Comme nous le savons, les entreprises ne sont pas des organisations caritatives qui veulent lutter contre la faim, elles veulent gagner de l’argent. Lorsque l’industrie agricole et alimentaire est redistribuée des petites et moyennes entreprises vers quelques grandes entreprises, le phénomène crée un pouvoir de marché que les petites entreprises n’ont jamais eu. Et l’on sait que de telles constellations, dans lesquelles quelques acteurs contrôlent un marché, n’entraînent pas une baisse des prix, mais au contraire leur hausse. Bayer a désormais avalé Monsanto, et tous deux se caractérisent par le fait d'avoir racheté d'autres entreprises agricoles pendant des années. Il s’agit précisément de la concentration du pouvoir de marché entre très peu de mains, dont j’ai parlé ici. Par conséquent, des processus sont en cours pour créer des monopoles ou des oligopoles dans le secteur alimentaire, ce qui signifie effectivement un pouvoir sur les marchés concernés. Exemple : l'Ukraine L’Ukraine est un bon exemple de la manière dont de tels plans sont mis en œuvre. Si les exploitations agricoles font faillite, leurs terres peuvent être achetées à bas prix. En 2020, le FMI, contrôlé par l’Occident dirigé par les États-Unis, a dicté à l’Ukraine, comme condition pour l’octroi de nouveaux prêts qu’elle autorise légalement la vente de la terre noire, la terre la plus fertile du monde, aux étrangers. Officiellement, il existait diverses restrictions, mais les lois étaient élaborées de telle manière qu'elles étaient faciles à contourner à l'aide d'hommes de paille et de structures d'entreprise alambiquées. Cela a conduit à un accaparement massif de terres en Ukraine, l'un des plus grands exportateurs de céréales au monde, où quelques investisseurs, pour la plupart américains, ont acheté des terres agricoles à grande échelle à un prix ridicule. Le fait que des terres puissent être achetées à bas prix est possible, entre autres, à cause de la guerre en Ukraine. Outre Monsanto, des entreprises allemandes ont également participé à des accaparements de terres à grande échelle en Ukraine. La production avicole en Ukraine est également entre les mains de grands investisseurs internationaux. L’Ukraine pourrait aussi être intéressante pour la culture du soja. La guerre qui rend les terres bon marché est une loterie pour les acheteurs. Leur objectif est d’atteindre un monopole alimentaire (de préférence mondial) en possédant des terres agricoles et (voir Monsanto et d’autres sociétés) en prenant le contrôle des semences, des engrais et des pesticides. Tout ce pouvoir est concentré entre très peu de mains, car les politiques des gouvernements occidentaux alimentent le processus de concentration des actifs, aggravant les conditions de vie des petits et moyens agriculteurs, les obligeant à vendre leurs fermes tôt ou tard. Même les prix explosifs de l’énergie en Europe jouent leur jeu. La production d'engrais dans l'UE est devenue de facto non rentable, ce qui pourrait contraindre de nombreuses PME à vendre leurs exploitations à bas prix aux grandes entreprises si elles ne veulent pas faire faillite et tout perdre. L'UE justifie ses sanctions contre le pétrole et le gaz russes, qui ont fait exploser les prix, par les événements en Ukraine. Cependant, ce n’est pas la Russie qui a augmenté les prix ou interrompu les livraisons à l’Europe, mais les sanctions imposées par l’Occident. Ce ne sont donc pas les événements en Ukraine qui sont responsables de la hausse des prix, mais les réactions de l'UE face à la guerre. Vous pouvez voir que les événements en Ukraine sont utiles aux entreprises et aux oligarques occidentaux respectifs pour plusieurs raisons, car non seulement l’industrie de défense occidentale en profite, mais aussi l’industrie alimentaire occidentale, par exemple. ODD et oligarchies L'agriculture est également l'un des sujets centraux des ODD, c'est-à-dire de l'Agenda 2030. Les réunions où le sujet est abordé sont dominées par des ONG financées par Bill Gates, George Soros ou d'autres oligarques comme Rockefeller ou Ford. Le financement des organisateurs des réunions où est discuté l’état de mise en œuvre de l’Agenda 2030 est souvent caché. Un exemple est le Forum mondial de l’alimentation, qui collabore, entre autres, avec UN Women. Et UN Women est financée par Bill Gates, George Soros, la Fondation Ford, Rockefeller et d'autres personnages habituels. J'ai également souligné à plusieurs reprises ce principe de financement déguisé dans "Inside Corona". Pour donner l’impression qu’il existe plusieurs organisations soutenant de tels projets, les oligarques financent plusieurs organisations. En outre, les flux financiers transitent souvent par des organisations intermédiaires pour masquer le fait qu’il n’existe en réalité que quelques fondations oligarchiques promouvant un seul objectif. Je ne peux aborder ce sujet que de manière très superficielle dans le présent article, car il est si vaste qu’un livre assez épais pourrait être écrit à son sujet. Vous devriez examiner les 17 ODD et leurs sous-objectifs, ainsi que les programmes par lesquels ils sont mis en œuvre. Il existe plus de 200 programmes à examiner. À elle seule, la stratégie allemande de développement durable du gouvernement allemand, avec laquelle il entend mettre en œuvre les ODD, compte actuellement 391 pages. Mais cet article précise déjà une chose, à savoir que les organisations internationales et leurs projets sont contrôlés par les fondations de quelques oligarques (par exemple Gates et Soros) ou par des clans d'oligarques (par exemple Rockefeller et Ford) et qu'ils contrôlent l'argent sur lequel les pays occidentaux les gouvernements investissent dans ces projets et les utilisent à leur propre avantage financier. Cela signifie que des individus non élus mais orientés vers le profit déterminent les politiques que l’Occident souhaite imposer au monde. Ce qui se passe dans l’agriculture n’est qu’un exemple. Il y a quelque temps, j'ai utilisé le Green Deal de l'UE pour montrer qu'ici aussi, il s'agit simplement de canaliser l'argent des contribuables vers un groupe d'oligarques. C’est aussi ce qui s’est passé avec le Covid, lorsque les milliards collectés par l’UE pour lutter contre la « pandémie » sont allés presque entièrement à des organisations contrôlées par Bill Gates. D'ailleurs, Bill Gates deviendra également le maître des données des personnes dans l'UE ce que les passeports de vaccination numériques ont rendu possible, et Ursula von der Leyen vante déjà ce concept d'« identité numérique » comme modèle pour le reste du monde. Et la liste peut être longue. Identités numériques Revenons aux protestations des agriculteurs : il ne s'agit pas de quelques subventions agricoles au diesel, mais d'un problème systémique et d'une menace sérieuse pour la liberté et la prospérité - voyez les villes du C40 avec leur revendication de vivre sans viande, sans vêtements neufs, sans voitures et sans même les voyages en avion à l'avenir. Ce ne sont pas seulement des fantasmes fous, ils sont réalisés avec beaucoup d’argent et avec une grande cohérence. L’« identité numérique » tant vantée par Ursula von der Leyen deviendra l’outil de contrôle ultime et global. Le projet fait également partie des ODD, puisque l’ODD numéro 16 est « la paix, la justice et des institutions fortes », contre lesquelles personne ne peut vraiment rien faire. L'un des sous-objectifs visant à atteindre cet objectif est l'ODD 16.9 et stipule : « D'ici 2030, parvenir à une identité juridique pour tous, y compris l'enregistrement des naissances ». Et Bill Gates y travaille d’ailleurs à nouveau, en accompagnant diverses organisations pour qu’elles deviennent maîtres de ces identités numériques. L’une de ces organisations s’appelle Modular Open Source Identity Platform (MOSIP), et la Fondation Gates se vante de mettre la plateforme à la disposition des pays du monde entier de manière entièrement gratuite. Sauf que Gates est alors maître de toutes les données. Une autre organisation contrôlée par Gates et Rockefeller s’appelle ID2020. ID2020 a développé les lignes directrices pour les passeports vaccinaux numériques dédiés à l'OMS (également contrôlés par Gates), qui constituent la base du projet d'identité numérique de von der Leyen dans l'UE. Le projet est déjà mis en œuvre dans l'UE. Nous parlons du dossier électronique du patient. En vertu du droit allemand, il est possible de s'opposer au dossier électronique du patient, mais comme le droit de l'UE prévaut sur le droit national, il convient de noter que le droit du patient de s'opposer au dossier électronique doit être annulé dans le droit de l'UE correspondant. La fin approche Voici comment des choses comme ça arrivent par la porte dérobée. Les problèmes des agriculteurs ne sont qu’une toute petite pièce du puzzle d’un projet beaucoup plus vaste qui changera complètement le monde tel que nous le connaissons. Du moins dans les pays où il est mis en œuvre, c’est-à-dire dans l’Occident collectif. On peut se demander si le reste du monde entrera dans le jeu. La 77e Assemblée de la santé de l'OMS, en mai 2024, sera probablement intéressante à cet égard, car un autre projet connexe y sera voté. Il fait référence à l’amendement du Règlement sanitaire international (RSI) et au nouveau traité de l’OMS sur les pandémies, conçu pour donner à l’OMS contrôlée par Gates des pouvoirs entièrement nouveaux. Il n’entre pas dans le cadre de cet article d’entrer dans les détails maintenant ; si vous êtes intéressé, vous pouvez lire de quoi il s'agit ici. Quoi qu’il en soit, nous devrions marquer le mois de mai dans nos agendas et garder un œil sur les décisions de l’Assemblée de l’OMS. Via Péonia https://twitter.com/CalliFanciulla/status/1746532136037826973
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  • Par Juan Branco ✊

    Crépuscule

    Il y a cinq ans, dans le cadre d’une longue enquête, je dessinais le portrait d’un politicien aux dents de lait auquel personne encore ne s’intéressait.

    Un certain Gabriel Attal.

    Nous étions en 2018, et ce livre, intitulé Crépuscule, démontrait comment l’ascension d’Emmanuel Macron, loin du phénomène démocratique spontané, avait pris assise sur une fabrication oligarchique qui bientôt Attal propulserait.

    J’y décrivais, en miroir, leurs deux parcours. Nous étions en 2018, et cet ouvrage, qui offrait une plongée inédite dans la façon dont le pouvoir se construisait en France, ferait immédiatement scandale, se voyant violemment attaqué par une presse aux ordres que je connaissais intimement, et dont les propriétaires, paniqués des secrets que je révélais, après m’avoir adoré, se répandraient dans le tout Paris en prétendant que tout cela n’était que mensonge, ressentiment et tromperie.

    Cinq ans plus tard, tout est là. Gabriel Attal, qui n’était personne, un primodéputé de 28 ans pistonné par son amant, vient d’être nommé premier ministre. Et la confirmation de ce qui était annoncé devra interroger ceux qui, pendant toute cette période, auront benoîtement cru ce qu’on leur disait au sujet de ce texte, ou se seront tus par peur d’être ostracisés.

    La publication de l’ouvrage, en libre accès, fut un véritable phénomène de société. Sans aucun relais médiatique, un million de personnes le téléchargèrent. 500.000 en écoutèrent la version audio, puis, une fois édité en librairies, 170.000 l’achetèrent.

    Cette base immense, qui se voyait raconter comment la démocratie en France n’était qu’une illusion, suscita rapidement une inquiétude et une réaction effrénée de la part du pouvoir, mais surtout de ses relais, paniqué à l’idée que la vérité fut faite, non seulement sur ses êtes, mais sur la façon dont ils étaient propulsés. Rappelons-nous qu’Aurore Bergé alla jusqu’à au Procureur de la République, m’accusant d’avoir « armé les esprits ». On ne rit pas. La suite, on la connaît.

    Lorsque le livre paru - nous étions à l’automne 2018 - les gilets jaunes ne s'étaient pas encore élancés, et Paris roucoulait d’amour pour ce pouvoir que le reste de la France abhorrait. L’omerta était telle que l’ouvrage ne trouverait de longs mois aucun éditeur, circulant de main en main, sous la poche. Des signaux faibles pourtant émergeaient. Gérard Collomb, débordé par l’affaire Benalla, refusait de faire ce qu’on lui demandait, et discrètement, démissionnait d’un pouvoir qu’il avait fait naître. Pendant près de quinze jours, personne ne lui succéderait, révélant une crise de régime qui se verrait habilement masquée par les perquisitions de la France Insoumise et la réaction déplacée de Jean-Luc Mélenchon. Comme un enfant, pris la main dans le pot, ne croyant pas ce qu’il voyait, il se laisserait avoir par une opération d’intimidation spectaculaire dont le seul objet était de détourné l’attention de ce qui, au gouvernement, s’installait. Trop franc, trop innocent, il fut ce jour là, de la macronie, le parfait instrument.

    La crise politique était évitée, mais le peuple grondait. Car la France s’effondrait. Les premières pénuries de médicament accompagnaient un effondrement de l’école, de la santé et de la sécurité. Ce pouvoir sans légitimité ni provenance, n’avait d’autre choix que de piller, et multipliait les dispositifs fiscaux pour, d’un côté, récompenser ceux qui l’avaient fait, et de l’autre, le faire payer aux restes des français.

    Personne ne se reconnaissait en ces êtres qui étaient censés les représenter, menteurs patentés qui, prétendant financer la transition écologique, créaient une taxe carburant pour financer le CICE, une exemption d’impôts pour les plus argentés.
    Gabriel, qui n'était alors qu’un primodéputé pistonné par son amoureux, donc, Stéphane Séjourné, conseiller politique du Président, avait obtenu contre menues coucheries sa circonscription, et tentait de se frayer un chemin dans ce magma là. Il avait rencontré son compagnon après avoir été propulsé à 22 ans au cabinet de la ministre de la santé Marisol Touraine par les grâces de sa fille, aux côtés de son futur conjoint Olivier Véran et Benjamin Griveaux. 6000 euros par mois, chauffeur et secrétariat pour un jeune homme qui n’était pas encore diplômé - des privilèges qui lui seront désormais garantis à vie – voilà qui a de quoi séduire et exciter.

    Sans parcours professionnel ni titres à proposer, on l’avait entendu défendre laborieusement deux réformes, Parcoursup et le SNU à l’Assemblée nationale, alternant entre l’insignifiant et le catastrophique. Il bégayait légèrement, et comme à chaque fois qu’il craignait que son imposture fût révélée, ou que ses mensonges furent décelés, laissait un sourire en coin le dominer.

    Gabriel faisait des pieds et des mains, déjà, pour entrer au gouvernement, et ces articles, en macronie, constituaient de puissants arguments. La rumeur bruissait auprès de ses camarades députés. De puissantes forces l’accompagnaient. A peine élu, ses premiers pas étaient immortalisés dans Paris Match. Rien n’était dit sur celui qu’il était. Une photographie mi-allongé, coupe de vin à la main, le mettait en avant avantageusement, parlant de Fort Boyard et d’Orelsan, au soleil, en une pose lascive, chemise ouverte à la BHL, sur les quais de Paris devant la Seine et le Grand Palais. Paris Match, à 28 ans ? Ce sont des centaines de milliers de lecteurs chaque semaine. Chaque semaine, Gabriel, cet été, y serait montré.

    Comment faisait-il ? Paris bruissait et commençait à s’interroger. Gabriel, lui, fonçait. C’est qu’après avoir fait le siège de son amoureux versaillais, Séjourné lui avait arrangé une rencontre auprès de Brigitte qui au gouvernement, auprès de Blanquer l’avait promu, et de Mimi Marchand et quelques autres proxénètes et trafiquants, l’introduisait. C’était eux qui, à la manœuvre, avait fabriqué ces articles que Paris Match et Bruno Jeudy s’étaient contentés de publier.

    Les mois passèrent, et Gabriel Attal, comme en tous ses postes, n’y fit que concrétiser son ambition effrénée. Le SNU, dont il avait la charge, s’effondrait, mais le petit cabinet qu’il avait pu constituer lui organisait déjeuners et dîners avec le tout Paris. En frénésie.

    Gabriel avait compris que pour les êtres sans qualité, la solution était de courir, et de courir vite, sautant de maroquin en maroquin comme il irait de conjoint en conjoint, imitant Emmanuel Macron, c’est-à-dire recherchant ses promotions avant que le moindre résultat puisse lui être attribué. Avant que le moindre échec ne pût lui être imputé.

    Les postes passèrent, et les oligarques se rapprochèrent. Bernard Arnault donnait ses instructions au Parisien, tandis que Brigitte Macron appelait Marc-Olivier Fogiel pour lui dire de le couver. Les portraits flatteurs fleurissaient. Gabriel sautait à temps sur le porte-parolat du gouvernement que son nouveau conjoint quittait, tandis que Séjourné, à Bruxelles, se voyait exilé. Sentant les limites s’approcher, le voilà qui à nouveau s’enfuyait au ministère du budget.

    Comme partout, il en partirait sans bilan, avant même d’avoir présenté un budget. Ministre de l’éducation, il se verrait propulsé à Matignon avant qu’une année scolaire n’ait été achevé et que la moindre mesure qu’il ait annoncé n’ait été appliquée. Qu’importait que les réformes sur le harcèlement, le brevet, le bac, n’eussent été appliquées. Qu’aucune loi n’ait été votée.

    Agitation, mouvement et une importante équipe de communication - les seuls conseillers qui l’ont partout suivi traitent de ces questions: l’obsession, recouvrir l’imposture et se protéger de ses effets. Imiter le daron.

    De ce qui a suivi, des tournées américaines au Bildeberg hollandais, entre deux plans comm’ avec des influenceurs et des émissions confessions sur les plus grandes chaines de télévision, il n’est pas besoin de le rappeler. La connexion Marchand-Fogiel-Macron a permis, ces derniers mois, un bombardement sur BFM TV dont personne n’a parlé, et qui n’avait qu’une vocation: préparer l’opinion à l’ascension du fils prodige de l’Elysée, sur le modèle de Macron. Les dîners avec Crespo-Mara et Ardisson, sur 7 à 8, auront préparé le chemin à ce qui aujourd’hui est. Qu’importe que tout soit mensonger. Qu’importe que tout soit inventé. Aujourd’hui, Premier ministre, il l’est.

    La France, nous l’avons dit, n’est pas une démocratie. Elle est une oligarchie où le contrôle de l’image vaut politique et façon de l’opinion.

    Seuls ceux qui n’ont pas lu Crépuscule s’étonneront, a fortiori, se féliciteront, de ce parcours prodigieux que toute la presse va vous louer. Pour Gabriel Attal, c’est un soulagement. Le voilà à la tête de l’Etat, comme il en rêvait et l’annonçait depuis l’âge de 14 ans. Lui qui posait dans son yearbook de l’école alsacienne avec sa tête accolée à la photographie de Georges Pompidou, qui n’a jamais eu d’expérience professionnelle si ce n’est un stage pistonné à la Villa Médicis, a été incapable de compléter sa scolarité à SciencesPo, rit en privé des SDF et de l'école publique, qui n’a en lui la moindre once d’humanité, aura toujours su comment resquiller pour avancer. Alors même que son diplôme de Master a dû être arraché par la grâce d’une faveur de François-Antoine Mariani, bientôt conseiller d'Edouard Philippe, qui voulut lui éviter un humiliant redoublement, il est consacré.

    Cet homme, comme tant d’autres avant lui, est désormais celui qui aura à décider de notre politique nucléaire et étrangère, antiterroriste, éducative et industrielle.

    Cela doit nous amener à nous interroger, et nous interdire de nous étonner que l’on manque demain d’amoxicilline, de lits d’hôpitaux et d’enseignants, suite à des décisions prises par de tels gouvernements.

    Je ne rentrerai pas en des considérations personnelles, sur le caractère profondément pervers et fourbe d’un être qui aura, tout au long de sa vie, fait montre d’une grande capacité à la cruauté et à la violence, elles-mêmes fruits de blessures mal pensées.

    Il y a plus grave et plus dangereux, car ces êtres le sont, et prêts à tout pour asservir et dominer. Je vous raconterai la façon dont, se présentant en victime, ils auront, à de nombreuses reprises, tenté de dévaster ceux qui les menaçaient. Leur instrumentalisation de l’appareil judiciaire, de la police, pour semer la terreur en un pays que l’on rêve démocratique.

    Il y a plus important que ces méfaits qui toucheront à ceux qui s’y sont opposés. Car la violence est l’instrument de ceux qui sont sans pensée et sans idée, et pour lesquels la politique n’est qu’un rapport de force dont le peuple est le nutriment. A peine arrivé au pouvoir, il faudra à Gabriel rémunérer et récompenser tous ceux qui, comme son maître, l’auront jusqu’ici appuyé. Et ce n’est que le début, puisque d’ores et déjà, 2027 est annoncé. La course sera effrénée. Tandis que des notes, sondages et fiches Bristol préparées par des conseillers, vont se multiplier pour nourrir ses interventions au cours d’un dîner, d’une invitation télévisée, d’un débat parlementaire pour parler de sujets dont il n’ont aucune idée, le fond va se voir rapidement évacué.

    Car si vous pensez que ces êtres vous gouvernent dans l’ambition de faire quelque chose d’un pays qu’ils n’ont jamais pensé, vous vous trompez. Les avez-vous un jour entendus parler de ce qu’ils pensent, de ce que nous sommes et deviendrons ? Ce n’est pas un hasard.

    Être un politique aujourd’hui, c’est se vouer à décider chaque année, de la distribution des ressources de l’Etat, ces milliards que nous produisons chaque année, et qui sont chaque année collectées par nos bureaucrates avinés. C’est être la personne qui pourra trancher en faveur de telle ou telle puissance, nommer les hauts fonctionnaires, recevant les informations qui, collectées par les services de renseignement, remonteront incessamment pour détruire ou protéger, distribuer privilèges et faveurs, opprimer ou dévaster.

    Voilà le pouvoir, pour les êtres avinés. Alors qu’importe Gabriel, ses failles et ses blessures. Son intimité, et ses béances, explorées et exposées. Son absence d'intellectualité, de rapport au monde et d’expérience d’un quelconque réel, cette ambition sans bornes et sans scrupules qui le consume et le dévore depuis qu’il est enfant, l’empêchant à tout rapport à l’autre et à toute pensée. Tout cela est qualité en un monde où les vices sont toujours récompensés.

    Ce qui compte, c’est que ce qui vient sera d'une violence difficile à imaginer. Et nous en porterons tous une collective responsabilité.

    Je prédis, en un environnement médiatique parfaitement contrôlé qui va lui attribuer mille succès, un jeu de massacres. Une rupture anthropologique. Car nous atteignons avec ces êtres, de nouveaux sommets. Que même Gérald Darmanin et Bruno Lemaire se soient inquiétés de sa nomination dit beaucoup de ce qui s’apprête à nous être présenté.

    Il nous faudra l’assumer. Prévenus, passifs, silencieux et pour beaucoup égoïstes et sans solidarité nous l’aurons cherché.

    Notre société, qui ne sait plus s'exiger, prospère sur le pillage de pans entiers de l'humanité. Repue et confuse, médiocre, elle ne se plus donne aucune arme, ni pour protéger ceux qui cherchent à la féconder, ni pour abattre ceux qui n'ont pour objectif que de la piller. Voilà un jeune premier, millionnaire avant ses trente ans de ce que lui offrait la société, que nous nous sommes montrés prêts à consacrer. Sans résister. Cela doit, sur nous et non sur lui, nous interroger.

    La France est-elle une idée morte, au point que l’on accepte de la placer entre les mains d’êtres mortuaires et que la vie a depuis longtemps quitté ? N’est-elle plus qu’un système où la prédation, la dévastation, normalisées, justifient qu’à sa tête, des êtres sans beauté ni humanité soient propulsés ?

    Je prédis à Gaby, qui n'a, en trois ans au gouvernement et sept ans de carrière politique, jamais rien fait ni démontré, mais surtout rien apporté à la communauté, de grands succès. Et je vous prédis que vous aurez, encore à encore, à les payer pour en maquiller les insuffisances, de façon sonnante et trébuchante, comme nous l’aurons toujours fait.

    Un dernier point. Que cela ne nous fasse en rien envie. Gaby, comme tant de ceux qui nous dirigent, n'est qu'un symptôme, et non, en soi, la difficulté.

    Ce a quoi il a dû sacrifier pour devenir est difficile à concevoir. Je le connais, intimement. Je sais ce qu’il a a combler.

    Je sais qu’il se vengera de ce que j’ai écrit, de ce qui a été dit de lui, et de la violence qu’il considère avoir subi, parce que des personnes auront osé dire de lui sa vérité.

    Pronostiquez-moi des heures sombres, alors que tout un appareil d’État est à ses pieds. Mais prenez le d’abord en pitié. D'être ce qu'il est.

    Et prenons-nous en pitié, d’avoir accepté que nous dominent des hommes dont la médiocrité ne cesse de prospérer, et qui n’ont que la violence, à défaut d’âmes et d’idées, comme qualité à nous proposer.

    Juan Branco

    2:15 PM · 9 janv. 2024 · 3,2 M vues

    En livre audio:

    https://youtube.com/watch?v=0IXhr5p_BPE&t=2s

    En quatre langues, gratuitement disponible, en libre accès, comme tous nos livres. https://aurores.org/crepuscule/

    Et dans toutes les librairies indépendantes. Courage et pensées.

    https://twitter.com/anatolium/status/1744709390471418143
    Par Juan Branco ✊ Crépuscule Il y a cinq ans, dans le cadre d’une longue enquête, je dessinais le portrait d’un politicien aux dents de lait auquel personne encore ne s’intéressait. Un certain Gabriel Attal. Nous étions en 2018, et ce livre, intitulé Crépuscule, démontrait comment l’ascension d’Emmanuel Macron, loin du phénomène démocratique spontané, avait pris assise sur une fabrication oligarchique qui bientôt Attal propulserait. J’y décrivais, en miroir, leurs deux parcours. Nous étions en 2018, et cet ouvrage, qui offrait une plongée inédite dans la façon dont le pouvoir se construisait en France, ferait immédiatement scandale, se voyant violemment attaqué par une presse aux ordres que je connaissais intimement, et dont les propriétaires, paniqués des secrets que je révélais, après m’avoir adoré, se répandraient dans le tout Paris en prétendant que tout cela n’était que mensonge, ressentiment et tromperie. Cinq ans plus tard, tout est là. Gabriel Attal, qui n’était personne, un primodéputé de 28 ans pistonné par son amant, vient d’être nommé premier ministre. Et la confirmation de ce qui était annoncé devra interroger ceux qui, pendant toute cette période, auront benoîtement cru ce qu’on leur disait au sujet de ce texte, ou se seront tus par peur d’être ostracisés. La publication de l’ouvrage, en libre accès, fut un véritable phénomène de société. Sans aucun relais médiatique, un million de personnes le téléchargèrent. 500.000 en écoutèrent la version audio, puis, une fois édité en librairies, 170.000 l’achetèrent. Cette base immense, qui se voyait raconter comment la démocratie en France n’était qu’une illusion, suscita rapidement une inquiétude et une réaction effrénée de la part du pouvoir, mais surtout de ses relais, paniqué à l’idée que la vérité fut faite, non seulement sur ses êtes, mais sur la façon dont ils étaient propulsés. Rappelons-nous qu’Aurore Bergé alla jusqu’à au Procureur de la République, m’accusant d’avoir « armé les esprits ». On ne rit pas. La suite, on la connaît. Lorsque le livre paru - nous étions à l’automne 2018 - les gilets jaunes ne s'étaient pas encore élancés, et Paris roucoulait d’amour pour ce pouvoir que le reste de la France abhorrait. L’omerta était telle que l’ouvrage ne trouverait de longs mois aucun éditeur, circulant de main en main, sous la poche. Des signaux faibles pourtant émergeaient. Gérard Collomb, débordé par l’affaire Benalla, refusait de faire ce qu’on lui demandait, et discrètement, démissionnait d’un pouvoir qu’il avait fait naître. Pendant près de quinze jours, personne ne lui succéderait, révélant une crise de régime qui se verrait habilement masquée par les perquisitions de la France Insoumise et la réaction déplacée de Jean-Luc Mélenchon. Comme un enfant, pris la main dans le pot, ne croyant pas ce qu’il voyait, il se laisserait avoir par une opération d’intimidation spectaculaire dont le seul objet était de détourné l’attention de ce qui, au gouvernement, s’installait. Trop franc, trop innocent, il fut ce jour là, de la macronie, le parfait instrument. La crise politique était évitée, mais le peuple grondait. Car la France s’effondrait. Les premières pénuries de médicament accompagnaient un effondrement de l’école, de la santé et de la sécurité. Ce pouvoir sans légitimité ni provenance, n’avait d’autre choix que de piller, et multipliait les dispositifs fiscaux pour, d’un côté, récompenser ceux qui l’avaient fait, et de l’autre, le faire payer aux restes des français. Personne ne se reconnaissait en ces êtres qui étaient censés les représenter, menteurs patentés qui, prétendant financer la transition écologique, créaient une taxe carburant pour financer le CICE, une exemption d’impôts pour les plus argentés. Gabriel, qui n'était alors qu’un primodéputé pistonné par son amoureux, donc, Stéphane Séjourné, conseiller politique du Président, avait obtenu contre menues coucheries sa circonscription, et tentait de se frayer un chemin dans ce magma là. Il avait rencontré son compagnon après avoir été propulsé à 22 ans au cabinet de la ministre de la santé Marisol Touraine par les grâces de sa fille, aux côtés de son futur conjoint Olivier Véran et Benjamin Griveaux. 6000 euros par mois, chauffeur et secrétariat pour un jeune homme qui n’était pas encore diplômé - des privilèges qui lui seront désormais garantis à vie – voilà qui a de quoi séduire et exciter. Sans parcours professionnel ni titres à proposer, on l’avait entendu défendre laborieusement deux réformes, Parcoursup et le SNU à l’Assemblée nationale, alternant entre l’insignifiant et le catastrophique. Il bégayait légèrement, et comme à chaque fois qu’il craignait que son imposture fût révélée, ou que ses mensonges furent décelés, laissait un sourire en coin le dominer. Gabriel faisait des pieds et des mains, déjà, pour entrer au gouvernement, et ces articles, en macronie, constituaient de puissants arguments. La rumeur bruissait auprès de ses camarades députés. De puissantes forces l’accompagnaient. A peine élu, ses premiers pas étaient immortalisés dans Paris Match. Rien n’était dit sur celui qu’il était. Une photographie mi-allongé, coupe de vin à la main, le mettait en avant avantageusement, parlant de Fort Boyard et d’Orelsan, au soleil, en une pose lascive, chemise ouverte à la BHL, sur les quais de Paris devant la Seine et le Grand Palais. Paris Match, à 28 ans ? Ce sont des centaines de milliers de lecteurs chaque semaine. Chaque semaine, Gabriel, cet été, y serait montré. Comment faisait-il ? Paris bruissait et commençait à s’interroger. Gabriel, lui, fonçait. C’est qu’après avoir fait le siège de son amoureux versaillais, Séjourné lui avait arrangé une rencontre auprès de Brigitte qui au gouvernement, auprès de Blanquer l’avait promu, et de Mimi Marchand et quelques autres proxénètes et trafiquants, l’introduisait. C’était eux qui, à la manœuvre, avait fabriqué ces articles que Paris Match et Bruno Jeudy s’étaient contentés de publier. Les mois passèrent, et Gabriel Attal, comme en tous ses postes, n’y fit que concrétiser son ambition effrénée. Le SNU, dont il avait la charge, s’effondrait, mais le petit cabinet qu’il avait pu constituer lui organisait déjeuners et dîners avec le tout Paris. En frénésie. Gabriel avait compris que pour les êtres sans qualité, la solution était de courir, et de courir vite, sautant de maroquin en maroquin comme il irait de conjoint en conjoint, imitant Emmanuel Macron, c’est-à-dire recherchant ses promotions avant que le moindre résultat puisse lui être attribué. Avant que le moindre échec ne pût lui être imputé. Les postes passèrent, et les oligarques se rapprochèrent. Bernard Arnault donnait ses instructions au Parisien, tandis que Brigitte Macron appelait Marc-Olivier Fogiel pour lui dire de le couver. Les portraits flatteurs fleurissaient. Gabriel sautait à temps sur le porte-parolat du gouvernement que son nouveau conjoint quittait, tandis que Séjourné, à Bruxelles, se voyait exilé. Sentant les limites s’approcher, le voilà qui à nouveau s’enfuyait au ministère du budget. Comme partout, il en partirait sans bilan, avant même d’avoir présenté un budget. Ministre de l’éducation, il se verrait propulsé à Matignon avant qu’une année scolaire n’ait été achevé et que la moindre mesure qu’il ait annoncé n’ait été appliquée. Qu’importait que les réformes sur le harcèlement, le brevet, le bac, n’eussent été appliquées. Qu’aucune loi n’ait été votée. Agitation, mouvement et une importante équipe de communication - les seuls conseillers qui l’ont partout suivi traitent de ces questions: l’obsession, recouvrir l’imposture et se protéger de ses effets. Imiter le daron. De ce qui a suivi, des tournées américaines au Bildeberg hollandais, entre deux plans comm’ avec des influenceurs et des émissions confessions sur les plus grandes chaines de télévision, il n’est pas besoin de le rappeler. La connexion Marchand-Fogiel-Macron a permis, ces derniers mois, un bombardement sur BFM TV dont personne n’a parlé, et qui n’avait qu’une vocation: préparer l’opinion à l’ascension du fils prodige de l’Elysée, sur le modèle de Macron. Les dîners avec Crespo-Mara et Ardisson, sur 7 à 8, auront préparé le chemin à ce qui aujourd’hui est. Qu’importe que tout soit mensonger. Qu’importe que tout soit inventé. Aujourd’hui, Premier ministre, il l’est. La France, nous l’avons dit, n’est pas une démocratie. Elle est une oligarchie où le contrôle de l’image vaut politique et façon de l’opinion. Seuls ceux qui n’ont pas lu Crépuscule s’étonneront, a fortiori, se féliciteront, de ce parcours prodigieux que toute la presse va vous louer. Pour Gabriel Attal, c’est un soulagement. Le voilà à la tête de l’Etat, comme il en rêvait et l’annonçait depuis l’âge de 14 ans. Lui qui posait dans son yearbook de l’école alsacienne avec sa tête accolée à la photographie de Georges Pompidou, qui n’a jamais eu d’expérience professionnelle si ce n’est un stage pistonné à la Villa Médicis, a été incapable de compléter sa scolarité à SciencesPo, rit en privé des SDF et de l'école publique, qui n’a en lui la moindre once d’humanité, aura toujours su comment resquiller pour avancer. Alors même que son diplôme de Master a dû être arraché par la grâce d’une faveur de François-Antoine Mariani, bientôt conseiller d'Edouard Philippe, qui voulut lui éviter un humiliant redoublement, il est consacré. Cet homme, comme tant d’autres avant lui, est désormais celui qui aura à décider de notre politique nucléaire et étrangère, antiterroriste, éducative et industrielle. Cela doit nous amener à nous interroger, et nous interdire de nous étonner que l’on manque demain d’amoxicilline, de lits d’hôpitaux et d’enseignants, suite à des décisions prises par de tels gouvernements. Je ne rentrerai pas en des considérations personnelles, sur le caractère profondément pervers et fourbe d’un être qui aura, tout au long de sa vie, fait montre d’une grande capacité à la cruauté et à la violence, elles-mêmes fruits de blessures mal pensées. Il y a plus grave et plus dangereux, car ces êtres le sont, et prêts à tout pour asservir et dominer. Je vous raconterai la façon dont, se présentant en victime, ils auront, à de nombreuses reprises, tenté de dévaster ceux qui les menaçaient. Leur instrumentalisation de l’appareil judiciaire, de la police, pour semer la terreur en un pays que l’on rêve démocratique. Il y a plus important que ces méfaits qui toucheront à ceux qui s’y sont opposés. Car la violence est l’instrument de ceux qui sont sans pensée et sans idée, et pour lesquels la politique n’est qu’un rapport de force dont le peuple est le nutriment. A peine arrivé au pouvoir, il faudra à Gabriel rémunérer et récompenser tous ceux qui, comme son maître, l’auront jusqu’ici appuyé. Et ce n’est que le début, puisque d’ores et déjà, 2027 est annoncé. La course sera effrénée. Tandis que des notes, sondages et fiches Bristol préparées par des conseillers, vont se multiplier pour nourrir ses interventions au cours d’un dîner, d’une invitation télévisée, d’un débat parlementaire pour parler de sujets dont il n’ont aucune idée, le fond va se voir rapidement évacué. Car si vous pensez que ces êtres vous gouvernent dans l’ambition de faire quelque chose d’un pays qu’ils n’ont jamais pensé, vous vous trompez. Les avez-vous un jour entendus parler de ce qu’ils pensent, de ce que nous sommes et deviendrons ? Ce n’est pas un hasard. Être un politique aujourd’hui, c’est se vouer à décider chaque année, de la distribution des ressources de l’Etat, ces milliards que nous produisons chaque année, et qui sont chaque année collectées par nos bureaucrates avinés. C’est être la personne qui pourra trancher en faveur de telle ou telle puissance, nommer les hauts fonctionnaires, recevant les informations qui, collectées par les services de renseignement, remonteront incessamment pour détruire ou protéger, distribuer privilèges et faveurs, opprimer ou dévaster. Voilà le pouvoir, pour les êtres avinés. Alors qu’importe Gabriel, ses failles et ses blessures. Son intimité, et ses béances, explorées et exposées. Son absence d'intellectualité, de rapport au monde et d’expérience d’un quelconque réel, cette ambition sans bornes et sans scrupules qui le consume et le dévore depuis qu’il est enfant, l’empêchant à tout rapport à l’autre et à toute pensée. Tout cela est qualité en un monde où les vices sont toujours récompensés. Ce qui compte, c’est que ce qui vient sera d'une violence difficile à imaginer. Et nous en porterons tous une collective responsabilité. Je prédis, en un environnement médiatique parfaitement contrôlé qui va lui attribuer mille succès, un jeu de massacres. Une rupture anthropologique. Car nous atteignons avec ces êtres, de nouveaux sommets. Que même Gérald Darmanin et Bruno Lemaire se soient inquiétés de sa nomination dit beaucoup de ce qui s’apprête à nous être présenté. Il nous faudra l’assumer. Prévenus, passifs, silencieux et pour beaucoup égoïstes et sans solidarité nous l’aurons cherché. Notre société, qui ne sait plus s'exiger, prospère sur le pillage de pans entiers de l'humanité. Repue et confuse, médiocre, elle ne se plus donne aucune arme, ni pour protéger ceux qui cherchent à la féconder, ni pour abattre ceux qui n'ont pour objectif que de la piller. Voilà un jeune premier, millionnaire avant ses trente ans de ce que lui offrait la société, que nous nous sommes montrés prêts à consacrer. Sans résister. Cela doit, sur nous et non sur lui, nous interroger. La France est-elle une idée morte, au point que l’on accepte de la placer entre les mains d’êtres mortuaires et que la vie a depuis longtemps quitté ? N’est-elle plus qu’un système où la prédation, la dévastation, normalisées, justifient qu’à sa tête, des êtres sans beauté ni humanité soient propulsés ? Je prédis à Gaby, qui n'a, en trois ans au gouvernement et sept ans de carrière politique, jamais rien fait ni démontré, mais surtout rien apporté à la communauté, de grands succès. Et je vous prédis que vous aurez, encore à encore, à les payer pour en maquiller les insuffisances, de façon sonnante et trébuchante, comme nous l’aurons toujours fait. Un dernier point. Que cela ne nous fasse en rien envie. Gaby, comme tant de ceux qui nous dirigent, n'est qu'un symptôme, et non, en soi, la difficulté. Ce a quoi il a dû sacrifier pour devenir est difficile à concevoir. Je le connais, intimement. Je sais ce qu’il a a combler. Je sais qu’il se vengera de ce que j’ai écrit, de ce qui a été dit de lui, et de la violence qu’il considère avoir subi, parce que des personnes auront osé dire de lui sa vérité. Pronostiquez-moi des heures sombres, alors que tout un appareil d’État est à ses pieds. Mais prenez le d’abord en pitié. D'être ce qu'il est. Et prenons-nous en pitié, d’avoir accepté que nous dominent des hommes dont la médiocrité ne cesse de prospérer, et qui n’ont que la violence, à défaut d’âmes et d’idées, comme qualité à nous proposer. Juan Branco 2:15 PM · 9 janv. 2024 · 3,2 M vues En livre audio: https://youtube.com/watch?v=0IXhr5p_BPE&t=2s En quatre langues, gratuitement disponible, en libre accès, comme tous nos livres. https://aurores.org/crepuscule/ Et dans toutes les librairies indépendantes. Courage et pensées. https://twitter.com/anatolium/status/1744709390471418143
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  • Entretien grand format avec Kémi Séba, président de l’ONG Urgences panafricanistes et figure de proue du mouvement d’indépendance des pays africains, qui dénonce la mainmise des puissances occidentales sur les pays de ce continent et leurs États profonds.
    https://www.francesoir.fr/videos-l-entretien-essentiel/entretien-avec-kemi-seba-critique-de-l-oligarchie-financiere-apatride
    Entretien grand format avec Kémi Séba, président de l’ONG Urgences panafricanistes et figure de proue du mouvement d’indépendance des pays africains, qui dénonce la mainmise des puissances occidentales sur les pays de ce continent et leurs États profonds. https://www.francesoir.fr/videos-l-entretien-essentiel/entretien-avec-kemi-seba-critique-de-l-oligarchie-financiere-apatride
    WWW.FRANCESOIR.FR
    Entretien avec Kémi Séba : critique de “l’oligarchie financière apatride”, mainmise de l’occident sur l’Afrique et servitude volontaire | FranceSoir
    ENTRETIEN – Nous recevons Kémi Séba, président de l’ONG Urgences panafricanistes, militant pour l’indépendance et la souveraineté des peuples. Figure de proue du mouvement panafricaniste depuis plus de 15 ans, il n’a eu de cesse de dénoncer les manipulations de ‘’l’oligarchie financière apatride’’, puissances privées qui financent les politiques et les médias et soufflent aux oreilles des élus en place.
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  • Alexis Haupt Philosophie

    "Au fond, vous savez ce que je pense ? Leur place est en prison. Vraiment.
    .Ces juges qui vendent leur fille sur des sites internet.
    .Ces autres juges qui ne condamnent pas leurs confrères pédocriminels.
    .Ces médecins de plateau corrompus ayant menti par intérêt.
    .Ces politiques achetés qui ont œuvré pour un plan de destruction du pays, à tout niveau.
    .Ces gens qui propagent des discours expliquant à des petits enfants qu'ils peuvent changer de sexe.
    .Ces fact-checkeurs et autres journalistes de connivence qui sont les avocats de toutes ces choses en taxant de complotistes ceux qui les dénoncent.
    .Cette oligarchie immorale et immonde qui pilote tout ce beau monde sans aucun état d'âme et qui fait la pluie et le beau temps en gérant les humains comme du bétail au sein de cette belle ploutocratie.

    Oui, je crois que votre place à tous est en prison. Ce que vous avez fait et continuez à faire est très grave : vous mettez la vie d'êtres humains en danger, vous dissimulez ce que vous faites, vous réprimez ceux qui vous dénoncent à coup de complosophisme ou autres procédés de terrorisme intellectuel.

    Bref, je crois ne rien de dire d'exageré ni de bien extraordinaire en disant que vous devriez être en prison. Je n'ai pas de haine : je suis déterministe et je crois qu'il était écrit dans l'histoire de l'univers que vous alliez vous comporter ainsi. En effet, tout est une suite de cause à effet depuis l'instant zéro de l'univers : le futur est donc déjà écrit. Tout ce qui s'est passé et se qui passera était écrit dans l'algorithme vertigineux et immaîtrisable de l'univers. Y compris ce message que je suis en train de tapoter actuellement à 20h20 en pantoufles sur mon canapé.
    Ainsi, je m'exprime sans jugement et je suis capable de la plus grande prouesse du cerveau humain : le pardon. Néanmoins, cela ne dissout pas le fait que vous devez être punis et que je me dois de le rappeler. Nombre de philosophes tournent autour du pot, ils ont des livres à vendre. Contrairement à ce que l'on pourrait croire, ce n'est pas mon cas, sinon j'aurais accepté les propositions que l'on m'a faites et je serais actuellement en train de faire semblant de philosopher sur des plateaux TV en répondant aux questions des journalistes. Mais je ne veux pas débattre dans une bulle, avec une liste de thèmes et de questions autorisées : je veux être celui qui choisit les sujets et non celui qui accepte de participer à des débats organisés, contrôlés. Et puis, je fuis la lumière.
    À nouveau : je ne suis pas venu ici pour pour vendre mais pour rappeler que 1 et 1 font 2 et que la place des traîtres, des voleurs, des menteurs, des criminels, des corrompus, des corrupteurs, des comploteurs et des manges-peuples est en prison."

    8:26 PM · 22 déc. 2023 · 8 811 vues

    https://twitter.com/AlexisPhilo/status/1738279842536214553
    Alexis Haupt Philosophie "Au fond, vous savez ce que je pense ? Leur place est en prison. Vraiment. .Ces juges qui vendent leur fille sur des sites internet. .Ces autres juges qui ne condamnent pas leurs confrères pédocriminels. .Ces médecins de plateau corrompus ayant menti par intérêt. .Ces politiques achetés qui ont œuvré pour un plan de destruction du pays, à tout niveau. .Ces gens qui propagent des discours expliquant à des petits enfants qu'ils peuvent changer de sexe. .Ces fact-checkeurs et autres journalistes de connivence qui sont les avocats de toutes ces choses en taxant de complotistes ceux qui les dénoncent. .Cette oligarchie immorale et immonde qui pilote tout ce beau monde sans aucun état d'âme et qui fait la pluie et le beau temps en gérant les humains comme du bétail au sein de cette belle ploutocratie. Oui, je crois que votre place à tous est en prison. Ce que vous avez fait et continuez à faire est très grave : vous mettez la vie d'êtres humains en danger, vous dissimulez ce que vous faites, vous réprimez ceux qui vous dénoncent à coup de complosophisme ou autres procédés de terrorisme intellectuel. Bref, je crois ne rien de dire d'exageré ni de bien extraordinaire en disant que vous devriez être en prison. Je n'ai pas de haine : je suis déterministe et je crois qu'il était écrit dans l'histoire de l'univers que vous alliez vous comporter ainsi. En effet, tout est une suite de cause à effet depuis l'instant zéro de l'univers : le futur est donc déjà écrit. Tout ce qui s'est passé et se qui passera était écrit dans l'algorithme vertigineux et immaîtrisable de l'univers. Y compris ce message que je suis en train de tapoter actuellement à 20h20 en pantoufles sur mon canapé. Ainsi, je m'exprime sans jugement et je suis capable de la plus grande prouesse du cerveau humain : le pardon. Néanmoins, cela ne dissout pas le fait que vous devez être punis et que je me dois de le rappeler. Nombre de philosophes tournent autour du pot, ils ont des livres à vendre. Contrairement à ce que l'on pourrait croire, ce n'est pas mon cas, sinon j'aurais accepté les propositions que l'on m'a faites et je serais actuellement en train de faire semblant de philosopher sur des plateaux TV en répondant aux questions des journalistes. Mais je ne veux pas débattre dans une bulle, avec une liste de thèmes et de questions autorisées : je veux être celui qui choisit les sujets et non celui qui accepte de participer à des débats organisés, contrôlés. Et puis, je fuis la lumière. À nouveau : je ne suis pas venu ici pour pour vendre mais pour rappeler que 1 et 1 font 2 et que la place des traîtres, des voleurs, des menteurs, des criminels, des corrompus, des corrupteurs, des comploteurs et des manges-peuples est en prison." 8:26 PM · 22 déc. 2023 · 8 811 vues https://twitter.com/AlexisPhilo/status/1738279842536214553
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  • "Ces déclarations, suite à des faits divers tragiques, vous permettent de comprendre le virage stratégique qu'est en train de prendre le mondialisme.
    La première étape fut d'importer massivement des populations étrangères pour saper la cohésion sociale, faire monter l'insécurité et plus généralement déstabiliser la société. A ce moment là, toute critique de l'immigration de masse et de ses conséquences était impossible, les chiens de garde y veillaient.
    Désormais, nous entrons dans la deuxième phase. Compte tenu du fait que les conséquences de cette immigration de masse ne peuvent plus être niées, cachées et que l'intimidation ne fonctionne plus, le système mondialiste change de discours : les faits divers sont mis en avant, les sondages montrent le ras-le-bol des Français et on prépare les esprits à une inévitable "guerre civile". Ceux-là même qui, il y a 10 ans, étaient les premiers à louer la société diverse et multiculturelle, nous alertent tout à coup des dangers de l'islamisation.
    A ce stade, il est essentiel de comprendre que la stratégie du mondialisme, tel un pompier pyromane, est de créer des problèmes dont il va ensuite vous apporter la solution. Dans ce cas précis, l'insécurité et le risque de "guerre civile" vont servir de justifications à la mise en place d'une surveillance encore plus étroite et généralisée, des restrictions encore plus grande des libertés (comme la fin de l'école à la maison pour lutter contre le "séparatisme"), et surtout, diviser la société pour empêcher toute réelle union du peuple contre cette oligarchie composée de pervers, de traîtres et de dégénérés.
    L'objectif final a toujours été que ce soit le peuple qui, épuisé, apeuré et sous tension permanente, demande lui-même la mise en place de la société de surveillance et du Nouvel ordre mondial. Ne tombez pas dans le piège et prenez garde à tous ceux qui sous couvert de "dire la vérité", font en réalité l’œuvre du diable.
    "Ces hommes-là sont de faux apôtres, des ouvriers trompeurs, déguisés en apôtres de Christ. Et cela n'est pas étonnant, puisque Satan lui-même se déguise en ange de lumière. Il n'est donc pas étrange que ses ministres aussi se déguisent en ministres de justice." 2 Corinthiens 11

    Stanislas Berton

    https://twitter.com/StanislasBerton/status/1726871643853635759

    🔴 “La guerre civile nous pend au nez”, alerte le dessinateur Enki Bilal ⤵️

    https://www.valeursactuelles.com/societe/la-guerre-civile-nous-pend-au-nez-alerte-le-dessinateur-enki-bilal
    "Ces déclarations, suite à des faits divers tragiques, vous permettent de comprendre le virage stratégique qu'est en train de prendre le mondialisme. La première étape fut d'importer massivement des populations étrangères pour saper la cohésion sociale, faire monter l'insécurité et plus généralement déstabiliser la société. A ce moment là, toute critique de l'immigration de masse et de ses conséquences était impossible, les chiens de garde y veillaient. Désormais, nous entrons dans la deuxième phase. Compte tenu du fait que les conséquences de cette immigration de masse ne peuvent plus être niées, cachées et que l'intimidation ne fonctionne plus, le système mondialiste change de discours : les faits divers sont mis en avant, les sondages montrent le ras-le-bol des Français et on prépare les esprits à une inévitable "guerre civile". Ceux-là même qui, il y a 10 ans, étaient les premiers à louer la société diverse et multiculturelle, nous alertent tout à coup des dangers de l'islamisation. A ce stade, il est essentiel de comprendre que la stratégie du mondialisme, tel un pompier pyromane, est de créer des problèmes dont il va ensuite vous apporter la solution. Dans ce cas précis, l'insécurité et le risque de "guerre civile" vont servir de justifications à la mise en place d'une surveillance encore plus étroite et généralisée, des restrictions encore plus grande des libertés (comme la fin de l'école à la maison pour lutter contre le "séparatisme"), et surtout, diviser la société pour empêcher toute réelle union du peuple contre cette oligarchie composée de pervers, de traîtres et de dégénérés. L'objectif final a toujours été que ce soit le peuple qui, épuisé, apeuré et sous tension permanente, demande lui-même la mise en place de la société de surveillance et du Nouvel ordre mondial. Ne tombez pas dans le piège et prenez garde à tous ceux qui sous couvert de "dire la vérité", font en réalité l’œuvre du diable. "Ces hommes-là sont de faux apôtres, des ouvriers trompeurs, déguisés en apôtres de Christ. Et cela n'est pas étonnant, puisque Satan lui-même se déguise en ange de lumière. Il n'est donc pas étrange que ses ministres aussi se déguisent en ministres de justice." 2 Corinthiens 11 Stanislas Berton https://twitter.com/StanislasBerton/status/1726871643853635759 🔴 “La guerre civile nous pend au nez”, alerte le dessinateur Enki Bilal ⤵️ https://www.valeursactuelles.com/societe/la-guerre-civile-nous-pend-au-nez-alerte-le-dessinateur-enki-bilal
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  • "En ce 11 novembre, s'il faut célébrer le courage et le sacrifice de tous ceux qui se sont battus et sont morts pour la France, il ne faut pas non plus oublier que la Première Guerre mondiale fut une boucherie voulue et organisée par le mondialisme britannique avec comme objectif de saigner la France, de neutraliser l'Allemagne et de jeter, post-conflit, les premières bases d'un gouvernement mondial, "garantie de la paix" avec la Société des Nations.

    Comme à chaque fois, l'oligarchie mondialiste finança et arma les deux camps et envoya le peuple se faire massacrer avec la complicité d'une partie des généraux et des politiques français. Comme aujourd'hui, les médias de masse furent un instrument de propagande chargés de vendre la guerre à l'opinion publique via des éléments de langage et l'instrumentalisation du nationalisme et du sentiment patriotique.

    Pour honorer réellement nos morts, révélons qui les a envoyé au massacre, apprenons à ne plus nous faire manipuler par la propagande de guerre et surtout, assurons-nous que cette oligarchie criminelle qui, depuis des siècles, sème la mort, le chaos et le mensonge, soit neutralisée et jugée pour ses innombrables crimes."

    "Heureux ceux qui sont morts pour des cités charnelles. Car elles sont le corps de la cité de Dieu.
    Heureux ceux qui sont morts pour leur âtre et leur feu, et les pauvres honneurs des maisons paternelles."
    Charles Péguy

    Stanislas Berton

    Pour ceux qui voudraient creuser sur les vrais responsables de la Première Guerre mondiale et les intérêts qu'ils défendaient:

    https://strategika.fr/2022/10/09/les-origines-secretes-de-la-premiere-guerre-mondiale/

    https://lesakerfrancophone.fr/hidden-history-les-origines-secretes-de-la-premiere-guerre-mondial

    Via : https://twitter.com/StanislasBerton/status/1723252814531432526
    "En ce 11 novembre, s'il faut célébrer le courage et le sacrifice de tous ceux qui se sont battus et sont morts pour la France, il ne faut pas non plus oublier que la Première Guerre mondiale fut une boucherie voulue et organisée par le mondialisme britannique avec comme objectif de saigner la France, de neutraliser l'Allemagne et de jeter, post-conflit, les premières bases d'un gouvernement mondial, "garantie de la paix" avec la Société des Nations. Comme à chaque fois, l'oligarchie mondialiste finança et arma les deux camps et envoya le peuple se faire massacrer avec la complicité d'une partie des généraux et des politiques français. Comme aujourd'hui, les médias de masse furent un instrument de propagande chargés de vendre la guerre à l'opinion publique via des éléments de langage et l'instrumentalisation du nationalisme et du sentiment patriotique. Pour honorer réellement nos morts, révélons qui les a envoyé au massacre, apprenons à ne plus nous faire manipuler par la propagande de guerre et surtout, assurons-nous que cette oligarchie criminelle qui, depuis des siècles, sème la mort, le chaos et le mensonge, soit neutralisée et jugée pour ses innombrables crimes." "Heureux ceux qui sont morts pour des cités charnelles. Car elles sont le corps de la cité de Dieu. Heureux ceux qui sont morts pour leur âtre et leur feu, et les pauvres honneurs des maisons paternelles." Charles Péguy Stanislas Berton Pour ceux qui voudraient creuser sur les vrais responsables de la Première Guerre mondiale et les intérêts qu'ils défendaient: https://strategika.fr/2022/10/09/les-origines-secretes-de-la-premiere-guerre-mondiale/ https://lesakerfrancophone.fr/hidden-history-les-origines-secretes-de-la-premiere-guerre-mondial Via : https://twitter.com/StanislasBerton/status/1723252814531432526
    STRATEGIKA.FR
    Les origines secrètes de la Première Guerre mondiale - Strategika
    Il existe de multiples thèses sur les causes de la Première Guerre mondiale. Pour certains, c’est l’Allemagne qui est coupable. Pour d’autres, c’est la Russie et le clan belliciste français qui ont poussé à l’affrontement. Pour d’autre, c’est le jeu mécanique de l’enchaînement des alliances qui a rendu la guerre totale inévitable. Sans oublier, bien entendu, la thèse marxiste qui considère que la Première Guerre mondiale était provoquée par le capitalisme. La thèse qui est présentée ici met en cause les puissances anglo-saxonnes. C’est une thèse qui vaut d’être présentée et débattue car on ne peut connaitre la vérité historique que par la confrontation des points de vue.
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  • Pétition nationale pour une alliance des souverainistes sincères aux élections européennes du 9 juin 2024 !

    La coalition pour attaquer le Système c’est une évidence !
    Sur une ligne claire, 100% anti-oligarchie, 100% libertés et France libre ! 🇫🇷
    Alors signons et partageons partout !
    ➡️ https://les-patriotes.fr/les-souverainistes-doivent-sallier-aux-elections-europeennes/
    Pétition nationale pour une alliance des souverainistes sincères aux élections européennes du 9 juin 2024 ! La coalition pour attaquer le Système c’est une évidence ! Sur une ligne claire, 100% anti-oligarchie, 100% libertés et France libre ! 🇫🇷 Alors signons et partageons partout ! ➡️ https://les-patriotes.fr/les-souverainistes-doivent-sallier-aux-elections-europeennes/
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  • ⬇️🔊 #ChangementDeRégime
    Révolution de l'oligarchie : on est passé d'un État soit disant démocratique libéral à un État tyrannique et totalitaire pour imposer ce nouveau paradigme qui est celui du soviéto-capitalisme.

    Vidéo 30 secondes 👌 :

    https://twitter.com/i/status/1707278623583908127

    https://crowdbunker.com/v/kP1VV9Pnyh
    ⬇️🔊 #ChangementDeRégime Révolution de l'oligarchie : on est passé d'un État soit disant démocratique libéral à un État tyrannique et totalitaire pour imposer ce nouveau paradigme qui est celui du soviéto-capitalisme. Vidéo 30 secondes 👌 : https://twitter.com/i/status/1707278623583908127 https://crowdbunker.com/v/kP1VV9Pnyh
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  • « La meilleure résistance au totalitarisme, c'est de nourrir l'âme humaine » – Ariane Bilheran

    Diplômée de l’École normale supérieure (Ulm), Ariane Bilheran est philosophe, psychologue clinicienne et docteur en psychopathologie. Elle est spécialisée dans l’étude de la psychopathologie du pouvoir, de la manipulation, de la perversion, de la paranoïa, du harcèlement et du totalitarisme.

    Il y a quelques mois, elle a publié un nouvel ouvrage intitulé « Sur le Totalitarisme, conférences 2021-2022 », qui rassemble plusieurs conférences consacrées au phénomène totalitaire.

    Au regard de ses travaux en psychopathologie, Ariane Bilheran considère que le totalitarisme correspond « à un délire paranoïaque », c’est-à-dire « une pathologie de contrôle » et « de persécution » des populations.

    « La spécificité du totalitarisme consiste à viser la domination totale, notamment sur la vie intime des gens. Le totalitarisme s’approprie le corps des individus et les réduit à des corps que l’on peut anéantir. Dans le système totalitaire, l'être humain devient superflu. »

    Selon l’auteur, le totalitarisme fonctionne à l’idéologie – « une narration mensongère du point de vue de la vérité et de la réalité de l'expérience vécue » – et recourt à la propagande pour endoctriner les masses.

    « Les masses sont fabriquées. Cette fabrication passe essentiellement par la propagande, c’est-à-dire la répétition permanente d’un mensonge. C’est un lavage de cerveau. Nous avons des boîtes à endoctrinement qui sont notamment la télévision, et tout le règne de l’image en général », poursuit-elle.

    Outre le caractère mensonger des récits fabriqués par le pouvoir totalitaire, Ariane Bilheran relève le recours systématique aux paradoxes, qui permettent de sidérer la pensée, ainsi que la manipulation des émotions « à la terreur et à la culpabilité ».

    « La langue totalitaire change le sens des mots et introduit une série de paradoxes qui empêchent d'avoir accès à une langue qui permet de nommer la vérité des choses et de l'expérience. Quand on appelle santé publique le fait de ne pas soigner des gens, par exemple, nous sommes dans un langage mensonger. »

    Inspirée par les travaux d’Hannah Arendt, la philosophe estime que « le système totalitaire est la rencontre entre un pouvoir cynique et corrompu, et une masse d’individus crédules et obéissants ».

    « L'individu, parce qu'il appartient à un groupe, parce qu'il ne veut pas sortir de cette appartenance, va accepter différentes situations intolérables. À partir du moment où il s'est engagé dans des actes, c'est beaucoup plus difficile de faire machine arrière car il a accepté une collaboration et, inconsciemment, il est très compliqué pour lui d'assumer sa propre culpabilité. »

    Pour Ariane Bilheran, la lutte contre le totalitarisme consiste notamment à sortir des conditionnements collectifs pour reprendre « son pouvoir personnel », cultiver sa liberté d’esprit et sa spontanéité afin de retrouver « le chemin de notre vie intime ».

    « Nous avons affaire à un empoisonnement minutieux, généralisé, pas uniquement alimentaire, mais d'abord mental et émotionnel. La meilleure résistance au totalitarisme, c’est de nourrir l’âme humaine. »

    « Tout le monde doit s'interroger sur ses actes, ses choix et ses prises de décision. À quel moment et pourquoi est-ce que je collabore à ce système totalitaire ? Est-ce que je le fais par peur ? Par culpabilité ? Pour être tranquille ? Parce que j'y crois ? Tout cela doit être clarifié », conclut Ariane Bilheran.

    https://www.youtube.com/watch?v=Jlcv6OG2NYU

    Un extrait de quelques minutes :

    Une explication de la domination de cette oligarchie

    https://www.facebook.com/catherine.royer.10/posts/pfbid0JToY5EjUZeSqpRqBBgrQrPBfBimUyh2JYNUz5tSCv9wtbGgeqbTHZcPsrLJ3PR6Pl
    « La meilleure résistance au totalitarisme, c'est de nourrir l'âme humaine » – Ariane Bilheran Diplômée de l’École normale supérieure (Ulm), Ariane Bilheran est philosophe, psychologue clinicienne et docteur en psychopathologie. Elle est spécialisée dans l’étude de la psychopathologie du pouvoir, de la manipulation, de la perversion, de la paranoïa, du harcèlement et du totalitarisme. Il y a quelques mois, elle a publié un nouvel ouvrage intitulé « Sur le Totalitarisme, conférences 2021-2022 », qui rassemble plusieurs conférences consacrées au phénomène totalitaire. Au regard de ses travaux en psychopathologie, Ariane Bilheran considère que le totalitarisme correspond « à un délire paranoïaque », c’est-à-dire « une pathologie de contrôle » et « de persécution » des populations. « La spécificité du totalitarisme consiste à viser la domination totale, notamment sur la vie intime des gens. Le totalitarisme s’approprie le corps des individus et les réduit à des corps que l’on peut anéantir. Dans le système totalitaire, l'être humain devient superflu. » Selon l’auteur, le totalitarisme fonctionne à l’idéologie – « une narration mensongère du point de vue de la vérité et de la réalité de l'expérience vécue » – et recourt à la propagande pour endoctriner les masses. « Les masses sont fabriquées. Cette fabrication passe essentiellement par la propagande, c’est-à-dire la répétition permanente d’un mensonge. C’est un lavage de cerveau. Nous avons des boîtes à endoctrinement qui sont notamment la télévision, et tout le règne de l’image en général », poursuit-elle. Outre le caractère mensonger des récits fabriqués par le pouvoir totalitaire, Ariane Bilheran relève le recours systématique aux paradoxes, qui permettent de sidérer la pensée, ainsi que la manipulation des émotions « à la terreur et à la culpabilité ». « La langue totalitaire change le sens des mots et introduit une série de paradoxes qui empêchent d'avoir accès à une langue qui permet de nommer la vérité des choses et de l'expérience. Quand on appelle santé publique le fait de ne pas soigner des gens, par exemple, nous sommes dans un langage mensonger. » Inspirée par les travaux d’Hannah Arendt, la philosophe estime que « le système totalitaire est la rencontre entre un pouvoir cynique et corrompu, et une masse d’individus crédules et obéissants ». « L'individu, parce qu'il appartient à un groupe, parce qu'il ne veut pas sortir de cette appartenance, va accepter différentes situations intolérables. À partir du moment où il s'est engagé dans des actes, c'est beaucoup plus difficile de faire machine arrière car il a accepté une collaboration et, inconsciemment, il est très compliqué pour lui d'assumer sa propre culpabilité. » Pour Ariane Bilheran, la lutte contre le totalitarisme consiste notamment à sortir des conditionnements collectifs pour reprendre « son pouvoir personnel », cultiver sa liberté d’esprit et sa spontanéité afin de retrouver « le chemin de notre vie intime ». « Nous avons affaire à un empoisonnement minutieux, généralisé, pas uniquement alimentaire, mais d'abord mental et émotionnel. La meilleure résistance au totalitarisme, c’est de nourrir l’âme humaine. » « Tout le monde doit s'interroger sur ses actes, ses choix et ses prises de décision. À quel moment et pourquoi est-ce que je collabore à ce système totalitaire ? Est-ce que je le fais par peur ? Par culpabilité ? Pour être tranquille ? Parce que j'y crois ? Tout cela doit être clarifié », conclut Ariane Bilheran. https://www.youtube.com/watch?v=Jlcv6OG2NYU Un extrait de quelques minutes : Une explication de la domination de cette oligarchie https://www.facebook.com/catherine.royer.10/posts/pfbid0JToY5EjUZeSqpRqBBgrQrPBfBimUyh2JYNUz5tSCv9wtbGgeqbTHZcPsrLJ3PR6Pl
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  • Voilà plus de vingt ans que l’accès au web s’est généralisé. Vingt ans de fenêtre de tir ouverte pour s’informer, comprendre les mécanismes sous-jacents de l’Histoire, écouter les lanceurs d’alertes et partager les informations. Vingt ans de prise de conscience du plan de mise sous coupe réglée de l’Humanité, et l’oligarchie au pouvoir continue pourtant de pousser ses pions avec plusieurs coups d’avance… Certes, l’attachement aux idéologies, les querelles d’ego ou encore le parachutage d’éléments « anti-système » parfaitement inscrits dans la dialectique « thèse-antithèse » servant la synthèse finale n’ont pas joué en notre faveur. Mais il existe à cet état de fait des causes plus profondes sur lesquelles se pencher pour élucider le mystère d’une telle passivité face à notre élimination programmée.

    On relève souvent à juste titre le dangereux messianisme du mouvement sioniste, mais on omet d’observer que cette tournure d’esprit est commune aux cultures des trois religions Abrahamiques. Les courants de pensées prétendument athées qui s’en sont dégagés ne se sont jamais libérés de l’ultime séduction de remettre son corps, son esprit et son destin aux mains d’une entité plus forte, qu’elle soit étatique, scientiste ou collectiviste. Le projet du nouvel ordre mondial n’est qu’un savant mélange des trois, mâtiné de sauce new-âge pour complaire à la naïveté des idéalistes et à notre irrépressible besoin d’espérer.

    Trop de personnes nouvellement « éveillées » restent victimes du syndrome du sauveur, que celui-ci se porte sur Trump, Musk, Poutine, sur l’arrivée/le retour du Messie, la confédération galactique ou que sais-je encore. Il s’agit d’un cheval de Troie mental plurimillénaire, exploité pour maintenir les peuples enferrés dans un perpétuel triangle de Karpman et permettre aux dirigeants de mener à bien leurs projets.

    C’est la raison pour laquelle des gens comme Attali, Schwab ou Harari admettent ouvertement leur plan. L’objectif à cela est multiple : il s’agit d’abord de maintenir le public dans des basses vibrations. D’encourager la passivité propre à la sphère virtuelle, le sentiment d’impuissance et le fatalisme. Mais le fait de nous présenter ces finalités comme inéluctables participe aussi à l’effraction de notre libre-arbitre : plus nous accordons d’attention à l’avenir qu’ils préparent, plus nous nourrissons mentalement la potentialité qu’il se réalise. Ce n’est là ni plus ni moins qu’une extorsion de consentement. À ce titre, la grande divulgation à laquelle nous assistons concourt pleinement à la feuille de route mondialiste : liquider avec notre complicité l’ordre ancien pour participer de concert à l’avènement du nouveau.

    Comme nous le savons, la multiplication de crises générées de toutes pièces permet à chaque fois de faire accepter la « solution » prévue d’avance : le Covid pour l’injection, l’Ukraine dans une logique d’affrontement inter-blocs propice au resserrement du nœud coulant sur la gorge des peuples, le climat en vue d’instaurer le pass carbone et l’identité numérique… La stratégie du choc à répétition fonctionne à plusieurs niveaux : maintenir les populations non-informées dans la peur, la sidération et l’obéissance aveugle, et accroître peu à peu le chaos à un niveau tel que même les personnes au fait du programme tombent dans le piège de s’en remettre au « sauveur » qui prétendra les en délivrer.

    L’apparition d’un faux messie sera donc probablement le clou du spectacle ; l’ultime élément fédérateur derrière lequel unir les peuples de toutes les cultures sous une même bannière. Le transhumanisme n’est que la suite logique d’un processus ayant débuté par le fait de prêter des caractéristiques humaines à Dieu, et aboutissant à la déification de l’être humain. Il n’est donc pas impossible d’envisager qu’une fusion homme-machine nous arrête miraculeusement au seuil du feu nucléaire, ou autre évènement du même acabit, dans la plus pure tradition des prophéties autoréalisatrices.

    Nous devons donc à ce stade intégrer qu’il n’existe aucun salut à attendre de l’extérieur. Nous connaissons les noms et les organismes de ceux qui œuvrent délibérément à notre perte. Mais notre pire ennemi n’est pas à rechercher dans le carnet d’adresses du forum de Davos ni dans les couloirs du Pentagone. Ce pire ennemi se trouve tapi en nous-mêmes : dans les croyances dont nous libérer pour accéder à notre plein potentiel. Dans notre ego plaçant un voile de défiance et de peur entre celui que nous croyons être et le monde extérieur. Dans l’intellect et sa manière de substituer les noms et les habitudes que nous avons des êtres et des choses à leur appréhension directe. L’incarnation est, pour ainsi dire, une école où l’on commence par ingurgiter ce qui nous est imposé, puis où l’on doit tout désapprendre pour repartir de zéro par nous-mêmes.

    Et si la véritable foi n’était pas de croire, mais de voir ? De percevoir au niveau le plus subtil que l’on puisse ressentir l’existence d’une vibration universelle derrière la multitude des formes de vie. De découvrir que les animaux comme les végétaux sont emplis d’un amour dans lequel seule notre peur de disparaître nous empêche de nous fondre et d’enfin connaître la plénitude. Que même les minéraux respirent. Et que lorsque nous contemplons un arbre, ce que nous voyons n’est pas l’œuvre de Dieu, mais Dieu aussi bien dans son essence que dans son émanation. Vivre cette expérience induit une radicale transformation intérieure, suite à laquelle nous devenons imperméables à toute sollicitation parasite, à toute propagande, toute forme de chantage ou menace, mais aussi à toute séduction matérialiste.

    Dans le sillage de ce qui a lieu actuellement dans tout le système solaire, la vibration de notre planète est en train de changer. La chape de plomb astrale où se sont accumulées générations après générations souffrances et perversions commence à se dissoudre sous l’affaiblissement de notre champ magnétique. Il en résulte déjà des réminiscences de mémoires traumatiques, une prise de conscience d’aspects méconnus de nos personnalités et une sensibilité accrue à des phénomènes subtils de circulation et d’échanges d’énergie. Ces actuelles révélations, plus douloureuses que celle des méfaits de nos dirigeants, n’en sont qu’à leur commencement. La mise à nu du mal n’est qu’un prélude aux retrouvailles avec notre nature éternelle.

    De puissantes radiations solaires ont frappé la Terre au tout début de ce mois de juillet. Elles se sont fait ressentir au niveau des télécommunications, mais aussi dans nos corps et dans nos esprits de manière inédite. Cette éruption n’était pour autant qu’un coup de semonce. D’autres vagues suivront, de plus en plus fortes. Nous ne sommes qu’au début d’un processus cyclique que les apprentis-sorciers au pouvoir espèrent contrecarrer par le déploiement du continuum électromagnétique Haarp – chemtrails – ondes de toutes sortes et nanotechnologies injectées afin de conserver leur contrôle du cheptel humain. Cette tentative est vouée à l’échec, comme toute entreprise prométhéenne. L’ordre du jour est au balayement de tout ce que nous avions jusqu’ici connu.

    La mauvaise nouvelle dans tout cela est que la dépopulation prévue aura bien lieu. La bonne, est qu’elle ne sera pas réalisée selon les critères de sélection concoctés par les mondialistes. La lame de fond énergétique à venir affectera aussi bien les classes populaires que les élites autoproclamées. Il suffit d’observer les comportements pour constater que le phénomène a déjà démarré. Seuls les personnes capables d’accepter leur propre et totale remise en cause sauront traverser les temps qui s’ouvrent. Tous ceux restant attachés à leurs acquis, à leurs représentations du Monde et d’eux-mêmes, ou ceux qui auront misé sur la technologie pour s’en sortir seront emportés, psychiquement d’abord, puis physiquement.

    Les survivants ne seront pas quelques tribus de loqueteux revenus à l’âge des cavernes. Mais des individus pleinement conscients d’eux-mêmes et de leur imprescriptible lien avec tout le vivant. Des êtres Humains reliés à leur dimension spirituelle que rien ni personne ne saurait aliéner ou assujettir. Notre espèce aura trouvé sa place et son équilibre dans la mystérieuse équation des forces cosmiques.

    https://jbl1960blog.wordpress.com/2023/07/29/ex-machina-zenon-juillet-2023-version-pdf-de-jo-busta-lally/
    Voilà plus de vingt ans que l’accès au web s’est généralisé. Vingt ans de fenêtre de tir ouverte pour s’informer, comprendre les mécanismes sous-jacents de l’Histoire, écouter les lanceurs d’alertes et partager les informations. Vingt ans de prise de conscience du plan de mise sous coupe réglée de l’Humanité, et l’oligarchie au pouvoir continue pourtant de pousser ses pions avec plusieurs coups d’avance… Certes, l’attachement aux idéologies, les querelles d’ego ou encore le parachutage d’éléments « anti-système » parfaitement inscrits dans la dialectique « thèse-antithèse » servant la synthèse finale n’ont pas joué en notre faveur. Mais il existe à cet état de fait des causes plus profondes sur lesquelles se pencher pour élucider le mystère d’une telle passivité face à notre élimination programmée. On relève souvent à juste titre le dangereux messianisme du mouvement sioniste, mais on omet d’observer que cette tournure d’esprit est commune aux cultures des trois religions Abrahamiques. Les courants de pensées prétendument athées qui s’en sont dégagés ne se sont jamais libérés de l’ultime séduction de remettre son corps, son esprit et son destin aux mains d’une entité plus forte, qu’elle soit étatique, scientiste ou collectiviste. Le projet du nouvel ordre mondial n’est qu’un savant mélange des trois, mâtiné de sauce new-âge pour complaire à la naïveté des idéalistes et à notre irrépressible besoin d’espérer. Trop de personnes nouvellement « éveillées » restent victimes du syndrome du sauveur, que celui-ci se porte sur Trump, Musk, Poutine, sur l’arrivée/le retour du Messie, la confédération galactique ou que sais-je encore. Il s’agit d’un cheval de Troie mental plurimillénaire, exploité pour maintenir les peuples enferrés dans un perpétuel triangle de Karpman et permettre aux dirigeants de mener à bien leurs projets. C’est la raison pour laquelle des gens comme Attali, Schwab ou Harari admettent ouvertement leur plan. L’objectif à cela est multiple : il s’agit d’abord de maintenir le public dans des basses vibrations. D’encourager la passivité propre à la sphère virtuelle, le sentiment d’impuissance et le fatalisme. Mais le fait de nous présenter ces finalités comme inéluctables participe aussi à l’effraction de notre libre-arbitre : plus nous accordons d’attention à l’avenir qu’ils préparent, plus nous nourrissons mentalement la potentialité qu’il se réalise. Ce n’est là ni plus ni moins qu’une extorsion de consentement. À ce titre, la grande divulgation à laquelle nous assistons concourt pleinement à la feuille de route mondialiste : liquider avec notre complicité l’ordre ancien pour participer de concert à l’avènement du nouveau. Comme nous le savons, la multiplication de crises générées de toutes pièces permet à chaque fois de faire accepter la « solution » prévue d’avance : le Covid pour l’injection, l’Ukraine dans une logique d’affrontement inter-blocs propice au resserrement du nœud coulant sur la gorge des peuples, le climat en vue d’instaurer le pass carbone et l’identité numérique… La stratégie du choc à répétition fonctionne à plusieurs niveaux : maintenir les populations non-informées dans la peur, la sidération et l’obéissance aveugle, et accroître peu à peu le chaos à un niveau tel que même les personnes au fait du programme tombent dans le piège de s’en remettre au « sauveur » qui prétendra les en délivrer. L’apparition d’un faux messie sera donc probablement le clou du spectacle ; l’ultime élément fédérateur derrière lequel unir les peuples de toutes les cultures sous une même bannière. Le transhumanisme n’est que la suite logique d’un processus ayant débuté par le fait de prêter des caractéristiques humaines à Dieu, et aboutissant à la déification de l’être humain. Il n’est donc pas impossible d’envisager qu’une fusion homme-machine nous arrête miraculeusement au seuil du feu nucléaire, ou autre évènement du même acabit, dans la plus pure tradition des prophéties autoréalisatrices. Nous devons donc à ce stade intégrer qu’il n’existe aucun salut à attendre de l’extérieur. Nous connaissons les noms et les organismes de ceux qui œuvrent délibérément à notre perte. Mais notre pire ennemi n’est pas à rechercher dans le carnet d’adresses du forum de Davos ni dans les couloirs du Pentagone. Ce pire ennemi se trouve tapi en nous-mêmes : dans les croyances dont nous libérer pour accéder à notre plein potentiel. Dans notre ego plaçant un voile de défiance et de peur entre celui que nous croyons être et le monde extérieur. Dans l’intellect et sa manière de substituer les noms et les habitudes que nous avons des êtres et des choses à leur appréhension directe. L’incarnation est, pour ainsi dire, une école où l’on commence par ingurgiter ce qui nous est imposé, puis où l’on doit tout désapprendre pour repartir de zéro par nous-mêmes. Et si la véritable foi n’était pas de croire, mais de voir ? De percevoir au niveau le plus subtil que l’on puisse ressentir l’existence d’une vibration universelle derrière la multitude des formes de vie. De découvrir que les animaux comme les végétaux sont emplis d’un amour dans lequel seule notre peur de disparaître nous empêche de nous fondre et d’enfin connaître la plénitude. Que même les minéraux respirent. Et que lorsque nous contemplons un arbre, ce que nous voyons n’est pas l’œuvre de Dieu, mais Dieu aussi bien dans son essence que dans son émanation. Vivre cette expérience induit une radicale transformation intérieure, suite à laquelle nous devenons imperméables à toute sollicitation parasite, à toute propagande, toute forme de chantage ou menace, mais aussi à toute séduction matérialiste. Dans le sillage de ce qui a lieu actuellement dans tout le système solaire, la vibration de notre planète est en train de changer. La chape de plomb astrale où se sont accumulées générations après générations souffrances et perversions commence à se dissoudre sous l’affaiblissement de notre champ magnétique. Il en résulte déjà des réminiscences de mémoires traumatiques, une prise de conscience d’aspects méconnus de nos personnalités et une sensibilité accrue à des phénomènes subtils de circulation et d’échanges d’énergie. Ces actuelles révélations, plus douloureuses que celle des méfaits de nos dirigeants, n’en sont qu’à leur commencement. La mise à nu du mal n’est qu’un prélude aux retrouvailles avec notre nature éternelle. De puissantes radiations solaires ont frappé la Terre au tout début de ce mois de juillet. Elles se sont fait ressentir au niveau des télécommunications, mais aussi dans nos corps et dans nos esprits de manière inédite. Cette éruption n’était pour autant qu’un coup de semonce. D’autres vagues suivront, de plus en plus fortes. Nous ne sommes qu’au début d’un processus cyclique que les apprentis-sorciers au pouvoir espèrent contrecarrer par le déploiement du continuum électromagnétique Haarp – chemtrails – ondes de toutes sortes et nanotechnologies injectées afin de conserver leur contrôle du cheptel humain. Cette tentative est vouée à l’échec, comme toute entreprise prométhéenne. L’ordre du jour est au balayement de tout ce que nous avions jusqu’ici connu. La mauvaise nouvelle dans tout cela est que la dépopulation prévue aura bien lieu. La bonne, est qu’elle ne sera pas réalisée selon les critères de sélection concoctés par les mondialistes. La lame de fond énergétique à venir affectera aussi bien les classes populaires que les élites autoproclamées. Il suffit d’observer les comportements pour constater que le phénomène a déjà démarré. Seuls les personnes capables d’accepter leur propre et totale remise en cause sauront traverser les temps qui s’ouvrent. Tous ceux restant attachés à leurs acquis, à leurs représentations du Monde et d’eux-mêmes, ou ceux qui auront misé sur la technologie pour s’en sortir seront emportés, psychiquement d’abord, puis physiquement. Les survivants ne seront pas quelques tribus de loqueteux revenus à l’âge des cavernes. Mais des individus pleinement conscients d’eux-mêmes et de leur imprescriptible lien avec tout le vivant. Des êtres Humains reliés à leur dimension spirituelle que rien ni personne ne saurait aliéner ou assujettir. Notre espèce aura trouvé sa place et son équilibre dans la mystérieuse équation des forces cosmiques. https://jbl1960blog.wordpress.com/2023/07/29/ex-machina-zenon-juillet-2023-version-pdf-de-jo-busta-lally/
    JBL1960BLOG.WORDPRESS.COM
    Ex Machina – Zénon, juillet 2023 – Version PDF de Jo Busta Lally
    Le Monde est dirigé par des lignées lucifériennes, pédocriminelles, consommatrices de sang et d’adrénochrome ? Certes, mais je suis détenteur de la vérité grâce à Internet. Les divisions (droite/ga…
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